sobhanaLah!!!, encore et toujours, je manque d’originalité, désolée, mais c’est le mot qui convient le mieux à ce que je veux dire, Platon ne s’offusquait pas des répétitions, il privilégiait la justesse, je fais de même
Marie qui avait si bien expliqué la Nuit de Décembre de Musset considère Rimbaud comme le meilleur des poètes, elle ne sort pas sans quelques uns de ses chefs-d’oeuvre fourrés dans son sac ou à défaut dans sa poche!
j’aime beaucoup ce poème qui nous fait sentir que la communication n’est pas l’apanage du langage humain, la nature est très habile à nous faire sentir des émotions fortes, Spinoza disait Deus sive Natura je reprends la formule en la détournant de son sens, on pourrait dire pour plus de clarté Natura id est Deus, la nature…dirigée par Dieu, donc quand la Nature parle, elle transmet le message de Dieu, à croire qu’il n’y a pas que l’homme qui soit un khalifa sur terre!
ce poème me rappelle ton verset préféré, « ina fi khalqi samawati wal ard, wa ikhtilafi leyli wa nahar, la ayatine li oulil albab » (ne serait-ce pas pour ça que tu l’as choisi? hum hum, j’ai des doutes…)
et le verset suivant d’ailleurs, davantage même peut-être « aladhina yadhkouroun Allaha qiyaman wa qou’oudan wa ‘ala djounoubihim wa yatafakarouna fi khalqi assamawati wal ard, Rabbana ma khalaqta hadha batila, Sobhanaka fa qina ‘adhab an-nar »
la nature est un signe, il faut le déchiffrer, donc s’appesantir sur sa réalité, l’étudier, la comprendre, oui c’est ce qu’il y a de mieux, la prendre avec soi, ou se prendre avec elle peut-être
enfin je ne vais pas épiloguer même s’il y a matière à cela dans ce poème
barak Allahou fik encore pour cette rubrique, et tout le reste surtout
assalam ‘alaykoum wa rahmat Allahi wa barakatouhou
je ne parlerai pas, je ne dirai rien.
pas un mot…et l’étendue immense de laquelle s’échappe la caresse du vent, murmure imperceptible.
Une immensité.
Une splendeur…
et cet être qui s’encastre parfaitement dans cette macro-sphère. Partie intégrante de la terre « tîn », pas de doutes, aucune fausse note.
Une perfection. Et l’esprit qui retrouve vie, esprit qui ressens cette alchimie qu’un corp ne peut goûter. Une paix véritable, une onde irradiante. Enfin.
Et ce bonheur…où paraissent les biens matériels,face à cette douceur qui berce quiconque souhaite faire fusion.
Me perdre encore dans cette alchimie des sens et des forces-nature, seul instant où rien ne trouble, où les désirs ne s’affolent pas pour avoir mieux, toujours.
Et Lui dire.
Dans un silence lui sourire.
Savoir que si Il est Créateur de ces splendeurs, alors le reste n’est pas fait au hasard. Que chaque chose est déclenchée en un but et une volonté précise, concise, déjà transmise par-delà le temps.
slm,comment faites vous pour manier de cette manière et conjuguer les mots de cette facon la,a en voir vos comparaison,je m’incline devant cela et a en voir c beau txte a en émouvoir plus d’un,je prend de mieux en mieux conscience de la véracité de l’islam..wasalam
Wa salam,
très beau texte !
Je suis jeune auteur, et à mon modeste niveau, j’écris de la prose et de la poésie.
Si vs êtes intéressé par ce que je fais, voici mon blog :
J’ai fait un saut sur le site de Majeed et je dois dire qu’il vaut le détour. Je le recommande vraiment. Bonne continuation Majeed et ne cesse pas de nous faire profiter de la profondeur de ton écriture !
Salâm.
Salam,
merci à tous ceux et à toutes celles qui ont prit le temps d’aller visiter mon blog. Merci pour vos commentaires et vos encouragements. J’aurais aimé répondre à certains commentaires mais malheureusement, je n’avais pas d’adresse de retour (je pense notemment à chamous et à CL).
Tes textes sont formidables. Avec votre permission, j’ai transmis » le soldat de la vie » à des amis.
Barakallahou Fika
La magie qui émane de la nature, de la création divine est infinie; elle irradie nos vies si profondément qu’il est difficile, voire impossible d’en saisir l’intensité.
