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Salam,
Je crois que l’ordre des choses voudrait que le contexte produit de la morale parce que le texte est générateur d’éthique justement.
Je commence par l’intention avant l’action en sachant que la finalité = contexte. J’applique cette intention, en faisant preuve de morale donc j’ai compris et j’agis. J’ai besoin d’une éthique pour ca d’ailleurs.
INTENTION + ACTION + ETHIQUE =
CONTEXTE + MORALE + ETHIQUE ???
C’est d’une simplicité angélique…n’est ce pas? Au passage, je suis une nullité en mathématique.
Non, vraiment je crois avoir compris mais aujourd’hui avec tout ce qu’on peut voir, on pourrait penser carrément le contraire….Je ne suis pas sûre par contre d’être comprise…désolée pour ce charabia…dites moi au passage si je me trompe. Mille merçis.
Salam
Une éthique pour qui et pour quoi faire, quel champ de priorité?
Salam
Deuxième message pour préciser que je me demande si l’éthique est le fait de retrouver un respect pour soi même, se préserver, s’éloigner des gens sans nom… plutôt d’affirmer à Mr tout le monde qu’il faut qu’il soit un peu Mr tout seul et qu’au lieu de s’habiller en fonction du voisin, il ferait mieux de parler avec lui même.
Même si on ne nous aide pas. J’ai dis dans mon premier message qu’en fait le contexte produisait de la morale. Si l’on se base sur le contexte actuel…non en fait. Le contexte est fait pour produire de la morale normalement dans le sens que si on a une éthique, on la renforce en toute circonstances. Dans n’importe quel contexte. L’éthique est quelque chose qu’on ne peut pas quantifier je crois.
On ne peut énumérer les formes d’éthiques. Je ne comprend pas « l’éthique appliquée »?
On vit dans un siècle ou la critique a fuit doucement pour laisser place au « on aquiesce,mais on sait pas pourquoi on hoche la tête ».
Critiques nécessaires, dénonciations sont absentes… même en restant dans l’objectivité. Il y a des choses que l’on peut faire et d’autres non. Le moyen hélas justifie la fin. Donc la morale se perd, et le modèle se permet tout. Il applique des règles en oppositions a la nature et à l’être humain. Je crois que le plus important et le plus difficile, est de savoir faire la part entre les causes et les effets, c’est à dire entre l’intention et la finalité. Se focaliser sur soi, lire l’essentiel pour en tirer un enseignement sur le savoir. Et l’éthique à ce moment là est bien présente.