EMN conférence Vincent LEGRAND et Tariq RAMADAN

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4 mai 2012

1 COMMENTAIRE

  1. Salam, Bonsoir,

    … »l’objectivité de la Raison n’existe pas… », n’est-il pas de dire qu’un tel sens apporterait une inégalité idéologique et culturelle sur la valeur existentielle, il demeure autant de préserver que l’égalité, la fraternité, la liberté, sont sens à controverse parmi les temps et sont sens à l’existence parmi les hommes, le paradoxe se trouve où elle existe forcément parmi chaque équilibre…

    …sans faire exemple, n’est-il pas admis un différentiel, naturel et reconnu, vivant ce temps avant et pendant l’Europe, d’autres Continents ne se sont que bien moins préposés historiquement à cette « UNION » mais tout Continent se tiendra parmi l’histoire du même exemple, humain faisant toute l’objectivité attendue de la Raison qui existe à chaque identité, et, le progrès n’a rien d’un lieu ni d’un tout paradoxal cela va de soit…

    …le développement culturel non plus, Al Salam, La Paix s’y tient d’ailleurs comme longtemps à venir, juste, libre, fraternelle, égale…

    …KHassan…Salam…merci…

  2. `Bravo Tariq, toujours aussi brillant dans vos explications . j’ai bien aimé la description de la laïcité ‘ made in france’ qui effectivement est la stricte réalité que l’on vit si on est croyant, de préférence musulman ,en France ou la religion non avouée mais officielle est l’athéisme, et l’athéisme est par définition un intégrisme.

  3. Tout à fait d’accord et si tout le monde s’y met , eh bien on serait tenté de reprendre la formule de Rousseau: « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes » .
    Merci Monsieur Ramadan pour tous ces éclaircissements et merci à Vincent également

  4. Salam, Bonjour,

    …la visibilité, la neutralité, le progrès, l’éthique, ensuite arrive la seconde partie(parmi des séquences attenantes et des mosaïques relatives) et sans changer de « pôle » prêtant jeu à l’éclairage… objectivement, peut-être s’intitule-t-elle comme une quête, un partage, un instant, entre la relativité spirituelle et la « commémorabilité » humaine, un peu comme lorsque activement le cœur et la raison s’entretiennent des façons autant espacées que simultanées de la conscience, inexorablement évolutive à toutes sources, à toutes formes, à tous sens, naturels et vivants, donc, qu’il soit individuel ou collectif, visible ou invisible, lumineux ou obscur, le partage jamais ne se détache des sommes correspondantes ni ne s’éloignent des différences portées justement à chaque environnement dont il dépend, il est ainsi et toujours une chose parmi toute chose qui se trouble parmi certaines réalités continues à l’humilité temporelle dont elle défend simplement des maux mais, qui s’accompagne parmi certains sens incomparables à l’existence naturelle dont elle rapporte parmi des temps,…, hors neutralité, le cas de conscience et la raison d’état sont-ils autrement parvenus vers l’objectivité des mémoires relatives, à l’Humanité…

    …KHassan…Salam…merci…

  5. Salamu allah alikom wa rahmatuh 🙂

    إن قيام الليل و الناس نيام ، و الانقطاع عن غبش الحياة اليومية و سفسافها ، و الاتصال بالله ، و تلقي فيضه و نوره ، و الأنس بالوحدة معه و الخلوة إليه ، و ترتيل القرآن و الكون ساكن .. ، و استقبال إشعاعاته و إيحاءاته و إيقاعاته في الليل الساجي .. إن هذا كله هو الزاد لاحتمال العبء الباهظ و الجهد المرير الذي ينتظر من يدعو بهذه الدعوة في كل جيل ! و ينير القلب في الطريق الشاق الطويل ، و يعصمه من وسوسة الشيطان ، و من التيه في الظلمات الحافة بهذا الطريق المنير .

    سيد قطب رحمة الله عليه –

  6. Salam, Bonsoir,

    …il est de fait identique et estimable les parts historiques et introductives au débat, même si bien plus récentes à toutes autres analogies conciliables, si peu de principes diffèrent d’une terminaison céleste ou terrestre, il semblerait d’ailleurs que cet ensemble jamais ne se soit autant décomposé qu’en toutes autres et nombreuses façons humaines et figurées, et l’interlude philosophique n’y est sans doute pas pour rien des résultats…une commission, parmi les sens politiques et actuels, se désigne comme des pourcentages plus ou moins restreints d’une assemblée ayant à établir,, au mieux et parmi ses représentant(e)s,, une approche relative et conjoncturelle des progrès d’une société et un dialogue circonstancié et culturel des principes d’une démocratie, la Civilité, coutumière ou ordinaire, demeurant un fondement existentiel et respectable à tout autre,…mondialiser n’est-il pas mieux entendu de conquérir, il y a quelques temps…alors, alors, visiblement et visuellement, une tribu ou une autre de par les Continents ce n’est pas la fin d’une histoire pour qui se cherche sans cesse de tout imaginer de par sa seule histoire, des pouces et des orteils seront toujours aussi modernes qu’il est, qu’il sera, de le constater, entre des lois et des prochaines années…

    …KHassan…Salam…merci…

  7. Salem,

    Je partage ce que dit notre éminent professeur Tarek Ramadan.

    Il est évident que l’homme est née dans le besoin et le sera tout au long de sa vie.
    Dieu seul se suffit à lui même mais l’homme et toutes les créatures en restent dépendants.

    Cependant par les besoins naturellement humain Dieu a tout mis à notre disposition pour les assouvir mais Il a aussi dicté dans quelle mesure nous pouvons jouir du don de sa générosité (en nature ou autres).

    Il nous a souvent exhorté à la modération, au juste milieu: pas de privation ( dans ce qui est autorisé) mais jamais dans l’excès.

    Oui, le besoin crée du besoin et dans cette surenchère du besoin la société de consommation a complètement dévié dans l’excès du besoin; consommer pour consommer, une phobie en soi.

    Moi j’essaie de me rappeler que dans cette abondance des choses face au besoin essentiel, d’après un hadith si je ne me trompe, « peu nous suffit » disait le prophète Mohamed ( que le salut soit sur lui).

    Et en ce mois de ramadan je prend conscience que assurément peut nous suffit. Et cette suffisance dans la modération améliore le bien-être.

    C’est le point de vu de mon ressenti, de ma sensibilité; Dieu est plus savant.

  8. Il aurait était intéressant d’introduire la notion d’envie plutôt que de besoin.
    Les besoins physiologique doivent être par définition assouvis (faim, soif, sommeil….) .
    Les besoins matériel eux dépendent du contexte dans lequel nous vivons ,c’est à cette frontière qu’il faudrait je pense introduire la notion d’envies.

    Car le plus dur pour l’être humain sur ce sujet est d’être capable d’estimer quelle est la part de besoin et la part d’envie dans ces attentes.
    Une des clefs je pense est comme vous l’avez dit, de ce poser la question de savoir si on a fait naître en nous ces « besoins » ou si ils émanent réellement de nous.

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