Face à nos peurs

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LE CHOIX DE LA CONFIANCE

Que peut-on dire de l’avenir des sociétés occidentales en général et
européennes en particulier ? Comment analyser et comprendre les
crises et les difficultés auxquelles nous faisons face ? Comment
appréhender nos peurs et ces débats récurrents sur nos racines, notre
identité, l’intégration, l’immigration, la sécurité ? Comment évolue la
présence musulmane en Occident ? Quelles sont les opportunités à saisir
et les obstacles à surmonter ? Peut-on identifier les opposants à cette
présence musulmane et la nature de leurs motivations ? A-t-on des raisons
de demeurer optimistes ?

Le présent livre est un ouvrage de clarification. Il s’agit d’un exposé court
et très accessible des idées fondamentales de Tariq Ramadan. Cet ouvrage
est destiné à celles et ceux qui n’ont pas beaucoup de temps : les citoyens ordinaires, les politiciens, les
journalistes, voire certains travailleurs sociaux ou même des enseignants, un peu pressés… mais qui désirent
néanmoins comprendre et, le cas échéant, vérifier la substance et les contours d’une pensée et d’un
engagement de plus de vingt ans à travers le monde et l’Europe.

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11 Commentaires

  1. bismi Allah
    assalamou ‘alaykoum,

    frère tarek jazaka Allah de faire autant pour la communauté humaine tout simplement.
    Je n’ai pas encore lu vos livres(les tout récents) , mais j’espère qu’ils seront comme un couteau suisse : utile, intelligent et un soutient dans tout les moments, surtout difficile.
    Un mot qui m’as beaucoup parlé en voyantla couverture de votre livre, c’est le mot confiance;
    je vous comprends, surtout s’il s’agit de confiance envers le Créateur, là je suis tout à fait d’accord.
    Mais pour la confiance aux humains, on le peut je pense, seulement et si il y a une conscience (de nos maux…). Pour moi confiance doit absolument rimer avec conscience, sinon on en abuserai à tort et à travers, et à la fin on finira par tuer (je pense que c’est ce qui est en train de se produire )la confiance. La personne qui montrera qu’elle a vraiment conscience de qui est l’autre, de son chagrin, de sa joie, de nos maux…et de vouloir y remédier pour aider la communauté humaine, à cette personne on peut lui donner notre confiance incha’Allah. Mais évidement cette personne doit être sage, et faire ce qu’elle dit (bon nombre de conférencier parle de belles choses lors de leurs conférence, mais dans la vie quotidienne il ne la pratique pas eux même…)
    wa Allahu a’lem

  2. Excellente initiative ! Toutefois, permettez moi de vous noter que vos écrits récents doivent être visibles sur les linéaires des libraires généralistes. Mais peut être est-ce le cas. « N’ayez pas peur » est possible si et seulement si la majorité prend le temps de se poser et de s’informer, autonomiser son jugement. La loi de la majorité est à double tranchant et le populisme ambiant se combat par une politique offensive de mise à disposition la plus large possible d’écrits structurants. Des textes courts qui fédèrent. Un prochain travail pour que islam et soufisme soient identifiés comme identiques et non plus antagonistes serait une suite intéressante à donner à votre parcours. Salam Et pourquoi pas un journal ou un magazine de réflexion (carence actuelle), de textes choisis (patrimoine de l’Humanité indiscutable), entre autres rubriques. Sourire Licitement, Une soeur.

  3. Salam

    Une bonne partie des savants et intellectuels (homme et femme) ont aussi une grande peur a notre époque de faire confiance à la jeuneusse, c’est peut-etre plus grave que le reste.

    Il faudra un jour qu’ils acceptent(en occident comme ailleurs) que la jeunesse est bonne à autre chose que de reciter le coran ,et d’écrire des poêmes.

    on est bien loin des temps ou la jeunese était honorée et soutenue, maintenant elle est regarder de façon condescendante et jugée.

    Tout cela dans un silence honteux,comment peut-on parler de réformisme quand on ne fait pas confiance à la jeunesse.

