Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d’un lac je m’étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d’ailes,
Comme tombé du ciel,
L’oiseau vint se poser,
Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L’oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C’est alors que je l’ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m’était revenu,
Dis l’oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d’autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d’enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,
Comme avant, dans mes rêves d’enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L’aigle noir dans un bruissement d’ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,
Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J’avais froid, il ne me restait rien
L’oiseau m’avait laissée
Seule avec mon chagrin
Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d’un lac, je m’étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Un beau jour, une nuit,
Près d’un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l’aigle noir…
Oh là là…
…depuis quil m’est apparu, depuis que je l’ai entendu, l’aigle noir ne m’a jamais quitté et fait partie des 3-4 chansons que je peux écouter cent fois, mille fois …
Pour ceux qui ne la connaissent pas
http://youtube.com/watch?v=t4LiSjm67DE&mode=related&search=
ou encore lors de l’un de ces derniers concerts en 1987, fragile et émouvante…
http://youtube.com/watch?v=qH8yUZKIQ88
Il y’a tant et tant de temps que l’on s’attend…
Savez-vous que son père était incestueueux. et cette chanson lui était dédié. Quand elle parle de l’aige noir,elle décrit son père abusant d’elle.
Pas du tout, cette rumeur coure et perdure mais l’inceste qu’elle évoque SANS LE NOMMER dans ses mémoires posthumes « il était un piano noir » ne peut etre mis en lien avec sa chanson « l’aigle noir » qui est une métaphore poétique et spirituelle d’une rencontre qu’elle a souhaitée préserver comme le diamant.
LA CHANSON EST DEDIEE A LA POESIE, AUX ENFANTS DE LA POESIE, A LAURENCE…
Alors arrétez de délirer d’une façon qu’elle aurait totalement désapprouvée. MERCI
Lioresther
Merci de nous rappeler les années 70, Barbara habillée en noir pour chanter « son Aigle noir » et Léo Ferré Avec le temps va tout s’en va! . Vous aviez alors 8-9 ans Mr Ramadan, l’âge de mon plus jeune frère (1962), aujourd’hui
père de deux charmantes petites filles .
Salam,
Je ne sais si vous connaissez bien le message délivré par cette chanson de Barbara : « UN VIOL DONT ELLE A ETE VICTIME DANS SON ENFANCE »!!!!
Je ne comprends pas le message que veut nous faire passer Tarik Ramadan!!!
~~
Briser le silence est un premier bon message.
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~~
L’inceste est interdit
~~
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant,
ratifiée en France, le 09 septembre
1990, affirme
~~
qu’il n’y a JAMAIS consentement de l’enfant.
~~
~~
~~
Deuxième message.
~~
Salam,
Il y a un tas de chansons, de vers ou de textes écrits pour des raisons que nous ne connaissons pas. Nous les lisons, nous les fredonnons, en fonction de nos sentiments et de notre vécu. C’est vrai qu’au cours de français, on devait commenter dans quelles circonstances un auteur écrivait quelque chose de lyrique et ça enlevait toujours une bonne partie du charme de l’uvre. On nous a tellement parlé du père de Kafka, qu’on n’arrivait plus à lire une ligne de lui sans voir l’ombre du père partout… Mais ici, alors qu’on est pas en classe, que personne n’a rien demandé à savoir, je ne comprends pas pourquoi on met de tels éléments en valeur. On se croirait dans un concours freudien d’analyse de texte. Pourquoi toujours mettre en avant des choses laides ? Ces mots sont beaux, ces paroles sont belles, non ?
~~
– Les mots sont peut-être beaux, mais le vécu est tellement laid.
~~
– Il est vrai que certains édifient leurs moments de bonheur
sur les instants de malheur des autres.
~~
– Accueillir la souffrance de l’autre,c’est déjà la soulager d’un peu.
~~
– Les choses laides font aussi partie de la vie.
~~
Bien à vous,
OLLAG
Mr Ramadan a je suppose mis cette chanson sur son blog parcqu’il aime la poesie poignante avec laquel Barbara nous transperce le coeur de sa douleur.
Et le fait que Barbara ai etait victime
ne fait pas d’elle une coupable donc il n’y a aucune raison de la censurer
~~
L’explication de la Chanson « L’Aigle Noir »
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Cette chanson » l’Aigle Noir » raconte l’histoire d’une fille et d’un oiseau qui est représenté par un aigle.
On croirait une chanson toute élégante au début mais si on l’écoute bien la musique et les paroles sont tristes.
Dans la chanson, l’Aigle Noir n’est autre que le père de l’interprète et fait référence au viol à l’inceste.
Elle voit son père comme un aigle noir et raconte ses mauvais souvenirs du passé.
~~
» Une larme ou peut-être un rubis
J’avais froid, il ne me restait rien
L’oiseau m’avait laissée
Seule avec mon chagrin »
~~
Elle est tellement traumatisée par les abus de son père, qu’elle y repense tous les soirs avant de se coucher.
~~
» De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C’est alors que je l’ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m’était revenu, »
~~
il s’agit d’une métaphore
à chaque fois qu’elle s’endort, ses traumatismes de petites filles resurgissent alors qu’elle pensait les avoir enfuient.
Mais Barbara a donné son pardon à son père dans la chanson NANTES.
~~
Source : internaute inconnu
~~
Oui la musique et les paroles sont tristes…elles parlent d’un drame.
Mais elles peuvent avoir un autre sens pour les personnes qui l’écoutent.
Pour moi, elles ont un tout autre sens…Elles expriment une toute autre tristesse.
Pourquoi s’excuse-t’elle si c’est elle qui subit ?
C’est moche !!!
:'(
Il semble en effet que Nantes, dédié à son père, sous-entendait sa tragique histoire d’insecte (qu’elle a dévoilé dans le livre inachevé de ses mémoires).
