VIDEO : Il faut une éthique en économie

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Tariq Ramadan répond aux questions du journaliste Bruno Ben d’Omega TV à l’occasion de la sortie de son livre " Islam: la réforme radicale"

 

Retrouvez cette interview sur Omega TV, la web TV dédiée au mieux vivre.

 
 

20 Commentaires

  1. Dieu est -il pour l’humain, ou l’humain est-il pour Dieu ?

    et si ces deux phrases n’étaient pas opposées

    ça change un regard cela

  2. Bonjour,

    Et Sarkozy ainsi que sa clique qui essaient de mettre sur le dos de la crise financière la récession qui arrive et le déficit qui se creuse alors que c’était déjà prévisible depuis l’année dernière! On est loin de la croissance qu’il voulait aller chercher avec les dents… Faisons vivre les citoyens sous état de crise permanente; entre la peur des étrangers et de l’Islam, la peur de l’Europe, l’Asie en pleine croissance et cette crise financière, il y a de quoi faire pour une bonne décénie! Vive la désinformation…

    Voici deux textes qui m’ont semblé pertinents à propos de cette crise :
    Une décade prodigieuse. La crise financière entre temps court et temps long.->http://regulation.revues.org/document4032.html]
    – [Trop peu, trop tard? Les aventures du plan Paulson.->http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2008/10/06/833-trop-peu-trop-tard]

    Un documentaire a beaucoup de succès en ce moment sur le net, il s’appelle:
    – [L’argent dette, en francais->http://vimeo.com/1711304].
    – [Money as Debt or Geld als Schuld, English mit deutsche Untertitel

    • Bonjour et merci mille fois et de tout coeur pour l’excellent lien sur « L’argent dette »!
      Enfin des explications simples pour comprendre comment fonctionnent les banques et le système monétaire actuel.

    • Salam,

      – 1: Télécharger les 7 vidéos sur youtube: http://fr.youtube.com/watch?v=VaCoI9CFSPQ&feature=related->http://fr.youtube.com/watch?v=VaCoI9CFSPQ&feature=related]

      – 2 : Télécharger : internet video converter Gratuit: [http://www.01net.com/telecharger/windows/Multimedia/encodeurs_et_decodeurs/fiches/39727.html

      – Convertir (un par un)les 7 fichiers flv en avi. MPEG puis les graver sur un DVD

    • Une petite discussion passionnante sur un autre blog, commentaire intéressant par Philippe Derudder :

      Bonjour à toutes et tous,

      Je fais une petite apparition après une longue absence. Je viens de prendre connaissance (rapidement) de vos derniers échanges sur la monnaie, tout à fait passionnants, et je me permets de revenir sur un point apporté par Paul, je crois, qui résume bien la controverse sur le sujet :

      ___________

      Je cite :

      Tout d’abord, les banques ne créent pas la monnaie, elles constatent ou anticipent des valeurs présentes ou futures. Elles constatent la valeur d’un bien immobilier, ou anticipent la valeur de revenus futurs en fonction d’un emploi salarié.

      En fonction de ces données relatives aux valeurs qui sont détenues ou qui seront détenues, elles valident un niveau de confiance quant à la solvabilité du demandeur, et accordent un prêt.

      La valeur qui déclenche la création monétaire n’est donc pas du ressort des banques mais de la personne qui demande le crédit, puisque c’est cette personne, avec ses possessions et son travail, qui est à l’origine de la valeur.

      Les banques ne sont donc les dépositaires que de la confiance – et c’est déjà beaucoup, et facturent leurs services autour de cette confiance. Qu’elles fassent des profits sur ces services est tout à fait normal.

      Il est donc faux de dire qu’elles font des profits sur quelque chose qui n’existe pas.

      ___________

      Ce texte joue sur l’ambiguïté des mots d’une façon extraordinaire et en particulier sur celui de la valeur. Paul, vous nous dites avoir bcp écrit sur le sujet, je m’étonne donc que ce texte, que vous citez, ne vous choque pas.