    Salam

  4. Salam

    Réformisme social au XIXe siècle, paternalisme autoritaire au XXIe

    Des « classes dangereuses » à discipliner

    Opérations policières à grand spectacle, inflation de la vidéosurveillance : à la veille des élections municipales françaises, les politiques publiques de lutte contre la délinquance prétendent « restaurer l’autorité ». Depuis 2001, au moins treize textes de loi ont renforcé l’arsenal juridique destiné à combattre l’« insécurité ». Les réformateurs sociaux, quant à eux, avaient compris dès la fin du XIXe siècle qu’un maintien durable de l’ordre impose l’amélioration des conditions d’existence.
    Par Laurent Bonelli

    Si l’on en juge par le nombre de candidats, de gauche comme de droite, qui ont axé leur campagne sur la mise en place de caméras de vidéosurveillance ou d’une police municipale, il semblerait que la « sécurité des biens et des personnes » occupe une place importante dans les élections municipales des 9 et 16 mars 2008. En la matière, c’est surtout sur le terrain de la « restauration de l’autorité » que les élus municipaux sont mis à contribution, notamment depuis la loi relative à la prévention de la délinquance du 5 mars 2007 (1). Au point que certains d’entre eux s’inquiètent du rôle de maire Fouettard que l’on veut leur faire endosser.

    Depuis la fin des années 1990, la « crise de l’autorité » est en effet devenue un lieu commun pour expliquer les problèmes de violence ou de délinquance de la société française. C’est même l’un des thèmes favoris de M. Nicolas Sarkozy, qui déclarait en février 2007 : « A bas l’autorité ! C’était cela le programme de Mai 68. A bas l’autorité ! Le moment était venu de vivre sans contrainte et de jouir sans entrave. A bas l’autorité ! C’était, prétendaient-ils, la condition de la libération de l’homme aliéné par le travail, par la vie en société, par l’économie, par son éducation et même par sa famille. A bas l’autorité ! Cela voulait dire : l’obéissance de l’enfant à ses parents, c’est fini ! Démodé ! La supériorité du maître sur l’élève, c’est fini ! Ringard ! la soumission à la loi, c’est fini ! Dépassé ! le pouvoir de police, c’est fini ! Enfin ! (…) la morale, c’est fini ! (…), la politesse, la courtoisie, le respect pour la personne âgée, pour la femme ! C’est fini (2) ! » Il n’est pas le seul : M. Gérard Larcher, ministre délégué à l’emploi, au travail et à l’insertion professionnelle des jeunes du gouvernement Villepin, analysait les troubles d’octobre-novembre 2005 comme la conséquence d’une absence de repères liée à la polygamie des familles africaines. Et on ne compte plus le nombre d’intellectuels qui évoquent la « crise du modèle parental maghrébin (3) » et appellent la République à réapprendre à punir.

    Généralement, ces visions oscillent entre une version conservatrice (l’incapacité des familles populaires et/ou migrantes à élever leurs enfants) et une version misérabiliste (les pères « humiliés » et donc démissionnaires). Mais elles convergent vers une nécessaire intervention des pouvoirs publics pour restaurer une autorité parentale dont le délitement serait responsable de bien des maux. Or aucune de ces approches ne permet réellement de comprendre quelles sont les conditions pratiques dans lesquelles cette autorité s’exerçait hier et s’exerce aujourd’hui.

    Pendant longtemps, c’est bien davantage le travail non qualifié que l’action de leurs familles qui a discipliné les fractions les plus turbulentes des classes populaires. Pour les « blousons noirs », les « loubards », l’entrée à l’usine servait en effet de phase transitoire entre la « culture de rue » propre à leur sociabilité juvénile et une culture ouvrière qui allait devenir la leur. L’atelier, en intégrant largement les normes et les valeurs de ces jeunes, tout en posant une limite claire entre l’acceptable et l’inacceptable, a longtemps fonctionné comme une véritable institution de « normalisation ». Et ce d’autant plus qu’il offrait des possibilités de se projeter dans l’avenir. En effet, la prévisibilité qu’induisait le statut ouvrier permettait de fonder une famille, de faire des « projets », d’achats, de vacances, de logement, etc. En un mot, de « se ranger ».
    Conflits de voisinage, débrouille quotidienne