Observer le magnificience de cette nature, essayer d’en nourrire la conscience est source de rapprochement vers le Créateur.
Chercher à la respecter et la protéger est une attitude qui signifie la compréhension de ce que représente le dépôt divin, de « El Khilâfa ».
La sacrifier sur l’autel du « dieu » argent, mû par une gloutonnerie sans fin pour des biens restreints est la marque d’un égarement et de la perte du sens de son existence.
O Dieu ! Emplis nos coeurs de ton amour, de l’amour de ceux que Tu aimes et de l’amour des actions nous rapprochant de Ton amour !
Et assigne nous, par Ta grâce, ô Toi le Tout Miséricordieux, la meilleure des « Sohba » ici-bas comme dans l’Au-delà.
Allongée sous un grand hêtre dont les ramures protègent comme de larges mains qui écartent leurs doigts verts, j’entends les oiseaux – et non j’écoute – et je vois – et non je regarde – les avions qui, quelques kilomètres au-dessus, montrent leurs ventres contenant des dizaines, voire des centaines de personnes ignorant que je suis couchée, les bras écartés, dans la même position que leur oiseau de métal.
Ne rien sentir, ni le chaud, ni le froid, ni les conflits, ni les malheurs, ni les tristesses, ni les déceptions, ni les désamours. Etre sous les hêtres.
Etre comme les bouddhistes qui se distancent des sensations.
Pour eux, « il y a » l’envie de boire, « il y a » la douleur ou « il y a » la fatigue et non « j’ai » soif, « j’ai » mal ou « je » n’en peux plus …
Quelque fois, et c’est certainement Le Bonheur, « on » y parvient un instant ou plutôt justement « il y a » cet instant…
Devant, dans une clairière qu’on devine dévastée, un jeune pin de 25 mètres au moins, seul et très mince, se détache sur l’azur.
Bien plus loin, à sa gauche, quelques spécimens âgés, imperceptiblement, oscillent.
Je me prends à deviner sa vie, sa jeunesse, ses épreuves, ses capacités.
Que fait ici cet arbre aussi fin et aussi haut, dont le tronc est totalement dénudé et où seule la cime verdoyante se détache comme une tête et se balance dans les souffles élevés ? Que vit-il seul au milieu de rien ?
Lorsque la forêt était encore là, il a certainement voulu trouver sa place parmi les autres. Il s’est donc frayé un chemin et a poussé très vite pour arriver à la lumière.
D’autres, se sentant seuls ou en danger, poussent plutôt en largeur pour montrer qu’ils existent ou pour s’entourer d’une carapace protectrice.
Mais lui, afin de ne pas étouffer, a dû atteindre la clarté au plus vite. Il n’a donc pas eu le temps de se solidifier. Sa frondaison ayant atteint celles des autres conifères, il existait, il vivait sans voir qu’il était maigre. Entouré et serré qu’il était par ses congénères.
Maintenant qu’une tempête a tout dévasté, il se retrouve bras ballants, vacillant, comptant sur ses racines qu’il espère solides pour résister aux suivantes. C’est sûr qu’il avait moins de prise au vent que ses collègues plus larges et plus vieux. Ils sont tombés. Terrassés. Lui est resté. Tout seul.
Grâce à sa souplesse et à sa ligne.
Mais aujourd’hui, il hoche la tête. Comment faire pour résister aux grands vents ?
Plus rien ne le protège à présent. Ou plutôt si, sa souplesse toujours, l’autorise sans doute à être plié en deux lors des tourmentes.
Cela lui permet de parler à ce tout jeune hêtre, juste à côté de lui, probablement infiniment petit à l’époque du cataclysme et qui en profite maintenant pour s’élancer à ses côtés, comme pour le rattraper.
Salam,
J’avais envie d’exprimer une « sensation »,c’est le cas de le dire,je ne savais pas trop où la mettre, donc je l’écris ici car ce titre s’y rapporte bien.
J’aurais aimé savoir comment je dois m’y prendre lorsque je ressens la sansation d’avoir tout donner: amour, attention et affection; et de ne plus être capable de le refaire?
Je traine derrière moi une épreuve depuis quelques mois, j’appaise mon coeur au souvenir de Dieu et de Sa Volonté.
