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Muslim-Christian dialogue can succeed only by recognizing realities : Tariq Ramadan

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Indian MuslimsBy TwoCircles.net staff reporter,New Delhi : Eminent theologian and writer Tariq Ramadan delivered a lecture on ‘Christianity and Islam : Values and History’ on 3rd July at Jamia Millia Islamia (JMI). The programme was organized under JMI’s Outreach programme.

Prof Ramadan’s talk focused on the similarities and differences between the two great religions of the world and the need to rise above differences and look at ways to live with harmony and trust. He stressed the need for honest self-appraisal, critical thinking and a commitment to the principles of one’s own religion while also showing respect for other traditions, beliefs and practices.

A Swiss Muslim, academic and theologian, Ramadan spoke passionately for the need to re-visit and re-appraise old, contentious issues. He advocated the studying and re-interpretation of Islamic texts, and emphasized the heterogeneous and diverse nature of Islamic society. He stressed that Muslims in Europe have to establish a new “European Islam” and emphasized the necessity for their engagement in European society.

A measure of his popularity was found in the lively Q&A session that followed his talk and the group of, mostly young, admirers, who besieged him at the tea that followed. Widely read in India, Ramadan is the author of 15 books on Islam, most readable among them if the biography of the Prophet, In the Footsteps of the Prophet : Lessons from the Life of Muhammad. His other books include Western Muslims and the future of Islam and To Be a European Muslim., Islam, the West, and the Challenge of Modernity.

Ramadan has taught Religion and Philosophy at the University of Fribourg and the College de Saussure, Geneva and later at St Anthony’s College, Oxford. In September 2005 he was invited to join a task force by the Government of UK. He is also guest professor of Identity and Citizenship at Erasmus University, Rotterdam and an advisor to the EU on religious issues.

He was introduced to the audience by JMI vice-chancellor Prof. Mushirul Hasan.

Addressing the audience, Ramadan said he had been among Christians for a number of years in order to comprehend this topical theme and traversed the space from experience to the text (Qur’an) and, then, it dawned upon him what he was going to convey.

Ramadan said we should admit that we can commit mistakes in understanding the text, whether from Qur’an or from Bible, and that whatever the Jews and Christians opine about us that ideology is based on their reading of Torah and Bible. He said usually we compare our ideals with others’ reality which is not correct, though we can compare our text with others’ text, our values with others’ values and our situation with others’ situation. He advised that we should study history because it makes a man humble and deepens the understanding of a mind. Knowing history we can understand the text properly, saying that all religions may be great or may not be so.

Ramadan said dialogue requires understanding other peoples’ psyche because we cannot understand other people without understanding it. Referring to truce of Hudaibiyyah, he said the Prophet of Islam (S.A.W.) was adept in understanding peoples’ psyche and their nature. He said we need to admit the mental trauma caused to others and ourselves as well as the excesses committed in past so that the dialogue may proceed. Citing the period of Ottoman Empire as an example, he said we should admit that the non-Muslim were required in that period to wear a particular type of dress and that excesses were committed against Ahl-e-Zimmah (non-Muslims living in a Muslim country).

He said three things are essential for a dialogue : intellectual empathy, deep faith and rationality and spirituality. He said it may be incorrect to ask any person to observe veil, it is equally wrong for a state to force anyone to not observe veil. He said the first thing required for coming out of the present situation is humility, education, self-knowledge and patient ears for others. Second point is dialogue that requires removing non-confidence from the mind of the other partner of dialogue. Third point is recognizing that all points are important and the fourth one is attachment of scholars participating in the dialogue with their own community. He said the last condition is working together and this requires respecting others’ nature and dignity as well as sense of justice.

SOURCE : Indian Muslims

20 Commentaires

  1. …travaiiler, vivre, grandir, aimer, progressesr ensemble nécessite le respect de la nature et de la dignité de l’autre, ainsi qu’un indéfaillible sens de la justice – Vrai !

    maacha’ Allah écoutez cette terrible leçon, ce poignant appel que nous lance une de nos enfants à ce propos et qui, pour le moins, interpelle !!
    http://www.youtube.com/watch?v=5JvVf1piHXg

    ***

    Que le chemin soit doux pour la vie.., et que la vie soit archi douce pour lui

    et puisse le soleil darder un peu ses rayons sur la plaine, potferdek !
    😉

  2. Salam
    Bonjour, Pour alimenter une bibliographie de textes sur ce thème de la convergence voici ce que j’ai lu il y a un an ou deux : « L’Islam tel que je l’ai connu: Religion de la clémence et de la paix »
    Nasri Salhab, chétien libanais
    Editions ISESCO, 2003
    trouvé sur jeunessearabe.info

    DL
    musulmane convertie française

    • Salam alaykum non je ne me suis pas convertie pour un mariage avec un musulman.
      Danièle