    Un des effets paradoxaux de la flexibilisation des statuts professionnels, de la montée de la précarité et de l’accroissement des inégalités économiques que l’on observe depuis le début des années 1980 est qu’elles réintroduisent de manière automatique, et sans doute inévitable, des formes d’indiscipline présentes dans les débuts de la révolution industrielle. En effet, l’indétermination quant à l’avenir enferme les individus dans un présent qui s’accommode de l’ensemble des occasions qui se présentent, licites ou pas.

    Mais, à la différence du XIXe siècle, où cette situation était généralisée dans les milieux populaires, les désordres urbains, la petite délinquance ou plus généralement la « débrouille » quotidienne sont aujourd’hui d’autant plus mal perçus qu’ils matérialisent une césure entre les « vieux ouvriers » et les « jeunes sans affectation » scolaire ou professionnelle. Sous le double effet de leur vulnérabilisation sociale et de leur vieillissement, les premiers voient en effet s’affaiblir le contrôle qu’ils pouvaient exercer sur les seconds, même lorsque ceux-ci sont leurs propres enfants. L’occupation des espaces publics, les conflits de voisinage, la fréquence de comportements qui achoppent avec leurs propres normes du quartier leur rappellent à chaque instant ce renversement des rapports de forces. Tout cela provoque, selon les cas, des tentatives de départ du quartier, un repli sur l’espace domestique, voire des appels aux pouvoirs publics pour restaurer leur autorité.

    C’est sur ce terrain que va se déployer le « tournant sécuritaire » des principaux partis de gouvernement, de droite comme de gauche. Confrontés à une augmentations des tensions au niveau local, prenant acte d’une érosion régulière de leurs résultats électoraux dans les milieux populaires et d’une croissance simultanée du Front national (au moins jusqu’à 2007), nombre de dirigeants politiques sont arrivés à la conclusion qu’ils ne pourraient « reconquérir » ces électorats que par un durcissement de leurs politiques de sécurité. Leurs analyses reposent sur le présupposé d’une « personnalité autoritaire » des classes populaires (4). Cette philosophie implicite suppose que ces dernières seraient plus fermées par rapport aux minorités avec lesquelles elles vivent, plus soumises à l’autorité et plus répressives que les autres groupes sociaux. Ces assertions ont été depuis longtemps invalidées par les sciences sociales, sans que cela interrompe leur réitération et nuise à leur impact politique. Il est en effet bien plus facile de croire que les milieux populaires demandent plus de fermeté envers les « délinquants », les « familles monoparentales » ou les « immigrés » que de penser les compétitions dans lesquelles ils sont engagés quotidiennement. Ce sont pourtant ces concurrences – sur le marché de l’emploi non qualifié, celui du logement social, des prestations familiales –, dans un contexte de précarisation généralisée, qui permettent de comprendre des tensions qui seront verbalisées sous des formes « racistes » ou « sécuritaires ».

    De là les mesures qui renforcent le spectre des interventions policières, judiciaires ou morales. Non seulement la police et la justice doivent désormais réguler des comportements qui ne leur incombaient pas auparavant, mais l’« autorité parentale » est devenue un objet de politique publique. Des conseils « pour les droits et devoirs des familles » au chantage aux prestations sociales, il s’agit d’amener (ou de contraindre) les familles à juguler l’indiscipline de leurs enfants.

    Or ce nouveau paternalisme autoritaire mérite attention. Il y a plus d’un siècle, la révolution industrielle posa en effet des problèmes similaires. L’exode rural important, la concentration physique dans les villes de travailleurs déracinés détruisirent les formes traditionnelles de contrôle, basées sur la proximité et la personnalisation de l’autorité. Les principales préoccupations des élites politiques et sociales furent donc de créer une discipline au travail ainsi que d’essayer d’enrayer simultanément les désorganisations générées par le développement économique (surpopulation des villes, délinquance, alcoolisme, etc.) et la montée des revendications socialistes soucieuses de bouleverser l’ordre social.