      1 – Valeur réelle – Valeur symbolique

      Le pain est une nourriture. La valeur réelle puisque sans nourriture, je ne peux vivre. Ce pain a d’autant plus de « valeur » à mes yeux que j’ai faim et il est juste de dire que c’est le demandeur (moi) qui suis à l’origine de la valeur. Si le pain n’avait aucun intérêt pour les êtres humains, le boulanger n’existerait pas et la « valeur pain » non plus.

      Dans la mesure ou ce pain a une valeur pour moi, il va s’instaurer une relation entre moi et le boulanger qui utilise cette valeur réelle pour acquérir de son côté d’autres richesses réelles nécessaires à sa vie.

      Pour faciliter les échanges et sortir des contraintes du troc, les êtres humains ont inventé la « monnaie » qui est une représentation SYMBOLIQUE de la valeur RÉELLE dont l’une des fonctions est d’être une échelle de valeur.

      Il y a donc la chose : valeur réelle
      et le prix de la chose : valeur symbolique.

      Le prix fixe sur cette échelle le niveau où l’échange va pouvoir se faire.
      Il est donc encore exact de dire que de tout cela, le banquier n’est que spectateur. Il constate. Mais peut-on dire pour autant qu’il ne crée pas la monnaie ?

      2 – Création monétaire

      Si je suis d’accord pour payer ce pain un euro, cela ne me donne pas pour autant cet euro, qu’il soit sous forme de pièce dans ma poche ou d’écriture sur mon compte. L’unité monétaire qui incarne cette valeur symbolique relève du privilège abandonné au banquier.

      Les gens créent la valeur réelle par leur activité,
      la banque crée le signe de la valeur symbolique, avec la particularité que sans ce signe, la monnaie, je ne peux avoir accès à la richesse réelle, même si elle existe.

      Quand le texte affirme d’entrée « les banques ne créent pas la monnaie » et conclut « elles ne sont que dépositaires de la confiance » cela sous-entend que le banquier ne serait qu’un « entrepôt comptable » ou les gens déposent une monnaie pré-existante, qu’il aurait mission de gérer au mieux des intérêts des déposants. On en revient à la vielle croyance que les banques ne font que prêter l’argent épargné. Je ne vais pas me relancer dans une démonstration qui, de toute façon sera refusée par ceux qui ne veulent/peuvent pas admettre que l’argent aujourd’hui ne pré-existe pas.

      Oui les banques prêtent bien l’argent des épargnants, mais d’où vient l’argent épargné ? D’une mosaïque de crédits en amont. Ce qui est trompeur, bien sûr, c’est que l’épargnant n’est pas en règle général celui qui a emprunté. Il faut considérer les choses globalement.

      Pour donner une image il faut se représenter le système comme un bassin (la masse monétaire « existante » dans la société) alimenté d’un côté par un robinet d’eau (le crédit consenti à la société), et une évacuation au fond (le remboursement des crédits). Le niveau de l’eau dans le bassin dépend du rapport qui existe entre le débit d’alimentation et celui de l’évacuation. Quand je regarde les choses du pas de ma porte, j’ai l’impression que l’argent existe, car manifestement il y a « de l’eau dans le bassin » ; mais je ne perçois pas qu’il s’agit d’un flux en perpétuel mouvement. S’il n’y avait pas de nouvelles demandes de crédits, le niveau de la masse monétaire baisserait au fil des remboursements effectués. Alors oui, ce sont bien les gens qui sont à l’origine du processus de création monétaire par la demande de crédit, mais ce sont bien les banquiers qui, ayant seul le pouvoir de créer le signe monétaire sous forme d’écriture comptable, consentent les crédits et ont la main mise sur l’alimentation et l’évacuation.

      3) Légitimité du pouvoir de création monétaire

      Autrement dit, c’est comme si l’humanité devait demander l’autorisation de produire et consommer, comme un enfant demande à ses parents l’autorisation de sortir. Car c’est la banque qui, selon qu’elle va accorder le crédit ou pas, décide en dernier recours de ce qui a le droit de se faire ou non dans le monde.

      Oublions un instant l’histoire de création « ex nihilo » et, attachons nous juste à l’aspect de la légitimité de l’autorité qui détient de privilège de l’émission de la monnaie.