    • Salamahleikoum

      Je suis une jeune musulmane pratiquante, mais voila, cela fait 5 ans que je suis dans le trouble.
      Je fréquente un jeune copte orthodoxe depuis ma tendre enfance. Nous avons grandi ensemble, et nous voilà amoureux à l’age adulte. Nous désirons nous marier. Le problème c’est qu’il est copte et moi, musulmane, et malgré toute les tentatives d’ouverture d’esprit auprés de nos familles, celles ci onts étés radicale envers nous. Je ne peux me convertir car je croix déjà en Jésus ( Issa) , et lui ne peux ce convertir même s’il m’affirme clairement qu’il croit au message de Mohamed. Apparement, il règne un climat trés tendu entre copte et musulman en Egypte, et ses parents sont insuportables à l’idée de savoir que leur fils veut m’épouser. Maintenant, ma question est la suivante: Puis je me marier avec cet homme? répondez moi s’il vous plait car je ne sais plus quoi faire.

  3. Salam re-bonjour,
    Ce silence de commentaires en dit long ou parle beaucoup sur nos idées sur le sujet abordé. Pourtant

    La Plus Haute Forme d’Intelligence est La Bienveillance Dieu est Amour : c’est ce que toute personne de foi apprend avec sa religion. Toutes les religions nous demandent d’aimer l’autre pour notre bien-être. Tout croyant est de la communauté des humains tout simplement.

    Il y a tellement de gens sur la planète qui prient Dieu s’ils se donnaient la main ils en feraient des choses bienveillantes insha’allah. Mais voilà

    c’est trop simple et évident cela ne nous saute pas aux yeux.

    Danièle Lacroix

  4. SALAM,
    DE SMAIL AHMED,ETUDIANT MAROCAIN À LA FUCAM.
    A LA FUCAM (UNIVERSITE CATHOLIQUE DE MONS), IL Y A UN PROFESSEUR DE PHILOSOPHIE ET DE SCIENCES RELIGIEUSES MR Mondet Jean-Pierre,QUE JE REMERCIE VIVEMENT POUR SES ATTITUDES POSTIVES VERS L’ISLAM. L’ANNÉE PASSÉ ON A EU UNE LONGUE DISCUSSION SUR LES DEUX RELIGIONS; LE ROLE DES HOMMES RELIGIEUX AU SEIN DE LA SOCIETE ET LES DETERMINANTS DE LA LIBERTÉ CHEZ NOUS EN TANT QUE MUSULMANS…
    CETTE DISCUSSION M’ A POUSSÉ A REFLICHIR SUR LE ROLE DES OLAMA ET DES IMAMS ACTULEMENT DANS LES PAYS MUSULMANS ET SURTOUT AU MAROC. MALHEUREUSEMENT LA MAJORITÉ DES IMAMS NE SONT PLUS DES IMAMS MAIS PLUTOT DES CHEFS DES GROUPES DIFFERENTS DANS LEUR COMPRHENSION ET DANS LEURS VISIONS, CE QUI A ENTRAINÉ UN FROZEN ROLE DE CES TROUPES.
    JE NE SAIS PAS SI ILS SONT CONSCIENT DE CETTE CATASTROPHIQUE DIVSION. LE SYSTEME POLITIQUE EN PLACE EST DÉJA CONTRE EUX ET CONTRE LES INITIATIVES DE CHANGEMENT QUI PEUVENT LE METTRE EN QUESTION. ET EN PLUS ILS SONT TOUS IMPLIQUÉE DANS UNE GUERRE L’UN CONTRE L’AUTRE POUR???????????????…??
    D’AILLEURS ILS SONT AMR KHALED, SAMI YUSUF ET TARIQ RAMADAN PARCE QUE ILS ONT PAS DE LONGUE BARBE ET UN ANCIEN DJELLEBA QUI PROUVE QU’ILS SONT DES VRAIS MUSULMANS.
    COMME L’A DIT TARIQ RAMADAN  » ON EST LOIN »
    – je remercie tariq ramadan d’avoir visiter oujda (ma ville natale) et pour les dex conferences. On a vraiment besoin de 10000 tariq ramadan la bas pour ouvrir les yeux..

  5. Le conseil général de Seine-Saint-Denis a créé un Observatoire comme il n’en existe nulle part dans les autres départements : L’ Observatoire départemental des violences envers les femmes dont on ira voir avec intérêt

    violences envers les femmes dont on ira voir avec intérêt

    l’édifiant site Internet.http://www.seine-saint-denis.fr/-Observatoire-dpartemental-des-.html

    Voici quelques axes de travail

    Agir contre les agressions sexuelles La 6e Rencontre départementale de l’Observatoire des violences envers les femmes aura lieu le 21 février 2008

    Femmes du monde en Seine-Saint-Denis 5 propositions pour pour une meilleure prise en charge des victimes de violences et pour le développement de la prévention.

