Association Al Joud (Rabat) : »L’islam dans un Environnement Contemporain » 12/10/2012

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9 Commentaires

  1. Salam, Bonjour,

    La mémoire, belle et partagée, est une source de l’intelligence originelle, et, différentes sources sont à la fois les facultés des hommes qu’elle entretient à leurs histoires comme souvent en la mesure entière et rapportée des recherches qu’ils perçoivent, somme toute, des séquences étudiées et/ou exercées à leurs regards, ces derniers sont-ils donc tout aussi bien liés de leurs grands arrières que de leurs toutes et possibles postérités…quelqu’un disait, il ne peut être parfait de la mémoire que des raisons gardées pour construire et que des sens réunis pour naître, un cri ou des cris parfaits sont-ils les mêmes plus tard d’entendre à tout marchant. Bon, belle, à vous de voir car chacun(e) se peut, et, partagée, à faire extrait relatif et quelque peu séquencé de cette conférence…merci

    La Culture contemporaine englobe certainement tous les aspects naturels et rapportés de la culture humaine et, de fait à celle ci, vivante et géographique…La Conscience humaine englobe également tous les caractères historiques et contemporains de la prospérité commune et, de fait à celle ci, démocratique et citoyenne…La légitimité civile, humaine, contemporaine, individuelle ou collective, dépend relativement et globalement de l’Histoire naturelle, culturelle, traditionnelle, spirituelle, que la période contemporaine reflète et limite à ses frontières, multiples et diverses, et de fait à ceux ceux-là et à celles-ci, le complexe n’a pas de limite, vous en conviendrez et vous devez bien le savoir en même temps de l’apprendre du présent et de ces jours, comme en tout et partie des quelques bagages, 1/ 8 (un sur huit), des unités en milliards, environ de «l’ espèce citoyenne », donc huitième à revenir par l’unité des perspectives humaines, car oui, tout le monde sait, il y a la vitesse de croisière et les vitesses de croissances!

    D’un le ou la, plus ou moins jeune, tout le monde s’entend « Bien Être », 2(deux) petits mots qui, sans doutes des nécessités et sans limites des utiles, vous éveillent encore bien des savoirs bien naturels et bien universels des existences, à toutes épopées des circonstances, comme plus haut citées et ce n’est ne pas si haut hors attitude !!!

    Au milieu de tout, il est toujours des « livres », des mémoires, des coutumes, qui rendent, des récits des comportements des croyances et vers demain, que la Pensée est, et forcément sera, un défi constant et une lutte évidente pour qui s’y reconnaît juste la vérité et pour déjà comme entendre de les accompagnés plus que tout autre chose, ne sont-ils pas, par ailleurs et maintenant, autant variablement plusieurs et toujours luttant constamment…,

    Les mois, quant à leurs jours, sont une relative dimension qui implique au-delà du temps des hommes et des épopées, quelques manières nocturnes et nouvelles, évidemment libres et très contemporaines, les mots font-ils eux-mêmes le sens et les lumières d’une croissance réelle et vivante à tout âges,… pour cela les années sont une belle patience et déclarent, à bons nombre de raisons, une formidable espérance, les progrès sont une modeste contrepartie des usages de chacun(e), autrui ne pouvant être bien différent d’une ou des lumières. Aussi et par l’extérieur des mois, une pleine lune se montre-elle moins relative à quelques importances, et naturelle et temporelle et culturelle, en tout cas par son entier elle nous donne ses compléments ordinaires et réguliers de sa mise à vue, et, acceptez l’humour contemporain pour dire, d’elle, 2(deux)/ 3(trois) jours par se « disparaître » et s’y refaire les bons tours pour combien de B.B.S.(bonté beauté sagesse) et de tout millier, le chiffre est faible en mille mais ne l’est pas ni moins fort et bon à travers siècles…
    Permettez de la conférence, « « ,, » « quand on voit d’où l’on vient… on tient d’où l’on voit et veut à chacun(e) n’est pas impossible et variable d’où l’on croit, même un peu, comme, à mi chemin, rien n’indique tout et tout n’évite rien…

