Marriage: Burden or Convenience?

5 تعليقات

  1. Assalâm ‘alaïkoum wa rahmatoullah,

    My English is not fluently enough to allow me to express myself in it. So I am going to use the French language.

    Avec tous mes respects, j’ai trouvé cette émission, très convenue, très superficelle, très formelle. Elle reflète le point de vue des intervenants qui semblent si éloignés de certaines réalités, si confortablement installés dans leur vie familiale.

  2. Salam ‘alaycoum,

    Je découvre cette émission, il est vrai que je consulte rarement le support en langue anglaise.

    Vous évoquez la question du contrat de mariage me semble-t-il où l’épouse peut acter qu’elle refuse la polygamie. Mais dans les pays occidentaux c’est inutile puisque la polygamie est interdite par la loi, non ?

    Est il possible en islam à un homme d’être marié en Europe et d’épouser avec l’accord de la 1ere épouse, une seconde femme (par amour) dans un pays où la polygamie est autorisée ?

    Si oui, cela signifie -t-il que la seconde épouse ne pourra jamais se rendre en Europe sous peine de perdre son statut d’épouse et d’être considérée comme une maîtresse ? Que disent les textes par rapport à cela svp ?

    Merci à celui ou celle qui répondra

    Mes respects M. Ramadan

  3. Thank you for an insightful discussion. In a nutshell, the philosophy of marriage was intelligently addressed within a limited period of time. The focus on principles such as love and integrity, as essential dimensions of a marital relationship, is important as many do not think about the philosophy behind certain rules. Many thanks again.

  4. How to explain to a 14 year old boy that sex before marriage is not dignified? The other day my nephew asked me why islam forbids sex outside of marriage if islam encourages love and sex is an expression of love. Besides, he said, the relationship can lead to marriage anyway. He gave me a difficult time and I think we muslims in general are not able to get the message through to youngsters. Something to think about.

  5. Assalamou’alaykoum,

    Pour mes frères et sœurs en Dieu, je vous remercie pour tout le travail que vous accomplissez sur le chemin du Créateur swt et puisse-t-il vous en récompenser insha’Allah.

    Je réitère mon soutien (peut-être a-t-il été mal interprété par certains ?) à Notre frère Tariq Ramadan pour Allah le Tout Puissant, Notre Créateur.

    Petites notes du jour( je mets souvents mes petites idées par écrit au jour le jour: donc c’est normal qu’il ne s’agisse pas de la date d’aujourd’hui) : mardi 05 octobre 2010:

    Islam and Life : une émission que j’ai l’habitude de suivre et comme dit le hadith : celui ou celle qui a pour habitude de faire ou d’accomplir une chose, une action (sur le chemin du bien, il va de soi), qu’il s’y tienne (fidélité) même s’il s’agit d’une chose ou d’une action qui apparaît « peu de chose », avec peu de signification : pour Allah swt, elle est d’une grande importance.

    L’Islam : un chemin, une voie : des courants, des voix.

    La Réforme radicale : au-delà du constat.

    Tariq Ramadan : un guide éducateur.

    Tariq Ramadan : au-delà du guide éducateur, Le philosophe, le penseur. Celui pour qui « ce que parler veut dire » n’a pas de secret par la grâce d’Allah swt. La clé de l’avancée certaine est « l’alliance » des savants par-delà les frontières, par-delà les mers. Tariq Ramadan, un frère dont le destin est de tirer vers le haut la communauté musulmane.

    Quelquefois certaines idées concernant la société, la spiritualité me viennent en écoutant des conférences ou en lisant des articles : c’est le cas de ce qui précède : concernant celles qui suivent, j’ai pu avoir un début de réponse en allant sur le site de Nadia Yassine, en lisant les entretiens effectués avec Nadia Yassine, Malika Hamidi, Asma Lamrabet et Nouzha Skali (Ministre marocaine) même si mon point de vue est quelque peu divergent :

    Faut-il parler de féminisme islamique ? N’est-il pas souhaitable d’emprunter une autre voie ? Invention d’une issue ou redécouverte… ?

    Je me posais certaines questions concernant l’idée « d’un féminisme islamique ou pas ? » Il est vrai, que de nombreux individus y ont songé, des hommes et surtout des femmes musulmanes, cependant, aucun débat n’apparaît au grand jour pour un échange éventuel, une définition ou une redéfinition de ce qui peut « ressembler » au féminisme « ensemble », en décloisonnant les différents courants, additionner les énergies (hommes et femmes).

    Pour cela, il semble que les hommes comme les femmes musulmans doivent opérer un travail sur eux-mêmes pour arriver à concilier voire réconcilier et conjuguer avancée, « quête de sens » et complémentarité.

    Des questions s’imposent concernant la hiérarchisation au sein des groupes, associations…de musulmans : le constat qu’il est possible de faire est le suivant : malgré le fait qu’il soit fait référence par de nombreux savants et intervenants à des femmes telles que ‘Aïcha bent Abou Bakr (que Dieu les agrée) qui a rapporté, d’après certains auteurs, environ 2210 hadiths, Hafça bent ‘Omar (que Dieu les agrée) ou Meymouna bent el Harith…. il n’y a pas eu de « véritable travail » concernant l’apport de la femme musulmane au sein de la communauté : en effet ceux qui « osent » aborder le sujet restent minoritaires : pour ma part, je ne peux en citer que deux :Cheikh Youssouf El Qardawi et le Professeur Tariq Ramadan. Sur ce chemin également, Tariq Swidan évoque la participation des sœurs mais de manière partielle.

    Il va de soi que ce sujet doit être mis en discussion à l’intérieur des cercles de débats avant d’être porté au devant du grand public, cependant des échanges concernant les sujets de société entre hommes et femmes musulmans et non musulmans doivent avoir lieu pour participer à une amélioration, pour redonner vie à des sociétés « meurtries », où les individus « se débattent » continuellement, « courant après le temps », un temps prisonnier de la marchandisation de tout et de rien : ce que dénoncent de nombreux auteurs.

    Alors que ce temps n’appartient qu’à L’Unique, le Seul, Allah swt, certains pensent l’avoir fait leur, comme ils se trompent ! Comme ils ont tort ! car celui ou celle qui a compris que ce temps n’appartient qu’au très Haut swt, ressent une paix intérieure, une sérénité, un apaisement, une assurance( rassuré quelque soient les événements du quotidien), celui-là ou celle-là, ne souhaite qu’une chose : que cette paix intérieure générée par le lien avec son Maître-Educateur (Errab, Allah swt) dure pour l’Eternité bi idhnillah.

    Ah ! si les gens savaient ou du moins ceux qui ne savent pas. Je souhaite du plus profond de moi-même que ceux qui ne savent pas encore sachent et que ceux qui savaient, qui ont oublié, se souviennent pour que les larmes ruissellent de nouveaux sur leurs joues au simple souvenir du Créateur, le Miséricordieux, le Très Miséricordieux (Allahouma amin).

    Parfois je me sens si étrangère en ce monde.

    En toute fraternité.

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