Par contre sur l’Aigle Noir, on peut lire tout autre chose ici : http://www.sacem.fr/portailSacem/jsp/ep/contentViewRelatedItem.do?contentType=EDITORIAL&contentId=536882254
Attention aux interprétations…
NANTES (dédié à son père mort en 1959) date de 1964 mais l’AIGLE NOIR date de 1970…
Barbara ne peut donc avoir parlé de l’inceste dans l’AIGLE NOIR puis pardonné à son père dans NANTES…
Le contraire éventuellement mais sur le site http://www.sacem.fr, on peut lire ceci :
Les chansons que j’aurai toujours envie de chanter? « Ma plus belle histoire d’amour », « Le mal de vivre », « Le soleil noir », « Göttingen », « La petite cantate », que j’enlève parfois pour avoir le plaisir de la retrouver. Il faut de temps en temps marquer une respiration avec les chansons comme avec les gens qu’on aime, oser prendre des distances pour protéger cet amour. Je me suis parfois privée de chanter pour ne pas devenir blasée, j’aime alors retrouver mes chansons… « L’aigle noir », c’est une chanson que j’ai rêvée: j’ai fait un jour un rêve, bien plus beau que la chanson, où j’ai vu descendre cet aigle, et je l’ai ensuite donnée à une petite fille de quatre ans, Laurence, qui était ma nièce. Après ce rêve, il m’est vraiment arrivé des choses extraordinaires!
En regardant sur un de mes 33 T, je vois effectivement que l’AIGLE NOIR est dédié à Laurence…
On peut tout de même avoir quelques doutes à penser que Barbara aurait dédié une chanson sur l’inceste à sa nièce…
Salam,
Je vous suis très reconnaissant d’avoir fait cette mise au point. J’ai été profondément choqué ce matin de lire que derrière cette belle chanson se trouvait un acte abominable!
– Mon fils agé de deux ans est capable de dire son prénom à l’endroit et à l’envers!
– Il est bien précoce, ma chère ami. Ce sera sûrement quelqu’un de très doué! Au, fait, quel est son prénom?
-Bob.
KB,
??? Il est vrai que louise détient la vérité. ???
Salam Ollag
Personne ne détient la vérité absolue dans ce bas-monde…Ni Louise, ni vous, ni moi ni personne d’autre d’ailleurs.
Faire de son mieux, c’est tout ce que l’on peut faire…
Il est La vérité, La miséricorde.
Se pardonner…Afin que Dieu nous pardonne.
Je vous aime en Dieu…Et j’aime Louise aussi en Dieu…Et mes frères et soeurs…
Que Dieu nous aime et nous pardonne.
Fraternellement
~~
L’amour qu’on me porte sur ce site est toujours divisé avec celui de louise, je ne comprends pas ?
Puis-je exister sans elle ?
~~
Pas La vérité,
mais une vérité
qui m’a rassuré un instant
Mais n’a pu enlever ce serrement au coeur
Que je garde toujours
depuis que j’ai eu vent
de ce qu’a subi, une enfant,
de la part de son père.
Je ne pourrais jamais écouter Barbara, comme avant, à l’endroit
Ses paroles résonneront désormais pour moi
Toujours à l’envers
À Malypense
by Leny Escudero
A Malypense, un jour
Si revient mon amour
Je lui dirai tout bas
Rappelle-toi
Rappelle-toi, le temps
Le temps de nos quinze ans
Nous devions nous cacher
Pour nous aimer.
A Malypense,
L’amour on le montre du doigt
Ils n’sont pas mariés d’vant la loi
A Malypense,
J’ai eu peur d’aimer au grand jour
La moindre rumeur, torturait mon cur
Chassant le bonheur,
Mon amour.
A Malypense, un jour
Si revient mon amour
Je lui dirai tout bas
Rappelle-toi
Rappelle-toi, le temps
Le temps de nos quinze ans
Nous devions nous cacher
Pour nous aimer.
A Malypense,
Chacun meurt avec ses regrets
Oui mais aujourd’hui, pour t’aimer
A Malypense,
Je ferai battre le tambour
Chez chaque voisin, pour qu’il sache bien
Que tu me reviens,
Mon amour.
Je me cite :
~
On peut tout de même avoir quelques doutes à penser que Barbara aurait dédié une chanson sur l’inceste à sa nièce…
~
Mais après tout, peut-être oui… comme un HYMNE À LA VIE…
~
Car qui de nous peut savoir ce que signifie vraiment nos rêves, à quoi ils font allusion, à quelle blessure, quelle résilience, quelle découverte, quel bonheur…
~
De même, les textes qu’ont écrit et les mots que l’on dit…
en parler et la 1er etapes vers la guerison et l apaisement spirituel et moral
Bonjour à tous!
Ca fait maintenant un petit moment que j’écoute « L’Aigle Noir » de Barbara.
J’ai découvert ses paroles dans le site de Tariq Ramadan sans lire les commentaires.
Je l’ai donc cherché ensuite, pour l’écouter, et j’ai trouvé la mélodie très belle, mais sans comprendre vraiment les paroles.
Ensuite, un jour, j’ai eu un problème dans ma vie, qui est loin de l’inceste, mais qui m’a beaucoup perturbé mentalement. J’étais donc dans un état assez critique et très triste. Alors j’ai commencé à l’écouter, à la réécouter, et ensuite j’ai commencé à l’aimer. Et peu à peu, je trouvais que les paroles représentais un peu ma vie.
Donc maintenant, j’aime beaucoup cette chanson.
Jusqu’au jour d’aujourd’hui, ou par hasard j’ai lu les commentaires, et j’ai découvert que c’était une chanson qui parlait du viol de son père. Ca m’a d’abord surpris.
Puis je suis tombé sur le commentaire de Louise que j’ai trouvé fondé, et qui m’a rassuré.
Cette découverte m’a quand meme permit de decouvrir un peu plus Barbara. Je sais maintenant que c’est une personne qui a souffert dans sa vie.