    Enquête sur les comportements sexistes et les violences envers les filles. Voici les premiers éléments de l’enquête sur les comportements sexistes et les violences envers les filles réalisée en Seine-Saint-Denis.

    Contre le mariage forcé Le Conseil général met en place un protocole d’aide aux personnes victimes de la pratique du mariage forcé.

    La Seine-Saint-Denis est le département hébergeant le plus de colons musulmans. Voir une corrélation entre le taux ultra élevé de violences sexistes et l’islamisation n’est bien sûr qu’un amalgame xénophobe. A quand les assistantes sociales dans les mosquées pour des cours de savoir vivre ?
    JV

    • Qui a colonisé qui, historiquement?

      Qu’a fait en Algérie l’aimable colonel Bugeaud?

      Qui a été recruter les ouvriers nécessaires à l’industrie dans les années 60?

      Critiquer les mariages forcés, oui, et surtout agir en prévention. Avec les premières concernées et leur milieu familial.

      Ouvrir la porte à tous les amalgames, non!

      F


  6. Pourquoi l’Occident est supérieur – Ibn Warraq répond à Tariq Ramadan

    Ibq Warraq publie un condensé des arguments présentés dans un débat où il prenait la défense – à l’encontre de Tariq Ramadan – des valeurs de l’Occident : démocratie, liberté, tolérance. Il démontre l’éclatante supériorité de ces valeurs sur celles des sociétés islamiques. Les musulmans sont mal placés pour nous servir des homélies moralisatrices.

    Traduction de Why the West Is Best -My response to Tariq Ramadan, par Ibn Warraq, City Journal, Winter 2008, vol. 18, No. 1

    En octobre dernier, j’ai participé à un débat organisé à Londres par Intelligence Squared, pour examiner la motion, « Nous ne devrions pas hésiter à affirmer la supériorité des valeurs occidentales ». L’intellectuel musulman Tariq Ramadan, entre autres, prenait la parole contre la motion. J’ai parlé en faveur de la motion, en mettant l’accent sur les vastes disparités entre les sociétés islamiques et occidentales dans les libertés, les droits humains et la tolérance. Je présente ici les arguments que j’ai avancés, de manière quelque peu condensée.

    Les grandes idées de l’Occident – le rationalisme, l’auto-critique, la recherche désintéressée de la vérité, la séparation de l’Église et l’État, la primauté du droit et l’égalité devant la loi, la liberté de pensée et d’expression, les droits humains et la démocratie libérale – sont supérieures à toutes les autres idées conçues par l’humanité. C’est l’Occident qui a pris des mesures pour abolir l’esclavage, les appels à l’abolition ne résonnaient pas encore en Afrique où les tribus rivales vendaient des prisonniers noirs à l’esclavage. L’Occident a obtenu des libertés pour les femmes et les minorités raciales et autres dans une mesure inimaginable il y a 60 ans. L’Occident reconnaît et défend les droits de l’individu : nous sommes libres de penser ce que nous voulons, de lire ce que nous voulons, de pratiquer notre religion, de vivre la vie de notre choix.

    Bref, la gloire de l’Occident, comme dit le philosophe Roger Scruton, c’est que la vie ici est un livre ouvert. Dans l’islam, le livre est fermé. Dans de nombreux pays non occidentaux, en particulier les pays islamiques, les citoyens ne sont pas libres de lire ce qu’ils souhaitent. En Arabie Saoudite, les musulmans ne sont pas libres de se convertir au christianisme et les chrétiens ne sont pas libres de pratiquer leur foi – des violations manifestes de l’article 18 de Déclaration universelle des droits de l’Homme de l’ONU. En contraste avec l’état d’engourdissement forcé des esprits par les certitudes et les règles de l’islam, la civilisation occidentale offre ce que Bertrand Russell a une fois appelé « la libération du doute », qui encourage le principe méthodologique de scepticisme scientifique. La politique occidentale, comme la science, procède par le biais de tâtonnements, de débats ouverts, de critiques et d’auto-correction.

    On pourrait caractériser la différence entre l’Occident et le Reste comme une différence de principes épistémologiques. Le désir de connaître hérité des Grecs, peu importe où il mène, a conduit à une institution inégalée – ou très rarement égalée –en dehors de l’Occident : l’université. Avec des instituts de recherche et des bibliothèques, les universités sont, au moins idéalement, des académies indépendantes qui incorporent ces normes épistémologiques, là où nous pouvons rechercher la vérité dans un esprit désintéressé d’enquête, à l’abri des pressions politiques. En d’autres termes, derrière le succès de la société occidentale moderne, avec ses sciences, sa technologie et ses institutions ouvertes, se trouve une manière de regarder le monde, de l’interpréter, de reconnaître et de corriger les problèmes.

