E-slamshop: Le croyant en pensée et en action

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8 Commentaires

  1. Salam alaykoum. Au pays des droits de l’hommes, certains hommes sont privés du droit de s’exprimer, mais beaucoup plus d’autres sont privés du droit de les écouter.

  2. Hahahahahahaaaaa  » je suis pas avec Dieu le dimanche et puis je suis tout nu le lundi » je pleure de rire!
    Par contre je vous la pique cette phrase « le strip-tease des valeurs » elle sera mon joker!

  3. Bonjour,

    Merci pour avoir mis en ligne cette conférence qui est lumineuse, je ferais de mon mieux pour la diffuser.
    Parmi le 6 principes du vivre ensemble que vous mentionnez, ne pensez-vous pas que nous devrions implémenter le suffrage universel et le mandat par une démocratie directe dans laquelle tout citoyen pourrait voter les décisions politiques qui l’intéresse et déléguer librement son vote pour les autres décisions ?
    La différence par rapport aux systèmes actuels étant que chacun déciderait quand bon lui semble a qui il délègue son vote, pour quelle sphère politique (locale, nationale, …) et pour quel domaine (économie, enseignement,…), en pouvant à tout moment reprendre sa voix pour un vote qui l’intéresse.

  4. En effet, avant d’être des citoyens, nous sommes des êtres humains. Mais avant d’être humain nous sommes des êtres vivant. Or les êtres vivants, non humains, n’ont ils pas droit au respect de leur dignité ?
    Peut on tuer un animal ? Peut-on le torturer ?

  5. Magnifique conférence Tariq je l’ai écoutée au moins 10 fois, quelle clarté et quelle profondeur en même temps, que d’émotions à chaque écoute et un réveil des valeurs humaines dont la plupart des gens ont en eux à mon avis mais qu’il est malheureusement nécessaire d’éveiller.
    Si seulement ce genre de discours était massivement diffusé dans ce monde…

  6. La dignité humaine est une affaire de tous. Elle est centrale.
    Si on accepte que des gens perdent leurs droits, si on oeuvre pour ça de manière active ou passive, alors on se met en danger de voir ses propres droits bafoués aussi, un jour. Mais déjà, on porte atteinte à sa propre dignité d’humain, puisqu’on considère qu’elle n’est pas inhérente à l’homme, puisqu’alors la nationalité ou le niveau social supplante ce critère (être humain) dans l’accès ou pas à cette dignité. Dans ce cas-là, on s’accroche à cette autre construction de la dignité basée sur la naissance et l’avoir.
    Par ailleurs la dignité ne doit pas s’arrêter aux seuls hommes. Elle doit concerner tout être vivant, et même les non-vivants. C’est par le respect des vivants et des choses mises à notre disposition (forêts, animaux, mer, routes… verre d’eau) qu’on devient digne, digne de s’en occuper, et digne de la responsabilité d’être un humain.

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