~~
=> Vidéo
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L’Aigle Noir, Barbara
~~
Dis l’oiseau,
Emmène-moi, emmène-moi avec toi
Retournons ensemble au pays d’innocence,
Comme avant,
contempler le soleil,
La lune, les étoiles,
Les merveilleux nuages,
Cueillir le lys blanc,
la rose pourpre
et le coquelicot
Nouer les arc-en-ciels
Voir scintiller les flots
Comme avant,
…
Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J’aurai froid, j’aurai mal
L’oiseau m’aura laissée
Seule avec mon chagrin
Et le cadeau du coeur
…
Une prière, deux prières, tant de prières
pour la vie, pour ta vie
Que l’écho les reprenne
Que l’écho les répète
Ô Dieu entendez-les
En votre miséricorde
Nous reposons
Merci mon Dieu,
pour ce magnifique cadeau…
Ce don du ciel…
Même seule…même éprouvée,
Il m’a tant donné.
Qu’Il nous accompagne tout au long du chemin…
Qu’Il nous aime et nous garde dans Sa miséricorde.
J’ai reçu moi aussi un cadeau magnifique
Inoubliable
Il est des êtres beaux, des êtres de lumière….
Qu’Il soit loué, infiniment
Pour cette miséricorde, cette bienveillance
Après la tristesse, insha’Allah il y’a la joie…
J’aime beaucoup cette chanson aussi.
Regarde
Regarde :
Quelque chose a changé.
L’air semble plus léger.
C’est indéfinissable.
Regarde :
Sous ce ciel déchiré,
Tout s’est ensoleillé.
C’est indéfinissable.
Un homme,
Une rose à la main,
A ouvert le chemin
Vers un autre demain.
Les enfants,
Soleil au fond des yeux,
Le suivent deux par deux,
Le cur en amoureux.
Regarde :
C’est fanfare et musique,
Tintamarre et magique,
Féerie féerique.
Regarde :
Moins chagrins, moins voûtés,
Tous, ils semblent danser
Leur vie recommencée.
Regarde :
On pourrait encore y croire.
Il suffit de le vouloir
Avant qu’il ne soit trop tard.
Regarde :
On en a tellement rêvé
Que, sur les murs bétonnés,
Poussent des fleurs de papier
Et l’homme,
Une rose à la main,
Etoile à son destin,
Continue son chemin.
Seul,
Il est devenu des milliers
Qui marchent, émerveillés
Dans la lumière éclatée.
Regarde :
On a envie de se parler,
De s’aimer, de se toucher
Et de tout recommencer.
Regarde :
Plantée dans la grisaille,
Par-delà les murailles,
C’est la fête retrouvée.
Ce soir,
Quelque chose a changé.
L’air semble plus léger.
C’est indéfinissable.
Regarde :
Au ciel de notre histoire,
Une rose, à nos mémoires,
Dessine le mot espoir…
Très joli cadeau
A l’enfance des coeurs
A la joie
PS: je tenais à préciser pour « la rose » qu’il ne s’agit absolument pas d’une incitation à voter pour un parti dont c’est l’emblème…
Je me demande si beaucoup s’en souviennent encore d’ailleurs…
~~
Il était une voix…
Barbara
~~
~~
=> Voir 1. L’enfance->http://www.barbara.com.free.fr/]
~~
~~
L’enfance
~~
Très peu de choses sont dévoilées pendant très longtemps « Moi qui ne me souviens jamais d’un passé qui m’importune… », puis le rideau se déchire brutalement dans ses mémoires posthumes :
~~
« Les enfants se taisent parce qu’on refuse de les croire. Parce qu’on les soupçonne d’affabuler. Parce qu’ils ont honte et qu’ils se sentent coupables.
Parce qu’ils ont peur […]
De ces humiliations infligées à l’enfance, de ces hautes turbulences, de ces descentes au fond du fond, j’ai toujours ressurgi. Sûr il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après… »
(Il était un piano noir – Barbara – 1998 Editions Fayard)
~~
~~
Alors elle n’en parlera pas, une manière d’exorciser par la chanson, une thérapie, ou simplement la générosité d’une conscience infinie du malheur des autres au point d’oublier sa propre souffrance « D’autres furent moins heureux je crois au temps joli de leur enfance… »
(Mon enfance [Chanson]-1968 -Barbara/Barbara)
~~
~~
Tout juste pouvions-nous glaner quelques indices aux détours de chansons plus énigmatiques :
«J’ai le souvenir d’une nuit, une nuit de mon enfance toute pareille à celle-ci froide et lourde de silence […] Soudain je me suis éveillée, il y avait une présence… »
(Au cur de la nuit [chanson]-1967 – Barbara/Barbara)
~~
~~
Il y eu aussi la guerre et son lot de souffrance (Il me revient [chanson] – 1996), les départs après dénonciations…, et de bon souvenirs aussi. Cependant, ne rien dévoiler fut toujours sa philosophie.
~~
«Il ne faut jamais revenir aux temps cachés des souvenirs du temps béni de son enfance
car parmi tous les souvenirs ceux de l’enfance sont les pires, ceux de l’enfance nous déchirent […] Elle dort à jamais mon enfance…»
(Mon enfance [Chanson]-1968 -Barbara/Barbara)
~~
~~
Que c’est abominable d’avoir à choisir
Entre deux innocences
Que c’est abominable d’avoir pour ennemis
Les rires de l’enfance
Car un enfant qui pleure
Est un enfant qui pleure
Un enfant qui meurt
Est un enfant qui meurt.
~~
Barbara
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___
~~
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=> Voir [7. Nantes
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~~
LEGENDE
« DE LA GRANGE AU LOUP »
~~
La où se situe la citée des CASTORS, existait une ferme « RINCE » avec ses dépendances.
~~
Pour y faire les battages, accès difficiles, il fallait 12 chevaux et bufs pour amener « LA BATTEUSE » sur le champ des loups.
~~
Le père de BARBARA y occupait une des dépendances.
Il était recommandé aux jeunes filles d’éviter le chemin des landes (aujourd’hui, rue de la GRANGE AU LOUP), car le loup y rodait.