    Il s’agissait d’abord de faire en sorte que les ouvriers viennent travailler. Cette question inséparablement pratique et morale est au fondement des campagnes contre l’alcoolisme, qui en Angleterre déboucheront sur la fermeture des pubs à partir de 23 heures, ou en France sur la prohibition de l’absinthe et la construction médico-morale de sa dangerosité. Mais il fallait également s’assurer qu’ils travaillent correctement. Le contrôle des temps et des rythmes de travail a été l’un des vecteurs majeurs pour encadrer les conduites non seulement dans l’usine, mais aussi à l’extérieur (5). Il fallait fixer la main-d’œuvre qualifiée, restreindre au maximum l’oisiveté (« mère de tous les vices ») et l’imprévoyance liées à l’intermittence du travail. De là toutes les tentatives de limiter la mobilité des ouvriers, soit de manière coercitive (c’est le cas de l’instauration du livret ouvrier), soit en s’engageant sur le long terme (les contrats à durée indéterminée correspondent à ce cas de figure). L’octroi de ces statuts, introduisant pour la première fois une prévisibilité dans le monde ouvrier, contribua à discipliner leurs conduites, d’autant plus qu’ils étaient adossés au développement de politiques sociales.

    Pour nombre de réformateurs sociaux, ces dernières apparurent comme un instrument privilégié d’acquisition d’habitudes « morales » – avant tout la responsabilité et la « prévoyance » – pour les classes populaires, qu’ils reliaient à l’amélioration de la justice sociale (6). Comme l’indiquait Jules Siegfried (1837-1922), en préfigurant les premiers logements sociaux : « Voulons-nous faire à la fois des gens heureux et de vrais conservateurs ; voulons-nous combattre en même temps la misère et les erreurs socialistes ; voulons-nous augmenter les garanties d’ordre, de moralité, de modération politique et sociale ? Créons des cités ouvrières (7) ! »

    Cette double dimension d’amélioration des conditions de vie et de maintien de l’ordre social explique le succès des politiques sociales, renforcé après la seconde guerre mondiale par la montée du dirigisme d’Etat, par l’existence d’un mouvement ouvrier fort et structuré, et par la croissance économique encadrée par les gouvernements.

    Nous n’en sommes plus là. La crise économique, les mutations du capitalisme postfordiste adossées aux programmes de réforme libérale de l’Etat ont largement redéfini, sans doute sans le vouloir, les conditions de cette discipline. Et, de la même manière que les réformateurs sociaux du XIXe siècle essayaient d’asseoir un nouvel ordre social, les réformateurs sécuritaires du début du XXIe siècle recherchent dans l’extension de l’intervention policière, judiciaire et du contrôle, les moyens de contrarier les effets des dérégulations multiples qui affectent les classes populaires. Théorie de la « vitre brisée (8) », couvre-feux pour les mineurs, vidéosurveillance, arrêtés antimendicité, mais aussi responsabilisation des parents, ne sont rien d’autre que des exemples de ces nouvelles technologies de gouvernement dont on attend qu’elles garantissent une paix sociale.

    Or il est peu probable que ces types de discipline puissent fonctionner. On sait depuis Max Weber que l’assise de l’autorité est proportionnelle à sa légitimité auprès de ceux sur lesquels elle s’exerce, c’est-à-dire aux contreparties qu’elle est capable de leur procurer (9). Il semble donc un peu vain d’attendre de ces technologies qu’elles garantissent l’ordre, simplement en exacerbant les différences entre « bons » et « mauvais » citoyens, et en insistant sur la « responsabilité individuelle » de chacun.