    …ma Naissance, celle d’un Autre, comment le Monde sait-il entendre de l’Homme, aujourd’hui et demain,…une Naissance, celle d’une Autre, comment les Peuples peuvent-ils la rendre, leur et partagée,…une Existence, belle Clémence, comment la Vie peut-elle composer, sens et raisons,…il en est tant, et, par le cœur, se répète à chaque petits points, cordialement, fraternellement, humainement…

    La liberté, le ciel est encombré sauf aux ailes, à terre que dire que faire tel quel,, la fraternité, les chemins se sont égalés sauf en sens, à vue d’œil et d’années rebelles,, une égalité, la culture est en rupture, mais la structure reste future,,… sans mot brutal, l’Homme n’est pas un animal, il ne peut donc ne pas évoluer de sa réserve intelligente et déclarée à toutes espèces ni même empêcher de sa venue égale et considérée à toutes consciences, la connaissance et l’ignorance sont-elles tout de même à chacun(e) et chaque fois, un défi humain et multiplié des longues dates, à peine un paradoxe dépassé, une belle nature si vous préférez, et puis, un homme, une femme, quoi de moins intelligent pour regarder la Vie et toute son importance, la Conscience et toutes ses raisons, l’Amour et toutes ses évidences, l’Enfant et toute la Tolérance, alors je vous le demande vraiment, qui n’est pas membre des univers de l’Homme est-il, ou est-elle, un jour et une nuit réunie des moins ordinaires, des égaux du citoyen et des égales des citoyennes, sans faire mauvais échos des natures communes et des propos exprimés que chacun(e) estimera fondamentalement, et peut être existentiellement, de sa culture, de son langage, de son présent…

    Humour, bis, et à la fin, ou presque, « personne ne bouge tout le monde s’assied,… » , un certain« c’est moi(vous) qui lève les mains » est-ce futile du désarmé, le son à peine éteint resta humain, bien heureusement comme tout complexe et, puisque nous y sommes comme chaque réflexes, « bas les pieds » restait aussi marchant à toute nature d’y voir sourire content…

    …KHassan…Salam…merci…

  2. Salam, Bonjour,

    …c’est pour soutenir les efforts que chacun, chacune, ont toutes idées venues à belle valeur de la Vie, et de les rendre partages sont-ils moins beaux d’êtres heureux…bon vœux, comme il arrive par 2(deux) fois à certains, certaines, de vivre et naître à ce que l’Histoire n’a pas trop mal divisé ni moins bien partagé en la Paix retrouvée comme par les renouveaux éclairés à chaque années…Rabat, je ne connais pas de sol, mais pourquoi pas tout en réfléchissant, le Maghreb est une circonstance bien reconnue des grands espaces, autrement divisés, le temps est une certaine durée à certains moments, et combien réfléchissante à leurs exposés…

    LUMIèRE éTRANGèRE…

    L’écolier de la perle.

    Le temps des vacances s’achevait des heures longues et libres de leur été et, par ce matin encore doux lumineux et frêle de sa nature éminence, il s’entendait déjà, peu à peu, quelques pas, venant de loin, et allant comme chaque année vers leurs rentrées…

    De les entendre tous arriver ils étaient nombreux à partir tôt de leur ensemble, et à traverser tout de leur éveil, chemins et broussailles, pierres et bétails, couleurs et détails, d’ailleurs et déjà, tous les petits animaux devenaient sages et les plus encoqués ou autres petits félins gardaient passages comme si communs de la reprise, mais moins près des bruits, ni même d’Alko, l’ami légendaire et canidé d’Ikari, et bien sûr, entre nouveaux et nouvelles arrivées, tous se connaissaient des présences et à cette heure arpentée…