~~
Allez donc savoir l’inspiration de BARBARA dans sa chanson.
~~
~~
Nantes
~~
Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rend mon cur chagrin
~~
Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis de la gare
Nantes m’était encore inconnue
Je n’y étais jamais venue
Il avait fallu ce message
Pour que je fasse le voyage:
~~
« Madame soyez au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d’espoir
Il a demandé à vous voir. »
~~
A l’heure de sa dernière heure
Après bien des années d’errance
Il me revenait en plein cur
Son cri déchirait le silence
Depuis qu’il s’en était allé
Longtemps je l’avais espéré
Ce vagabond, ce disparu
Voilà qu’il m’était revenu
~~
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Je m’en souviens du rendez-vous
Et j’ai gravé dans ma mémoire
Cette chambre au fond d’un couloir
~~
Assis près d’une cheminée
J’ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche
Ils portaient l’habit du dimanche
Je n’ai pas posé de questions
A ces étranges compagnons
J’ai rien dit, mais à leurs regards
J’ai compris qu’il était trop tard
~~
Pourtant j’étais au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m’a jamais revue
Il avait déjà disparu
~~
Voilà, tu la connais l’histoire
Il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage
Et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir
Se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même
Sans un adieu, sans un « je t’aime »
~~
Au chemin qui longe la mer
Couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose
Je l’ai couché dessous les roses
Mon père, mon père
~~
Il pleut sur Nantes
Et je me souviens
Le ciel de Nantes
Rend mon cur chagrin
~~
Barbara
~~
Si j’étais un couteau
Je t’avais coupé le cou.
Si j’étais un fusil
Je t’avais tiré dessus.
Si j’étais un piqueur
Je t’avais piqué le coeur.
Je n’étais qu’une enfant.
Je n’étais qu’une enfant.
Salam alaykoum, Cher frère,
Depuis quelques jours, je ne sais pourquoi je me retrouve beaucoup dans ce que vous écrivez et quelle surprise aujourd’hui de découvrir cette chanson qui est présente dans les secrets de mes silences que je n’ai pu écouter que très récemment en toute intimité avec Celui qui sait tout comme vous nous l’avez si souvent conseiller.
De tout mon cur, je Lui demande de nous aimer et de nous protéger.
Salam
Ahmad il me semble que vous aviez posé une question sur la sourate At-takhatour, j’étais folle de joie car vous n’êtes plus très loin de la sourate Al-humaza et que peut-être après avoir médité sur celle-ci vous éviterez d’étaler vos commentaires superfétatoires concernant Monsieur Ramadan sur d’autres forums.
salam,citez moi s’il vous plait, je ne pense pas agir comme vous le décrivez, je défends souvent tariq ramadan,dans mes commentaires sur les sites de journaux des grands quotidien français, et meme dans des face à face avec des personnalité, comme par exemple dans une discutions avec pascal brukner, je ce que trouve étrange c’est qu’il n’y a pas vraiment de critique du discours de tariq ramadan, et ce la ne doit pas vraiment lui plaire.
concernant sourate al houmazah,je vous demandrai de ne pas utiliser le coran, pour vos petit caprices.
Et pour ce qui est de votre rapprochement, me concernant, visà vis de cette sourate, je laisse a Allah etre trémoin de vos propos, et des conséquences qu’ils auront.
Salam
Salam au ait toujours pas de réponse a ma question sur la sagesse entre le lien de sourate at takathour et al asr.
C’est que mes parole sont souvent superfétatoires , il serait bon que je me taise,merci pour ce rapel.
je me contenterai de lire les articles de mr ramadan,sans rien dire, mes comentaires sont peut-etre une perte de temps, et une injustice concernant mr ramadan,qu’allah le protège, et l’ennoblisse encore plus,qu’il lui ouvre les portes qui lui sont fermées, et qu’il le place dans le firdaous dans l’audelà.
Bye Bye, salam
Ahmad,
Je ne vais pas abuser de l’hospitalité de Monsieur Ramadan et encore moins ferrailler avec vous, mais je trouve vos critiques un peu trop sévère, sinon injuste quelque part!
Vous semblez confondre les intellectuels qui travaillent pour nous montrer la « voie » de la raison et du dialogue, en conformité absolue avec la volonté divine, et les aventuriers qui fort de leur seul origine arabe se sont autoproclamés voix autorisées voire experts et qui veulent réformer l’islam avec des confusions et des approximations que ne ferait pas un élève en première année au lycée Averroès.
Ceci dit je retiens que votre foi en dieu vous laisse ouvert au dialogue !
Ps1 :Désolée de ne pas pouvoir répondre à votre question mais j’ai atteint la limite de mes compétences.
Ps2 : Désolée pour mon ironie dans mon premier commentaire.
Bonne journée,
Salam,voici un article à méditer
Responsable dans un restaurant Sodexho, Isabelle Béal, 41 ans, s’est suicidée.
«Je ne suis plus assez forte, trop de pression au travail»
Par Alice GERAUD
QUOTIDIEN : mercredi 4 avril 2007
Lyon correspondance
36 réactions
Quelques mots griffonnés maladroitement sur une feuille. «Je ne suis plus assez forte. Trop de pression travail.» Puis des paroles d’adieu et d’amour à son mari et à ses deux enfants. Le corps d’Isabelle Béal a été repêché le 8 mars dernier dans un bras mort de l’Ain, à l’est de Lyon. La lettre a été retrouvée dans sa voiture, abandonnée un peu plus loin. Selon les premiers éléments de l’autopsie, qui n’est pas achevée, cette mère de famille de 41 ans se serait suicidée en absorbant une forte dose de médicaments. Isabelle Béal était chef de groupe dans le restaurant d’entreprise Sodexho de l’usine Renault Trucks à Saint-Priest (Rhône), dans la banlieue lyonnaise. Un poste «stressant», disent ses collègues de travail. «Depuis six mois, elle vivait très mal la pression qu’elle devait porter sur ses épaules, elle ne parlait que de ça, mais je ne pensais pas qu’elle en arriverait là», explique son mari Franck Galliano. Aujourd’hui, à 11 heures, un rassemblement est organisé à l’appel de la CGT devant le restaurant de l’entreprise. «En souvenir d’Isabelle et contre la violence au travail.»
