Un Chemin, une vision

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Être les sujets de notre histoireLe présent ouvrage est composé d’une série de textes et d’articles qui
abordent des questions fondamentales pour la conscience musulmane
contemporaine. Des réflexions sur le « discours musulman », la
terminologie, la compréhension des enjeux religieux sont complétées
par des analyses sur des questions sociales, philosophiques,
économiques ou politiques. Le lecteur, au fil des pages, y trouvera des
développements critiques sur « l’intégration », la femme, la sharî‘a aussi
bien que sur l’humanisme, l’écologie, la culture et les arts. Ces pages
contiennent également le fameux « Manifeste pour un nouveau Nous »
ainsi que le texte de l’ « Appel international pour un moratoire sur la
peine de mort, les châtiments corporels et la lapidation », suivi des
échanges critiques avec les ‘ulamâ (savants) du monde entier. Des textes
critiques et stimulants, jamais très longs, qui permettent de poser des jalons d’une vision à élaborer, d’un
chemin à emprunter et d’un engagement à déterminer : il s’agit, en effet, pour les musulmans, de redevenir
les sujets, libres et autonomes, de leur histoire.

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5 Commentaires

  1. Tous ces genres de débats, s’ils ne posent pas « la » bonne question de départ, risqueraient d’être d’interminable débat sans solution au bout, tout en terminant avec une conclusion apaisante, optimiste. Bref un circuit « sans fin » tandis que les souffrances continuent.

    Imaginons que nous nous promenions côte à côte, dans un bois, ou une foret. Et puis tout d’un coup, l’un de nous deux tombe dans un trou.
    Si je commence à me poser la question du « Mais pourquoi il est tombé dans ce trou ?», vous risquez de rester un bon moment dans ce trou.
    Par contre si je me pose la question du « Mais comment je vais le sortir de ce trou ? », alors là je me concentre vraiment sur la solution, et vous aurez toutes les chances de sortir de ce trou au plus vite, incha’Allah.

    En effet, me semble-t-il, si tous ces genres de débats sont faits pour répondre à la question du « Pourquoi ? » (Pourquoi la condition de la femme musulmane actuelle en pays « musulman », pourquoi la lapidation, pourquoi l’humanisme, l’écologie…), elles risquent de durer très longtemps et amener toujours à de vif polémique et divisions entre les humains sincère et intéressé par ces genres de discussion ou débat.
    Je pense que c’est à la question du «Comment (s’en sortir) ?», qu’il faudrait orienter ces genres de débats (comment sortir du marasme de la condition de la femme actuellement, du problème écologique, des peines de mort et punition (tout en respectant le cadre légale de la shari’a),….afin que les débats soient apaisantes et constructifs.

    wa Allhu a’lem

    Elias

  2. Salam

    peut- etre que notre discours est trop tourné vers l’image, témoignage, pas sur……

    Image au point de sans cesse empreinter, ailleurs un un vocabulaire, une façon de voir, bien réductirce de ce que propose le coran et la sunna…..

    on en arrive aussi, a suivre et non décider, des sujets important….

    On parle de toutses sujets que certins nous mettent sur la table, et onse tait sur les vrai problème dela ouma et du monde.

    Une vision très orienté vers la responsabilité individuel, mais qui oublie l’individu….

    un discours gloable sur le structurel, dans le champ politique, mais qui ne dit sur les carcans et les habitude trahissante dans des cellules plus petie mais tellement plus importante, comme celle dela famille….

    un discours d’un détails impressionnant sur le devoir, et si sinistrer sur les droits, parce qu’on est coloniser, par cette mentalité, voir idéologie du droit sans devoir, ou responsabilité(un mot tellement à la mode).
    mais dans ce cas on est plus dans la réaction que dans la prodction d’une pensée à partir des sources.

    en fait , on est pas très loin de cette pensée (occidentale et autre) que l’on ne cesse de dénoncer.
    On a en plus un dicours qui oublie l’individu, pour soi disant, placer le message de l’islam au dessus de tout.

    un message que l’on fait etre bien loindes gens, bien loin de l’interet de l’etre…..

    Un interet générale qui est devenu l’interet de personne, juste une théorie de l’intéret générale…

    on parle peut-etre trop de toute notion, de citoyenneté, responsabilité, exigence, conscience, ça en devient un poids, facilité les chose avait-il été dit…..

    ce discours très politiquement abstrait
    et bien souvent paternaiste(a t-on besoin de dire au gens de voter ,d’etre citoyen)

    la majorité des gens attendent autre chose, en particulier que soit investit le champ de l’autonomie dans la réflexion sur les textes, comme le coran tellement délaissé.

    Combien de conférence, depuis des années,sur comprendre la sunna, et ça continue, quand au coran les , on trouve plus de discours chez es sociologue, ou les pseudo philosophes,et soi disant nouveaux spécialistes et exégètes du coran que chez nous, triste réalité…..

    quand tant de lumière et de beauté sont présent dans les coeurs, cela n’appel-t-il pas à un nouveau discours, qui fasse bonne annonce

    remercier l’unique c’est aussi exposé à la oumma, l’humanité…..

    wa billahi tawfiq
    Allahou alam

  3. aslmoualaykoum mon frère Tariq ,machallah continue comme ça et fait exclusivement pour Allah ,mon frère ,tes actions prospèreront sur cette voie .
    Asalamoualaykoum .

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