    Au contraire, tensions et désordres résultent directement des contradictions inscrites au cœur même des modèles de développement qui ont étés choisis depuis une trentaine d’années. Contradictions dans lesquelles les efforts des uns pour assurer l’ordre sont détruits par l’organisation du désordre des existences voulu par d’autres. Insécurité physique et insécurité existentielle sont indissociables. En d’autres termes, c’est à partir d’une réflexion sur les conditions nouvelles d’existence des classes populaires que l’on peut se donner les moyens d’instaurer un ordre social plus harmonieux, et sûrement pas en jouant du spectre de la perte d’autorité, vieille figure imposée de la rhétorique conservatrice. Mais, malgré les similitudes, ce n’est pas M. Sarkozy qui proclamait : « Notre jeunesse est mal élevée, elle se moque de l’autorité et n’a aucune espèce de respect envers les anciens. Nos enfants aujourd’hui ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce, ils répondent à leurs parents et bavardent au lieu de travailler », mais le philosophe grec Socrate, au Ve siècle avant notre ère…
    Laurent Bonelli.

    les propos de Socrate de la fin de l’article sont malheureusement très présent dans le discours islamique(qui ne propose pas grand chose en revanche) aujourd’hui, il y a de quoi s’inquéter

    Salam

    • La religion aborde la méthodologie pour s’ouvrir à davantage de libertés émancipatrices ; elle n’a pas pour vocation première l’établissement d’une gestion politique d’une population donnée. Toutefois, la paix intérieure qu’elle doit offrir aux pratiquants aboutit inévitablement à une autonomie de jugement et, donc, à agir sur son environnement et penser les problèmes du monde le plus justement possible. M. RAMADAN ne peut pas concentrer toutes les compétences. Toutefois, son dernier ouvrage illustre bien ce que croire implique d’éthique au quotidien. Le croyant fera l’effort. L’agnostique doute, discourt et attend que la société se construise sans son apport. Pour etre présente dans différentes associations de solidarité, je peux témoigner que peu de jeunes s’engagent autrement que dans les loisirs ! Si Dieu Veut, la portée de son dernier ouvrage devrait montrer combien croire produit de valeur ajoutée … humainement responsable. Salam Et merci pour votre article : il est de bonne qualité.

  5. Salam

    Je viens de terminer la lecture de cet EXCELLENT livre qui balise merveilleusement le chemin (ement) que doit emprunter tout musulman qui veut être digne de ce nom .
    Cet ouvrage en anglais sera très très utile aux USA . Beaucoup de propositions concernant l’implication sociale et associative s’y développent de plus en plus ( Au Texas (Dallas)où des musulmans sont présents dans plusieurs associations bénévoles d’intérêt publique)

    • Je confirme. Ce livre est un synthèse éclairante et passionnante de la démarche de T. Ramadan.

      Il permet de situer et de comprendre les lignes de force d’une vision d’une richesse immense pour notre commune humanité.

      Il est destiné à un très large public, et notamment non musulman. Etre un pont entre deux rives, c’est le choix difficile de l’auteur, mais qui peut amener à une meilleure compréhension et au désir de faire, de vivre ensemble.

      Si cela pouvait être compris…

      F

  6. salam alikom
    je suis marocaine , je ss tres convaincu par les idéés de M tariq ramadan , j’ai pas encour lu ce livre , mais nchaelah je vais l’acheter ,
    tous les idées de M ramadan sont raisenable , et parfois il fait des interpretations tres pertinent , je l’admire beaucoup , et lah y3awnkom

  7. Si le croyant ne fait pas l’effort de communiquer avec cette société, son culte de l’ultra individualisme ne poussera pas le non croyant à le faire (rappel : Le terme de judeo christianisme est réitérant toutefois la culture occidentale n’a pas été travaillée par l’un des commandements essentiels : l’accueil du nouvel arrivant. C’est un constat et il est à la genèse de bien des maux actuels.). Cette culture est toutefois riche dans bien des domaines et les apports réciproques certains.
    Par expérience personnelle, je peux affirmer que nos sociétés civiles ont soif de repères et qu’elles savent les reconnaitre lorsque nous prenons le temps de dialoguer. pour celà faut il encore ne pas etre soi meme lourd de préjugés. Comment convertir autrement que par l’apport et la patience ? Pour le moment le résultat est loin d’etre satisfaisant ; faut il rappeler que les conversions sont davantage culturelles qu’essentialistes !
    Licitement,

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