Péage. Son mari voudrait qu’il y ait «une prise de conscience». Il dit : «Tant que l’on n’est pas confronté à cette chose, on n’imagine pas qu’il soit possible de se suicider à cause du travail.» Lui-même, cadre administratif et permanent syndical CGT dans un hôpital de Villeurbanne, avoue avoir eu des «a priori» sur la question du suicide de salariés. Il se souvient avoir regardé, il y a quelques mois, une émission avec sa femme sur les cas qui ont fait la une de l’actualité cet hiver : les suicidés du Technocentre Renault à Guyancourt (Yvelines) et ceux de la centrale EDF de Chinon ( Libération du 6 mars). Il se rappelle avoir pensé que, même si les syndicats avaient raison de monter au créneau, ces suicidés avaient forcément des problèmes personnels. Il a changé d’avis et a du mal à contenir son malaise quand des amis et collègues d’Isabelle insistent pour demander s’ils avaient des problèmes de couple. Il montre la lettre, peu ambiguë, qu’elle a laissée. «Si c’est arrivé à Isabelle, cela peut arriver à tout le monde, prévient-il. Elle faisait partie de ces personnes qu’on n’aurait jamais crues capables d’un tel geste.»
Le 27 février dernier, comme chaque mardi soir, Isabelle Béal a déposé son fils de 10 ans chez une de ses amies, pour qu’il y passe la nuit. Elle lui a dit : «A demain.» Et n’est jamais rentrée chez elle. Son compte en banque indique qu’elle est passée au péage de Beynost, dans l’Ain. Son mari a multiplié les recherches, il est même allé jusqu’à louer un hélicoptère. Les gendarmes finiront par retrouver le corps huit jours plus tard. Avec la lettre.
Selon Nathalie Genevoix, une de ses collègues et amie, Isabelle Béal, fille «compétente et intelligente», subissait une pression importante de la direction de son restaurant. «On lui demandait de se faire respecter et obéir. Ce n’était pas évident pour ce petit bout de femme.» «Depuis quelque temps, elle pleurait tout le temps.» Isabelle Béal avait sous sa responsabilité une quarantaine d’employés, surtout des femmes, et devait assurer l’organisation de 1 500 repas par jour. Entrée comme serveuse chez Sodexho, elle avait peu à peu gravi les marches de l’entreprise. Avec une certaine fierté, mais aussi avec le sentiment de se retrouver souvent prise en étau entre l’équipe, «les filles», ses copines, et la direction de Sodexho.
«Pression». En quelques mois, son mari la voit s’enfoncer peu à peu dans un état dépressif. Elle commence à prendre des somnifères, puis des antidépresseurs. S’absente deux fois deux jours, puis deux fois trois jours. «Ça ne lui était jamais arrivé avant», précise-t-il. Selon lui, les problèmes remontent à un changement à la tête du restaurant. Depuis six mois, il n’y a en effet plus qu’un seul gérant (au lieu de deux auparavant) et les relations entre Isabelle et lui étaient tendues. Son mari pense qu’ «elle n’a pas supporté les charges supplémentaires, les obligations de rentabilité, la pression de son supérieur». A plusieurs reprises, en militant syndical, il lui propose d’essayer de réagir. Elle refuse. «Je crois qu’elle aimait ce travail. Elle voulait prouver qu’elle pouvait y arriver et n’osait pas faire de bruit.»
Le mari d’Isabelle souhaiterait aujourd’hui intenter une action permettant de pointer les responsabilités de l’entreprise. «Je ne sais pas s’ils se rendent compte de cette violence», dit-il. Sodexho a envoyé une gerbe de fleurs et un représentant de la direction pour l’enterrement. Et une assistante sociale pour les formalités administratives. Une cellule de soutien psychologique a également été mise en place au restaurant. «Nous sommes bouleversés, mais nous ne comprenons pas son geste», explique Bruno Dorler, le directeur régional de Sodexho entreprises. Selon lui, il existe certainement d’autres facteurs, car elle n’avait jamais fait part de problèmes particuliers au sein de l’entreprise. Il ajoute qu’elle était appréciée pour son professionnalisme et son sérieux.
Quand on lit ce genre d’article on se demande ou est la communauté musulmane, ou est ce témoignage, ou est ce lien entre spiritualité est engagement social.
PLus, ou est cette spiritualité qui nourrit,protège et libère l’humain?
Combien aujourd’hui,nous sorte, les grand discours sur l’islam,combien jugent les autres sur leur discours littéral des textes, e disant ils ne tiennent pas compte du contexte,mais ceux qui se portent en juges de leur frères et doeur,sont à des année lumières de la réalité de ce que vivent les gens.
Pire,ils se permettent de juger, ces visages,qui au travail on la marque de la prosternation devant leur patron.
Rappel,ou le rappel est utile dit le coran, ou est donc le rappel utile a juger les gens de cette façons.
Ceux qui aujourd’hui,nous parlent,d’une relecture de la vie du prophète,de ces enseignements spirituel,ferraientt bien de méditer,ces arole du prophètes: facilité et ne rendez pas difficile, faites bonnes annonces et ne faites pas fuir.
Ces parole doivent etre pris au sens larges.
La réalité aujourd’hui, c’est que les intellectuels musulmans,homme et femme,présente l’islam de la mème façon que les catholique ont présenter la religion, c’est à dire, une religion qui dit le rapport a dieu,mais qui ne touche jamais la vie des gens, on parle d’exigence,sans jamais parler des moyens.