    A l’avant veille et du vendredi de cette saison qui s’était faite un peu de tout par les grands moments partagés, un agneau était né du troupeau moyen et des étables modestes d’Ikari. S’arrivant par petit rebondissement, il voyait et entendait donc pour la première fois tout ce chambarda sans savoir ce à quoi peu d’inquiétude et bien des curiosités se laissaient comparaître à chacun. Comme chaque jour et déjà dehors, Ikari, qui s’était assis des endroits élevés au sol de sa terrasse, donnant à son habitude et après faire les ouvertures de chaque portes des maisonnées de son vallon, lui précisa tout de même un regard, silencieux, et fut vite rejoint à l’élémentaire par l’un d’entre les petits marcheurs, peut être un des aînés d’elles ou d’eux, déposant son affaire au piquet d’un bois à peine rabougri :
    -« C’est un nouveau !? » dit-il à Ikari tout en s’approchant de l’enclos bordant le sentier et bordé d’un léger talus terreux.
    Ikari lui répondit :
    -« Oui, il a deux nuits et il est bien courageux de venir nous voir en premier ce matin, tu trouves pas » .
    -« Il n’a pas l’air d’avoir peur c’est vrai, ni même de me craindre, il est généreux, il a de la chance… . » s’arrêta-t-il de dire tout en souriant sûrement de sa joie, ou de la sienne… .

    Pendant ce temps et sans trop dévier de la route, le reste de la troupe s’avançait toujours, main dans la main, distraite de la vallée ou attirée de ce versant, car certains, certaines, avait remarqué et entendu du contre bas, le petit cri clair d’une petite boule de laine blanche. De là, on entendit l’écho et le tracteur d’une autre ferme qui venait de démarrer, un groupe de tourterelles s’envola sur le toit, et quelques rires de la camaraderie se suivaient à leurs pas.

    -« Aucune tâche, aucun dégradé, il est vraiment superbe aux sens visibles et revitalisés de l’amitié. Et nous, toujours à se tisser les moindres brouillons de nos familiarités, sommes-nous maigre audace de lui faire grâce à tous les autres ? »reprit sans hésiter le jeune émerveillé.
    -« La vie est belle de ses composés et tu en vois parfois le champs florissant d’une vérité, et c’est vrai qu’il faut parfois s’enchanter des signes heureux et prodigues d’une liberté à chaque journée. » lui récita Ikari, comme accompagnant légitimement de cette idée à demie relevée.
    -« Si nous vivons de cette nature et partageons tous ses bonheurs, qui ne souhaite pas le carcan des couleurs et l’immense d’un cœur ? Qu’as-tu à me dire ? Je dois vous laisser et reprendre mes sens et mon chemin avec les autres… . ».

    Ikari savait conjuguer le regard et la sagesse des infinitifs de l’épitomé et lui répliqua sans insistance :
    -« Reprends ta route mais, écoutes tout au long le chant varié des ailes t’accompagne partout, et songes qu’il est déjà à leurs endroits des hommes à élever le son, vocal, instrumental, convivial, des harmonies que tu cherches à entendre et que tu aimes à voir, que garderas-tu des aménités qui, loin de l’amertume, ont souvent raisons de ta valeur défendue, va… . ».

    Tout en réendossant sa sacoche, cuir et brodée, et reculant peu à peu de la palissade, un peu du genre paladin, il dit avant de se retourner à sa journée :
    « les oiseaux chantent haut très haut et partout de la vie qui est leurs libres et belles, et les hommes soufflent sans égal à leurs cordes et joies, mais tous apprendront demain des ailes, du cœur, des voix, qu’il est possible à cette hauteur et d’un tout air, de s’entendre des valeurs à tout battement et de s’aimer des secondes à tout ciel, Salam… » et il repartit.(KHR 2012/13/1434)

    …KHassan…Salam….merci…

    • Salam, Bonjour,

      1er janvier

      Enfant, on vous dira plus tard que le grand-père
      Vous adorait ; qu’il fit de son mieux sur la terre,
      Qu’il eut fort peu de joie et beaucoup d’envieux,
      Qu’au temps où vous étiez petits il était vieux,
      Qu’il n’avait pas de mots bourrus ni d’airs moroses,
      Et qu’il vous a quittés dans la saison des roses ;
      Qu’il est mort, que c’était un bonhomme clément ;
      Que, dans l’hiver fameux du grand bombardement,
      Il traversait Paris tragique et plein d’épées,
      Pour vous porter des tas de jouets, des poupées,
      Et des pantins faisant mille gestes bouffons ;
      Et vous serez pensifs sous les arbres profonds

      01/01/1871…………………………………..Victor HUGO…………………..

