RMC: « La matinale de JJ Bourdin » 12/12/2014

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3 Commentaires

  1. Salam…

    Quel que soit le domaine conjoncturel le degré émis et la teneur observée d’une interférence intransigeante humiliante et récurrente en tous points de vue, car tous fondamentalement vitaux par prépondérance unanime et estimable à toutes vies, à toutes âmes, à toutes personnes, est-ce la valeur éthique et humaine qui constituent la démesure structurelle des états et qui représentent l’esprit de la géopolitique conflictuelle des sociétés face à la violence idéologique et irresponsable? Pourtant, elle le doit, les scénarios se répètent et s’entretiennent grandement dans l’extravagance et l’inconscience, périlleuse et/ou mortelle, la « prise en otage » belliqueuse et malveillante des valeurs universelles des peuples, pour autant qu’elles soient portés et puissent être reconnues clairement à travers chacun d’eux, comme de l’égalité civile du commun culturel et la dignité humaine d’une diversité démocratiquement partagée et pacifique, en droits en devoirs et en libertés. Et le toit de tout cet historique, encore dramatique, jamais explicite, quasi inextricable, mais aussi intéressé, convoité, observé, questionne au delà de toutes existences terrestres et connues.

    Il peut être dit, aussi, au travers de ces résurgences cruelles et combattives entre des hommes de toutes cultures, empreints de chaque espoirs, sans éthique ni devise réellement appliquées et progressives d’une réalité temporellement existentielle et universelle, aux communs du commun… (une relativité naturelle n’ayant jamais déterminé son fondement, mais juste son entendement),… qu’une forte injustice ajoutée à l’absence de tolérance fasse accroître indéfiniment le questionnement et puisse détériorer tout ou partie des perspectives d’égalités, somme toute humaines, et même terriennes en termes de relativités fondamentales et respectives.

    S’agit-il alors d’un « effondrement » idéologique et compétitif, plus que d’un affrontement identitaire et spirituel, car même si plusieurs représentations historiques et constitutionnelles expriment autant leurs autorités leurs possibilités et leurs responsabilités entre les volontés unies et premières d’une collectivité, et outre des expériences condamnées et commémorées, toutes assemblées étatiques culturelles ou cultuelles semblent imprimer le repli sur soi, comme dans un claquement de doigt pour la vitesse des changements, si je puis me permettre; mais quand un vote permet historiquement pacifiquement démocratiquement et de plus en plus dans le monde, la reconnaissance libre et normale de son égal, de sa réalité, de son existence, quel exemple, quel délai, quelle indifférence dans l’inconscience d’une somme se fait attendre entre les peuples… un différent des frontières des droits et de l’homme peut être…!

    Comme le dit donc le Professeur, à sa manière, faisant la bienvenue, ou la naissance d’un propos, ce n’est pas par le cœur porté battant et voulu au cœur de toutes innocences que l’histoire dessine sa seule sa même et simple vérité… » d’ailleurs, et autrement, elle les domine! Parallèlement et paraboliquement, le « nouveau monde » se présente-t-il aux valeurs d’un travail aussi bien fondé que partagé, tout du moins assisté!!! La cardinalité des cultes et des cultures est-elle mise, remise en cause, pourquoi faire, pourquoi pas, seulement il semblerait que des œuvres contextuelles fraternelles et naturelles de tous temps se soient limitées au pied au mur au risque des titres des logiques et des priorités universelles pourtant compréhensives et compréhensibles dans leur, et tout, cheminement. De quoi les peuples sont-ils encore moins riches, ou plus pauvres, moins unis, ou plus détestés, moins frères, ou plus rivaux,… et que dire avec ou sans distance des schémas de chaque environnement… .

    L’optimisme n’est jamais vain et, compte tenu des activités bienveillantes et formatives qu’elles dispensent, les forces éducatives et sociales, jusque associatives, déjà toutes très et tant sollicitées, ne sont, et ne peuvent donc être ni épargnées de leurs efforts ni orientées favorablement de cette « invertébrale » résonance. Autant les politiques internes externes et économiques de toutes sciences, ou de toutes philosophies, actuelles, ne peuvent être mises hors d’une cause, forcément relative lorsque une cohérence détermine, ou contribue vers l’équilibre du présent et des diagnostiques interhumains…. Dès lors, l’éthique et la laïcité ont sans doute en commun l’altruisme, et de fait à venir et à souhaiter de tous horizons, du pain sur la planche, du sens sur la vie, de la raison sur la colère, à consacrer, et à défendre aussi, pour tous ceux et pour toutes celles arborant et conciliant, individuellement et/ou collectivement, vers une plénitude solidaire digne égale et salutaire au rang d’une Diversité et au titre d’une Citoyenneté, eu égard in fine de l’Humanité…

    « N’est-il pas un retard qui fasse pour quiconque comme le détour, imaginer l’autre parcours… » Quelques mots pour la Jeunesse qui s’en va ailleurs, où chaque ensemble encore n’existe de la paix et pourtant se dispute en suivant comme de leur aveuglement, en pensant comme de leur satisfaisant, en créant comme de leur important.

    …KHassan…Salam…merci…

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