C’est bien beau dire, l’islam n’est pas le christianisme,quand on parle d’abraham,mais la façon de parler de l’islam, est aujourd’hui la mème que celle du christianisme, ça montre comment ceux qui parle de l’islam néglige le contexte occidentale, et spécifiquement de la france.
La façon dont certains parlent, d’éthique aujourd’hui est d’une violence et rajoute du poids au problèmes des gens.
tant d’éxigence, demander au gens sans jamais leur présenter un message qui les aides, ce discours sur l’islam, il faudra un jour en répondre devant Allah.
cette façon de compliquer,d e culpabiliser le rapport a dieu, encette vie ,et ensuite venir nous parler des mouqqarabines.
Mais si les gens étaient proche de dieu,dans les premières générations,c’est parce que le prophète leur à transmis la force pour tenir dans ce monde.
Aujourd’hui,ce que l’on dit au gens,c’est l’éxigence de l’éthique,vous savez avec dieu on ne fait pas n’importe quoi,voila la pauvreté du dscours de la proximité à dieu de ceux qui nous disent, d’etre profond avec les textes de l’islam
C’est une éthique qui dit le devoir,l’exigence,la responsabilité,mais ne dit jamais la force, jamais l’accompagnement.
Allah, n’est plus celui qui accompagne,dans le discours de ces grands intellectuels loin du monde,sauf du leur,car quand il s’agit de leur vie,il savent revenir, à cette lecture utile de l’islam,pour l’humain,il savent voir les priorités.
le discours sur dieu n’est plus au service de l’humain,d’ailleurs ou est le discours sur dieu?
OU est la réalité de cette parole du prophète à un compagnon:que ta langue ne cesse de prononcer le nom d’allah
Ou est les discours profond sur la connaissance d’allah, et pas celui devenu pervers,ou l’on parle des noms d’allah,pour en faire un dieu sécuritaire,un dieu du jugement,allant prendre des noms comme as sami, al bacir, al alim,ar rapib,pour venir nous dire dieu te voit, il t’entend,il t’oberve,alors ne fait pas de péché,voila la réalité de l’éducation des enfants et autres.
Ou alors on prend les noms de bienfaisance,mais non pour dire le lien de dieu à l’humain ,mais pour dire le lien des humains entre eux, en d’autre terme la ou ces noms devaient rendre leger ta vie, t’apaiser, te rendre fort,te rendre aimant ton créateur,ils disent par le discours de ceux qui le tiennent, le poids de l’éxigence, la lourdeur de ta responsabilité.
Autre exemple, les noms comme raziq,hafih,al qawi,an nacir,on ne les citent pas pour etre libre et fort,mais pour culpabiliser l’esprit qui chercherait ailleurs,ce que ces noms décrivent comme qualités.
Il faut le dire aujourd’hui ,il y a une perversion et une trahison de l’enseignement islamique.
ET ces attitudes,ne viennent pas de ceux que l’on traite de radicaux, et dont on répetent qu’ils ne lisent pas les textes selon le contexte,mais de ceux qui se présente comme les réformateurs de l’islam.
Que ces réformateurs, qui nous disent que l’on doit témoigner, ont dans leur façon de témoigner,une façon bien loin du monde, et du contexte qu’ils invoquent constament,quand au texte,si certaines chose sont interessantes, ils à ces derniers temps beaucoup de répétition et de délaissement,surtout sur le coran,dont la majorité se taisent sur le coran, ce qui laisse la place, à ces nouveaux penseurs médiatiques musulmans dit modérés,qui sont une catastrophe pour l’islam, les musulmans et le monde,leur thèse épousant curieusement les discours les plus islamophobes et bien souvent sionistes.
Il faudra dire un jour quelque chose de ces courant athé et chrétien qui à travers le monde,sous couvert de la défense des droit humains, luttent sans répit,contre le message de l’islam.
Le coran, disait à son messager, de lutter d’un grand djihad avec le coran,pêut-etre que quand nous aurons moins peur de parler clairement de l’islam, moins peur de parler du djihad, sans toujours faire référence, au djihad an nafs,pour paraitre bien sage,bien dans le coups du courant consensuel mondial, qui dicte dans les salons et les salle de réunions, et dans les discours médiatiques,dont on en sait plus vraiment l’utilité, son idéologie de la domination et de l’exploitation.
Allahou Alam
Salam
Salam, ce commentaire à été poster avant ma réaction ,à un reproche concernant me propos sur Mr Ramadan.
Salam
Pourquoi simplement passer, pourquoi simplement surgir du passé, pourquoi creuser l’hier, quand demain est aux portes du matin.
Pourquoi écrire et se taire, pourquoi se taire en écrivant.
Oubli d’une vie d’hier, question sur demain, changeons le chemin, cherchons le passage qui élève, le canal transparent qui nous donne à voir ce que l’on entend.
Je suis passée, je suis dans le passé, celui qui écrit ton présent, je suis la lumière qui surgit le matin, qui t’endort le soir et t’accompagne la nuit.
Le canal est transparent, l’aigle est noir, le texte est écrit, la mélodie jamais ne quitte nos esprits, je suis passée et restée. JE c’est elle et lui, c’est également lui, seul, qui nous indique le temps qui passe, le temps qui nous rejoint.
Je le cherche aussi ce canal transparent qui nous donne à voir ce que l’on entend…
Sa vie d’hier l’accompagne encore et je ne suis qu’une question sur demain…Surgie du passé.
Entre temps et en attendant que le temps nous rejoigne…J’écris en me taisant et je me tais en écrivant…J’entends du fond du coeur.
J’attends de voir un jour ce que j’entends…sent et pressent.
sens ou sent…?
J’entends du fond du coeur.
J’entends ce silence.
J’ai peur. Je prie.
Tant de peine, un océan de peine.
A Son infinie bonté, Son infinie miséricorde.
A la Paix du coeur.
Demain est aux portes du matin
Cherchons le passage qui élève
La mélodie jamais ne quitte nos esprits
Au présent,
A l’éternité
A l’amour
Dans Son amour et dans Sa paix
…un peu de détente…
Un couple a des jumelles.
