Colloque annuel de l’UOIF – « Crises : quelles alternatives face aux peurs? » [06/02/2016]

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1 COMMENTAIRE

  1. Nous somme des bi-polaires éduqués dans un monde binaire qui nous demandons qui de nous a bien pu éteindre la lumière.

    Mais le plus triste pour nous, c’est d’avoir réussi à réduire l’acte politique en parole.

    A faire croire aux gens qu’ils seraient actifs uniquement s’ils déposaient un papier dans une urne, comme si leurs vies en dépendait, alors que nous faisons tous de la politique, à notre manière, en gérant les affaires de la cité, de la ville, du quartier, de son club, de son entreprise, de sa commune.

    Le vote ne sert qu’à élire les plus compétents, les mieux armés pour garantir la sécurité et la paix.

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