    L’édifice de la science moderne et de la méthode scientifique est l’un des plus grands dons de l’homme occidental au monde. L’Occident nous a donné non seulement la quasi-totalité des découvertes scientifiques des 500 dernières années, de l’électricité aux ordinateurs, mais aussi, grâce à ses élans humanitaires, la Croix-Rouge, Médecins Sans Frontières, Human Rights Watch et Amnesty International. L’Occident fournit le gros de l’aide aux victimes du Darfour ; les pays islamiques sont remarquables par leur manque d’aide.

    Par ailleurs, d’autres parties du monde reconnaissent la supériorité occidentale. Lorsque d’autres sociétés, comme la Corée du Sud et le Japon, ont adopté les principes politiques occidentaux, leurs citoyens ont pris leur plein essor. C’est vers l’Occident, et non l’Arabie Saoudite ou l’Iran, que fuient des millions de réfugiés en provenance de régimes théocratiques ou d’autres régimes totalitaires, à la recherche de la tolérance et de la liberté politique. Pas plus que n’importe quel politicien occidental serait capable de s’en sortir avec les propos antisémites que l’ancien Premier ministre de Malaisie Mahathir Mohamad a tenus en 2003. Les excuses fournies à la diatribe de Mahathir indiquent non seulement une double norme, mais aussi une reconnaissance tacite que nous appliquons des normes éthiques plus élevées pour les dirigeants occidentaux.

    Une culture qui a donné au monde le roman, la musique de Mozart, de Beethoven et de Schubert, et les peintures de Michel-Ange, Da Vinci et Rembrandt n’a pas besoin de leçons de sociétés dont l’idée du paradis, peuplé de femmes vierges, ressemble à un bordel cosmique. Pas plus que l’Occident n’a besoin de leçons sur la supériorité des sociétés dans lesquelles les femmes sont maintenues dans la soumission sous la charia, subissent des mutilations génitales, sont lapidées à mort sous l’accusation d’adultère, et sont mariées contre leur gré à l’âge de neuf ans, des sociétés qui nient les droits des prétendues basses castes, des sociétés qui exécutent les homosexuels et les apostats. L’Occident n’a pas besoin des homélies moralisatrices de sociétés qui ne peuvent fournir de l’eau potable ou des systèmes d’égoût, qui n’ont pas de services pour les handicapés, et qui laissent 40 à 50 pour cent de leurs citoyens analphabètes.

    Comme l’ayatollah Khomeini a dit une fois, il n’y a pas de blagues dans l’islam. L’Occident est capable de regarder ses faiblesses et de rire, de se moquer de ses principes fondamentaux, mais il n’existe pas encore d’équivalent de Life of Brian par Monty Python en Islam. Pouvons-nous espérer, un jour, à une Life of Mo ? Probablement pas – encore un petit signe que les valeurs de l’Occident restent le meilleur moyen – et peut-être le seul – pour permettre à toutes les personnes, peu importe leur race ou croyances, de réaliser leur plein potentiel et de vivre en liberté.

    Depuis 1998, Ibn Warraq a publié plusieurs ouvrages de critiques coraniques et sur les origines de l’Islam, y compris Leaving Islam : Apostates Speak Out, Defending the West : A Critique of Edward Said’s Orientalism, et Which Koran (À paraître)

    • Sur Ibn Warraq, voir l’article le concernant sur Wikipedia. Il y est notamment relevé :

      « Son livre « Pourquoi je ne suis pas musulman » se veut une étude historique et théologique, comprenant l’étude des incidences politiques de l’islam et des civilisations musulmanes. Ibn Warraq soutient une critique, d’un point de vue qui privilégie la raison sur la croyance religieuse, et qui est très sévère à l’égard de l’islam. Selon son étude, ce qu’il consière comme un problème n’est pas seulement l’intégrisme d’une certaine forme de l’islam, mais l’islam lui-même. Taslima Nasreen présente ainsi l’ouvrage de Ibn Warraq : « L’idée maîtresse contenue dans l’argumentation d’Ibn Warraq est énoncée avec force: le problème n’est pas simplement l’intégrisme musulman, mais l’islam lui-même. »  »

      C’est une position qui conviendra facilement à tous ceux qui n’arrêtent pas de déligitimer cette religion plus qu’une autre.

      Dans le contexte où l’on nous rabâche le discours de la « guerre de civilisations », ce type d’approche envenime les points de vue et ne sert pas la cause de la compréhension et du vivre ensemble.

      F

    • Salam,

      Où peut-on trouver, en «occident», une population ou un gouvernement où tout-le-mode-il-est-beau-tout-le-monde-il-est-gentil?

    • Nulle part au monde, vous ne trouverez! Ce n’est pas une hsitoire d' »Occident ».

      Pour que les choses changent, chacun est responsable, intimement, socialement..

      Bon courage.

      F

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