L’une s’appelle Barbara.
Comment se nomme l’autre ?
Moustachasouris
😉 😉 😉
« Bird of Paradise », S. White:
“Saw you flying by
Flash of Turquoise Blue
I just had to try
To keep your life in view
My bird of paradise
Sweet bird of paradise
Wish that I could fly
I’d be beside you now
But I can only sigh
And watch you circle round
My bird of paradise
Sweet bird of paradise
My bird of paradise
Sweet bird of paradise
My bird of paradise
So you fly away
When will you come again?
So I can watch you play
In the pouring rain
My bird of paradise
Sweet bird of paradise
My bird of paradise
Sweet bird of paradise
My bird of paradise…”
Merci pour cette douce poésie…Merci, et un sourire.
C’est un slow de Snowy White, et quel slow…
ô mon oiseau de Paradis,
Mon doux oiseau de Paradis,
Je voudrais tant avec toi
Voler de branche en branche
Dans la forêt magique
Danser avec toi dans le ciel
Je voudrais tant
Et ma peine est immense
Ton chant m’arrive
Cependant
Et soigne mon cur blessé
J’aimerai tant soigner le tien
J’aimerai tant
Merci pour le cadeau
Merci pour le chemin
A l’amour
A la fidélité du cur
En Lui
Eternellement
(deuxième envoi)
Ô mon oiseau de Paradis,
Mon doux oiseau de Paradis,
Dans la forêt magique et dans le ciel
Notre cur heureux
Danse, vole et chante l’amour et la paix.
Dans la forêt magique et dans le ciel
Tu reçois mon chant comme je reçois le tien.
(…)
Ô mon oiseau de Paradis,
Mon doux oiseau de Paradis,
Ton chant m’arrive comme une caresse
Qui soigne tendrement mon cur blessé.
Merci a toi. Merci a Dieu.
A l’amour
A la fidélité du cur
En Lui
Eternellement
Ce soir
Au dessus des cerisiers en fleurs
Dans la fraîcheur de cette nuit de printemps
Il a suffi de lever les yeux
….
Pureté, brillance, silence
….
Parsemés sur la toile noire du ciel
Scintillent les diamants d’étoiles
…..
Ils chuchotent
Les secrets, les chagrins et les joies
…..
Ils appellent l’esprit
Ils parsèment la route
Ils indiquent, fragments de lumière
Fidèles
le chemin
…..
Une beauté simple, éternelle
Qui parle à tous les coeurs
Qui dit, vois, Il est là
Et Il t’aime
….
Il nous aime
en nos fragilités, en notre humanité
….
Toi qui me lis,
Lève tes yeux
Vois cet éclat, vois cette pureté
…..
Nous sommes reliés
En lui
De toute éternité
Fabien Marsaud « grand corps malade » .
http://www.grandcorpsmalade.com/ecouter.htm
L’AN NEUF DE L’HEGIRE
Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’il profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : » Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. »
Et son il, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
» Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. »
Un cheikh lui dit : » o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. »
Lui, reprit : » Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. »
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : » Dieu t’assiste ! »
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : » voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : » laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! » C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. »
Il ajouta ; » Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. »
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
» O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. »
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : » Mieux vaut payer ici que dans la tombe. »
L’il du peuple était doux comme un il de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
» Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. »
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
» Qu’il entre. » On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : » Dieu désire ta présence.
– Bien « , dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.
Pourquoi ce texte sombre? J’ai peur.
Vraiment peur.
Un signe espéré.
Dieu vous protège.
Je prie.
Oui, pourquoi ce texte?
Peut être un rappel,
que nous sommes de passage…
Que quand on connait Dieu,
On aime Le rencontrer.
Lui, Le miséricordieux.
Qui d’autre que Lui peut mieux
Accueillir Ses créatures?
Et quand on aime Son envoyé,
aimer le rencontrer.
…
Je n’ai pas peur.
Pas cette peur là…
…
Vivre cette vie ici-bas,
avec Ses épreuves.
Lui rendant grâce de Ses dons…
Et chercher La Vie.
Que Dieu nous guide et nous protège.
…
J’ai entrevu un autre signe…
Ce matin là…Insha’Allah
Merci du fond du coeur.
J’entends la profondeur, la proximité du Tout Rapproché.
Chercher la Vie.
Je n’oublierai pas le message.
Que Dieu nous guide et nous protège.
Bonjour. Est-ce que Victor Hugo était musulman ? Voilà ma question.
11 avril
Fin de matinée
Une petite route de campagne
Le ciel est immense et bleu
Le colza jaune foisonne
Fin voile transparent d’une invisible brume
ça et là quelques arbres aux branches épurées
que les premiers bourgeons colorent délicatement
Douceur infinie d’un paysage empli de signes
…..
Beauté du monde
Un monde avec toi
…..
Maisons rurales
Et blancs cerisiers
Hangars
La ligne à très haute tension
Le ciel est immense et bleu
Malgré la laideur de l’argent et de l’indifférence
Le monde est encore beau
….
Ton silence est présence vive
Il est un message vers Lui
Et le monde, ce monde avec toi,
Est encore beau
….
Mes mots ne savent le dire
Mon âme recherche la tienne
Avec Sa grâce, sois son miroir
Et que la mer de Son amour nous emporte
Vers le pays où le monde
Sera toujours beau
Le monde avec Lui
(version 3)
Tendresse, beauté, douceur et espérance.
Merci pour cette ballade du 11 avril.