      Ce sont les peuples qui créent la « valeur réelle » par leur activité. Il semble que sur ce point il n’y ait pas d’avis contraire. De quel droit une des « cellules » de ce « corps », la banque, s’arroge-t-elle le droit de créer les signes qui représentent symboliquement cette valeur ? Car nous ne parlons pas là de haricots verts, de voitures ou de parapluies, nous parlons d’une valeur universelle qui donne accès au haricot, à la voiture ou au pépin….

      Puisque le peuple est créateur de la vraie valeur, il est légitimement en droit de gouverner les signes qui la représentent. C’est donc un organisme public représentant les intérêts de la communauté entière qui devrait détenir ce privilège

      La différence ?

      Si c’est le privé : l’argent est créé de manière sélective, sur des critères de rentabilité et de solvabilité au service prioritaire des actionnaires du système.

      Si c’est le public : Il peut être émis sur des critères d’intérêt commun sans nécessité absolue d’être remboursé, et sans nécessité non plus d’être assorti d’un intérêt.

      4) L’intérêt

      Le texte se termine sur ce morceau de bravoure en affirmant que les banques « facturent leurs services autour de cette confiance. Qu’elles fassent des profits sur ces services est tout à fait normal. Il est donc faux de dire qu’elles font des profits sur quelque chose qui n’existe pas. »

      Que les banques, comme tout autre commerçant, recherchent le profit est normal, mais laisser entendre que l’intérêt ne fait que couvrir le risque du prêteur !!!

      Si la banque n’est qu’un comptable de la société, comme le laisse entendre ce texte, alors elle devrait être payée par honoraires pour un service justifiable. Tous ceux qui ont acheté une maison on peut-être trouvé un peu exagéré le fait d’avoir à payer plus en intérêts qu’en capital !

      Mais de toute façon, et pour tout ce qui a été dit ici et dans bon nombre d’autres articles sur ce blog,

      L’intérêt bancaire est :

      – Cause première de l’inflation par ailleurs dénoncée comme fléau n°1
      – Cause première de la course à la croissance si dommageable à l’environnement pour la raison que ce qui est dû aux banques est supérieur à ce qu’elles ont prêté
      – Cause première de l’appauvrissement des nations par la dette publique
      – Cause première de l’appauvrissement des plus pauvres (qui paient l’intérêt) et de l’enrichissement des plus riches (qui encaissent l’intérêt)
      – et tout cela en rémunération d’un service qui découle d’un privilège illégitime ?

      Oui la banque a une utilité sociale, mais ce texte cherche à masquer, volontairement ou non, l’indécence et l’illégitimité des privilèges qu’elle a su arracher malheureusement à ceux qui étaient en devoir de protéger les intérêts de la communauté. Le problème est moins du côté de la banque qui, en bon commerçant voit midi à sa porte, qu’au niveau du politique qui au fil du temps s’est mis lui même en situation de marionnette avec pour conséquence que le peuple qui l’a élu devient lui même suspendu aux mêmes fils.

      Il est essentiel que les peuples reprennent le pouvoir de création monétaire, mais il est tout aussi essentiel que le politique reprenne une position dominante sur l’économique et le financier.

    • Merci de bousculer les systemes en places pour la créativité d’autres systèmes Et il y en a surement.

    • Pour une réforme radicale du système bancaire. Article sur http://www.letemps.ch/
      Christian Gomez, Docteur d’Etat en sciences économiques, ancien élève du Prix Nobel Maurice Allais et directeur de banque à Zurich.

      Citation:
      Vouloir modifier cette situation, c’est d’abord vouloir rendre le pouvoir de création monétaire, et la rente qui lui est attachée, aux seules autorités monétaires et, in fine, à l’Etat, qui retrouverait ainsi la plénitude de son pouvoir «régalien»; ensuite faire en sorte que tous les types d’investissement soient financés par de la «vraie» épargne, c’est-à-dire que le crédit bancaire soit financé par des dépôts d’épargne à maturités fixes sans aucune transformation possible des échéances pour éliminer tout germe d’instabilité.