      sage étrenne

      Adulte, on vous dira plus tard que le petit frère
      Vous adorait ; qu’il avait fait de son mieux sur la terre,
      Qu’il avait fort plein de joie et beaucoup d’heureux,
      Qu’au temps où vous étiez seuls il était deux,
      Qu’il n’avait pas de temps perdus ni d’heures écloses,
      Et qu’il vous a cueillis dans la maison des causes ;
      Qu’il est vivant, que c’est un bonhomme tolérant ;
      Que, dans l’univers fabuleux du grand espacement,
      Il traverse la vie magique et pleines d’idées,
      Pour vous porter des tas de Paix, de journées,
      Et des matins faisant mille fois les bons ;
      Et vous serez tardifs sous les feuilles blasons

      01/01/2013…………………………………….K.H.R…..

      Heureusement, et des toutes volontés supérieures et humaines face à certaines idées inférieures et égales, le verbe unit le pacifisme et réunit l’humanisme plus qu’il n’oublie ignore ou nie les messages et les passages élevés en mémoires, comme par le cœur, faciles moins faciles, bons ou moins bons, justes ou moins justes, au plus vrai des réalités controversées et soumises à d’autres réalismes… eh oui, car il n’est pas des hommes à dire de leurs pensées ou à faire de leurs estimes que tout tourne pour le mieux, ni même pour le bien, de chacun(e), et du monde…

      Le monde contemporain n’est-il pas une circonstance universelle et arrivée des civilités « élevées » de leurs ignorances et honorables en leurs connaissances pour qu’autant, de naître et de renaître, tous biens se restent à bâtir et que tous maux se laissent à réduire, la perspective, la destinée, l’avenir, TOUJOURS, ne se détachant jamais du commun ni des années faites, AUTANT, des présences représentées du présent…

      …KHassan…Salam…merci…

  3. L’amour et l'(auto)critique, la conscience et l’espérance.
    M. Ramadan parle finalement avec une sagesse qui devrait être à la portée de tous, si l’on avait cette assurance que l’on a acquis et compris notre lecture de l’Islam.
    Tariq est fidèle à lui-même et ce n’est pas si simple d’être dans la résistance. Tous les jours, dans ma mission de mère, je résiste et je donne les armes à mes enfants pour qu’ils sachent résister à l’égoisme, au pessimisme, au matérialisme, au diktat de la mode, à l’invasion des écrans et aux dépendances.
    Le livre a une place prépondérante dans ma vie et celle de mes enfants; il nous élève et nous rapproche de ceux que l’on n’a pas connus et qui ont fait la fierté de notre culture et de notre noble religion.
    Tariq ne devrait pas être extraordinaire mais bien ordinaire si chacun voulait bien réveiller sa conscience.
    Ne l’admirez pas mais dites-vous que vous avez les moyens intellectuels de fonder vos propres opinions. Vous devez être convaincus d’être dans le vrai et confiants dans vos positions.
    Résiter à la violence de la colonisation des sociétés et à l’engourdissement des esprits est un acte courageux, un acte de foi!

  4. Merci cher Tariq pour votre oeuvre de constructions et d’édifications auprès des musulmans et un auguste hommage à votre digne courage intellectuel meme envers toutes les adversités morales , d’intentions ou de dénigrements exprès qui visent votre travail minutieux et colossal . Avec les meilleures salutations .

  5. Salut,
    J’ai aimé cette vidéo masha’allah,J’espère que les gens tiendront vos conseils en les « appliquant » (je parle aussi de moi même #sans vous mentir),
    J’ai remarqué qu’il y’a comme une coupure de la video à la minute « 1:20:47 » , et j’aimerais bien voir la conférence complète svp,
    désolé,j’ai pas beaucoup de mots à dire c’est un de mes problèmes je l’avoue comme c’est le cas de très nombreuses personnes, on peut vous regarder pendant 1 heure ou 2 heures et au final on ne tient de ce que vous avez dis que 9% ou bien moins
    Je pense qu’on doit travailler notre écoute des autres c’est ce que j’ai à dire moi Merci…..
    Toutes mes salutations,et sincèrement vous êtes chère à nos cœurs
    et Encore Merci.

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