~
Il y a 10 jours, on devinait la chaleur et on sentait les couleurs prêts à exploser mais [presque] rien ne transparaissait encore…
Il y a dans son ecrit l’attente d’un espoir…
Le miroir des mots, le miroir du coeur, a simplement peur…peur de son coeur malade…
Peur de decevoir…tout simplement ou plus…
Comment repondre a l’attente alors que le mal ronge ? alors que le mal me ronge ? situation tendue…
Il est des situations ou tout semble loin… si confus… hors de protee…
Pourquoi, cette rencontre ? pourquoi ? aujourd’hui je pose la question… je ne comprends pas au fond… je ne comprends pas… pourquoi moi ? dis moi… aide moi a comprendre s’il te plait…
Rien de bien special… vraiment de bien special j’ai… et quelle lourde responsabilite malgre tout…pourquoi…pourquoi…pourquoi…
On apprend a etre mais c’est difficile sincerement… peur de decevoir Dieu et ceux qui nous aime… ce mal en nous fait mal a ceux la meme qui nous aiment..
Aujourd’hui j’ai perdu pieds… je ne sais toujours pas voguer… tout semble hors de portee…
Oui hors de protee. J’ai peur pour moi et peur pour moi pour les autres…
l’image que nous renvoie l’imaginaire n’est pas forcement l’image de la realite profonde d’un coeur malade… tres malade… et qui ne veut pas guerir…
J’ai tres mal…
Que Dieu nous aide. Que Dieu nous aide.
Bismillàh Al Rahman Al Rahim.
« Allah se place entre l’Homme et son coeur. »
Oui, que Le Miséricordieux nous vienne en aide , à la Oumma et ceux qu’Allah agrée.
Il faut se confier en Allah, ce doit etre Lui notre confident.
Allah console, guérit, apaise, nous met en Sa Sakina….. Allahou akbar !
Sincère……. oui, etre sincère……. s’en remmetre au Tout Puissant…… et c’est cela meme aussi l’Islam : cet abandon confiant………. oui, faire confiance à Allah ……
Oui, pour ne plus avoir de peur injustifiée,
et pour avoir enfin à porté notre coeur pour etre en refuge à l’intérieur car :
« Ni la Terre ni les cieux ne peuvent contenir Allah mais le coeur du croyant si ».
Al Hamdoulillàh Rabbi ‘alamin.
Ces mots sont poignants
Tant de douleur
Je ne sais pas répondre
Je ne sais qui écrit
Je sais que je ne sais pas, les responsabilités,le poids qui pèse, le doute, le mal qui ronge.
Je ne sais pas. Mais je crois à l’innocence.
Dans l’innocence, il ne peut y avoir de mal, n’est-ce pas?
L’innocence et la simplicité. Accueillir ce qui est offert.
Je peux juste prier
Prier pour vous que je ne connais pas
Qu’Il vous guide et jamais ne vous laisse hors du chemin
Qu’Il vous protège et protège du mal ceux qui vous aiment.
Qu’Il vous donne la force de guérison et la compréhension.
Qu’Il enlève cette douleur et vous montre la voix.
Sa grâce, Sa paix et Sa miséricorde sur vous.
Soyez délivré, au risque de l’oubli.
Libre et en paix.
salam aleikoum…
oui c`est peut-être la le secret au fond: la simplicité et l`innocence…
La démarche est si simple au fond: Accepter dans l’Amour et faire de son mieux… Dieu fait le reste…
Que Dieu nous aide et nous accompagne chaque seconde.
Au plaisir de vous rencontrer de nouveau au détour d’un mot, d’une phrase, d’un secret. Simplement mais profondement.
Qui es-tu pour lire ? Pour lire si bien
Le mal qui hante toujours l’humain
Dis-moi que je sache à qui m’adresser
Quand mon coeur aura besoin d’être apaisé.
Amour et Paix
Je suis celle qui cherche aussi le sens d’une rencontre, qui sait le poids des responsabilités, qui aimerait aider à guérir un coeur malade…et trouver aussi la paix de son propre coeur.
Sa paix sur toi.
Salam,,,
il est triste ce poème,,,Dieu est grand,,,
salam
Salam ,
Pourquoi cette surdité ?
Attention aux textes publiés et à leur signification…
Ce texte raconte, par le biais de métaphores filées, le viol qu’a subi Barbara, commis par son père, lorsqu’elle était enfant.
Cela a déjà été dit il y a des semaines. Vous auriez pu lire les premiers messages.
Il est bien évident que celui qui reçoit ce texte ne sait pas cette histoire de viol. Combine d’amateurs de Barbara le savaient? Pas moi, et plein d’autres…
Ce texte est sombre. mais il est beau. Il permet d’exprimer le sentiment d’un moment, sans qu’en aucun cas cela ne se rapporte avec les faits réels de le vie de Barbara.
Pouvez-vous le comprendre?
Assalam aleykoum wa rahmatoullah;
Le ciel limpide de Ouagadougou.La lune claire;souvent en croissant souvent pleine!Que la nuit est belle.Que les étoiles brillent!Comme la peur fait mal.Comme on a besoin d’amour.L’Amour toute la vie;l’amour toute l’éternité.Seigneur comment faire?
L’Aigle noir aux ailes couleur de nuit.
L’Etoile au loin comme un reve un espoir un ideal!suivre mon etoile,me reconnaitra t’il?Seule avec mon coeur,je suis là et je souffres!seule avec mon coeur et mon combat!seule avec mon coeur et mes larmes!seule avec mon coeur et mes espoirs!seule avec mon coeur et la patience.
Assalam aleykoum wa rahmatoullah.Khadija.
joli coup de coeur, merci bien, c’est bien le site, c’est bien le contenu, continuez…
depuis que je me suis rendue compte que c’etait une chanson sur l’inceste ca m’a completement change ma conception de la chanson mais est ce quelqu’un pourrait m’indiquer ou sont les phrases cle qui se referent au viol ?
Une voix douce et apaisante…
Oumayma El khalil
Le lien ne fonctionne pas…
Mais je crois qu’on trouve la même belle et tendre voix sur le lien joint ici, une chanson en hommage à Rachel Corrie, morte sous un bulldozer israëlien…
Merci pour la découverte.
excellente chanson douce et émouvante l’essentiel ce n’est pas de savoir à qui cette chanson était elle écrite et chantée mais de découvrir son propre aigle noir !!!