  3. Bonjour,

    Le modèle économique islamique condamnant notamment toute forme de spéculation sinon d’usure ne constitue t-il pas l’alternative incontournable aux dérives que nous connaissons au culte de l’argent ?
    Merci de votre réponse.
    Adjissa

  4. salam!la meilleure école,c’est votre site..j’apprends énormement.j’habite romainville dans le 93.pouvez vous m’indiquer la librairie la plus proche de moi?qu’allah vous guide et vous preserves…(ousseni gomez)celui qui vous aime bcp en dieu.

  5. Les USA et l’UE ont dépensé en une semaine de quoi nourrir le monde pendant 50 ans

    -En Juin, la FAO (ONU) a demandé aux leaders mondiaux 30 milliards de $ pour relancer l’agriculture et parer à la menace de la pénurie alimentaire. Elle n’a obtenu que 7.5 milliards, payables en 4 ans. Ceci contraste avec les 700 milliards du « Plan de sauvetage » US – sans tenir compte des milliards européens

    7.5 milliards, payables en 4 ans, ça fait 1 (UN !) milliard et 875 millions par an.

    Or, dans la semaine du 30 Septembre au 8 Octobre, outre les 700 milliards du « plan de sauvetage » (des banquiers) US, l’Allemagne a « injecté » c’était de la morphine ?] 50 milliards d’Euros pour « sauver » une banque, et l’Angleterre a acheté pour 90 milliards de $ d’actions et mis 350 milliard de £ à la disposition des banques (-iers).

    « Comment, dès lors, expliquer à une personne de bonne foi et pleine de bon sens qu’il est impossible de trouver 30 milliards de dollars par an pour permettre à 862 millions d’être humains qui ont faim de bénéficier du plus élémentaire des Droits de l’Homme, le droit à se nourrir. »???

    Ce qui a été dépensé en une semaine en « injection » de capitaux aurait permis d’assurer la sécurité alimentaire pour à peu près 50 ans !

    Et si ce constat n’était pas assez désolant, il faut ajouter qu’il se perd chaque année pour 100 milliards de $ de nourriture et que la sur-consommation des obèses atteint 20 autres milliards de $ au niveau mondial… !

    Par ailleurs, l’industrie de la GUERRE a coûté l’an passé 1,2 billions de $, et cette année, ce chiffre a sûrement augmenté.

    Pour l’industrie de la GUERRE et le « sauvetage » des BANQUES, il y aura probablement toujours suffisamment d’argent, pendant qu’il est demandé aux gens de travailler plus, mais sans manger.

    Source:[ http://lesogres.org/article.php3?id_article=3603

  6. C’est un devoir de parler avec une forte voix de solutions pour l’économie que l’Islam les avait offert au monde deppuis des siécles.

  7. Il est interessant de voir qu’aujourd’hui dans une grande majorité du discours islamique, on trouve:
    l’individu exclusivement traité lorsqu’il s’agit de spiritualité
    comme le collectif est exclusivement traité quand il s’agit de politique

    pas d’individu dans le politique, et aps de collectif dans le spirituel

    Ceci est typiquement un discours sous influence catholique, qui n’a rien à voir avec l’islam, qui est un mode de vie global.

    Comme on peu aussi le rencontrer sur la question familiale.

    Les conséquences de ces discours ,sont graves, on en connait l’histoire en occident, et ailleurs…

  8. Mr ramadan , vous pensez vraiment que dans la oumma,et dans la pensée musulmane en occident, on n’est pas dans le mono-culturel ?

    On doit pas voir la même oumma, ni les même reflexions et interventions latentes, de nos jours

    Tout à fait d’accord avec vous sur les altermondialiste, ou la gauche, mais faudrait balayer devant notre porte…

  9. Rien ne va plus lorsque l’homme est au service d’une économie guidée par la main invisible d’Adam Smith. Aujourd’hui ce sont les « riches » qui perdent un peu mais depuis trop longtemps les pauvres n’ont plus rien à perdre. Il faut faire cesser cette forme d’idolâterie aux conséquences désastreuses pour l’humanité. Repenser l’économie est devenu indispensable. L’économie doit être au service de l’homme en respectant les valeurs dictées par le Créateur. Pour cela, faisons preuve de créativité…

  10. salam Tariq,il faut une éthique en économie c est certain,mais laquelle et avec quelle références?en considérant la divercité du monde et les model de capitalistes?

    • l’éthique économique se fait par rapport à l’etre humain
      le contre exemple de CUBA comme système économique collectiviste prohibant le super enrichissement
      donne à réfléchir en alternance avec le gigantisme U.S.

  11. les musulmans doivent prendre certainement exemple
    sur la nation allemande pour l’ébauche de leur éthique économique , car en cette période de récession l’Alemagne ne subit pas les vibrations de cette recession.
    . Car les allemends EUX-MEMES sont engagés dans leur économie ( voyez toutes les grandes marques,et la qualité des produits , le taux de chomage, le standard de vie général … oui le stress est là aussi )
    . Leur éthique : de na pas échouer, de ne pas tricher,
    de tenir ses engagements , d’etre honnete ,d’honnorer la confiance ,de veiller à la qualité,agir en bon entrepreneur
    et ce n’est qu’une description limitative .
    Une éthique globale doit emaner des MUSULMANS EUX-MEMES
    comme modèle socio-économique offrant la participation
    et la rétribution économique à TOUS selon les capacités et les talents de CHACUN
    L’Islam est religion mais aussi social et économique .
    Mais nulle part nous ne voyons quelles ébauches de cette éthique économique musulmane dans le sens de l’engagement, de la responsabilité, , du mode de création de richesse et d’enrichissement et de la forme de répartition et redistribution fluente de ces richesses et de la production du bien social global à l’exemple de l’idée
    les acquis sociaux (gratuité enseignement, couverture santé , droit à la justice et autres communauté de biens et services, sont des HERITAGES de la sociale démocratie au regard de la société à capital privé.
    le monde n’est pas figé,tout reste encore à inventer et à redéployer pour l’intéret de tous et sans aucune exception.
    Et cela ,Si on veut que la beauté de ce monde s’installe au flanc de la bonté de ce monde et pas l’inverse , la laideur des environements ajoutée à la terreur des guerres quelles quelles soient.
    Merci Tariq pour votre site de reflexion.

  12. Tout système politico-socio-économique n’est que l’expression d’un concensus ou d’ un modus-vivendi inter-individus de cette meme société et qui s’exerce et s’impose (périodiquement: élections)par le volant de la Démocratie .
    Ainsi s’il y a injustice, pauvreté, ruse économique et j’en passe dans les pays démocratiques , ou la souveraineté est bien aquise aux peuples eux-memes, c’est qu’il y a manifestement abus de confiance démocratique de la part des politiques eux-meme pour ne pas dire  » discours en faux  » transmis complaisemment par les médias agents et fossoyeurs de ces memes politiques qui s’imposent en pouvoir absolu (sauf respect période du mandat législatif) par le pouvoir du plus instruit savamment, du plus médiatisé politiquement, et du plus démagogue des foules publiques.
    C’est Ainsi que nous restons dans la loi du plus fort économiquement,

    Mais si une réthorique d’un tout autre système arrive à persuader, à prouver sa réalisibilité de ce système qui garantit une véritable activité économique équitable pour tous, et obtenant l’adhésion du commun des mortels , cela ira dans le sens de
    son application pour tous.
    Là nous serons sur la voie d’une économie équitable
    soumise à l’éthique de ses propres protagonistes le PEUPLE lui meme en pleine connaissance de cause libre de son choix et responsable effectivement de son choix.Le tout garantit par la liberté d’expression et la liberté
    de point de vue.

  13. ET L’ECONOMIE EST DEVENUE UN JEU DE MENSONGES
    QUI SONT LES GEANTS PROFITEURS ?
    QUAND aux petites gens menacés de pertes ruineuses,
    d’emploi précaire, de chomage chronique ,
    Ils se disent  » mensonges ou pas pourvu que çà tienne! Car ils se rendent compte que meme les Etats ne savent plus comment naviguer face à ces tourbillons financiers .ET comble de l’histoire meme les liberal-USA se soumettent à leurs Créanciers.Et çà c’est pas une menace islamiste !

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