Mais, je me rend compte qu’au delà de ma foi, je dois aussi avancer avec mon humanité et j’ai l’impression qu’on en tient pas compte.
Les personnes qui me sont chères, mes proches, …, me rappelent souvent les notions de patiente et de destin, et el hamdoulillah, c’est important. Mais j’aimerai qu’on reconnaisse aussi ma tristesse, ma douleur.
A travers ce petit message, j’avais envie d’exprimer mon ressenti mais aussi de vous demander à toutes et tous, chères soeurs, chers frères, de ne pas oublier l’humanité et donc la fragilité, de celle ou celui qui est face à vous.
Des fois, il suffit simplement de qques paroles pour soulager un coeur: « oui, j’entend bien ce que tu dis et je comprend ta douleur ».
Se sentir compris et entendu c’est résoudre son problème de moitié.
Notre communauté doit avancer fermement et pour cela, elle ne doit pas etre une communauté des apparences: se montrer forte, prête à foncer pour Dieu, alors qu’elle est instable parce qu’elle n’a pas régler ses difficultés de l’interieur.
Je terminerai juste par dire que s’investir pour Dieu, exalté soit Il, ne consiste pas à être « surbooké » par son investissement au sein d’associations. C’est certes très important, mais que chacune et chacun se renvoit à ses intentions: quelles sont elles? Est ce un loisir? un phénomène de groupe? Ou est ce vraiment pour Dieu? Si oui, et bien ne negligeons pas les bases: toutes les peronnes qui nous entourrent.
J’ai difficile pour le moment,éprouvée affectivement,c’est pour cela que je vous demande des invocations. Je prie Dieu de raffermir vos pas et les miens…
Puisse Dieu te faciliter dans toutes tes épreuves,Qu’il t’encourage à donner encore.
Même si c’est facile à dire,mais je puis t’assurer que Dieu dans son coeur,c’est notre force,Il est celui qui nous fait avancer.
Et même si on pense qu’on ne peut plus supporter,que l’on arrive au bout,parce qu’Il ne nous abandonne jamais.
Si dans ton entourage,tu ne trouves pas le reconfort que tu souhaiterais,LUI est là et Il suffit(je te parle par experience).
Allah ne charge personne d’un fardeau sans qu’il ne peut le supporter.
La meilleure des choses,est de se confier à LUI,lui parler très sincèrement,et quand tu as fais cela,Il te libère de toutes tes angoisses,tes doutes.
Tu en ressors emplie de paix,rechargé en amour pour LUI et pour les autres.
Tu as envie de pardonner aux autres pour Le satisfaire,Le remercier de Sa presence.
Telles doivent être nos prières,souvent les avantages de la prière me font penser à 1 pub(qui n’existe plus aujourd’hui):1 « mars » et ça repart…
J’ai l’air de plaisanter mais c’est entièrement vrai.
Pour finir,l’épreuve,même si elle nous paraît lourde et difficile,même si on ne comprend pas le sens,il faut se dire que LUI seul connaît l’inconnaissable,et qu’on doît lui faire confiance,car LUI est juste.
Il sait ce que nous ne savons pas.
Que Dieu t’assiste et te comble de par SA paix,amin.
Enléikoum SALAME Chere Soeur,
Tout d’abord puisse ALLAH te remércié pour la pureté de tes mots et de ton acte…Amine…
J’ai été TRES touché et concerné par tes émotions et INCHA’ALLAH la uma de seau des prophétes sera guidée jusko bout du voyage dans le droit chemin et lé égarés rejoindrons la bauté de tenter de devenir Musulman et Musulmane INCHA’ALLAH TAENLA…
ke ALLAH TE COMPTE PARMIS SES FIDELES…AMINE..
Salaam,
je me suis etrangement reconnue dans ton message « J’aurais aimé savoir comment je dois m’y prendre lorsque je ressens la sansation d’avoir tout donner : amour, attention et affection ; et de ne plus être capable de le refaire ? Je traine derrière moi une épreuve depuis quelques mois, j’appaise mon coeur au souvenir de Dieu et de Sa Volonté. Mais, je me rend compte qu’au delà de ma foi, je dois aussi avancer avec mon humanité et j’ai l’impression qu’on en tient pas compte. Les personnes qui me sont chères, mes proches, …, me rappelent souvent les notions de patiente et de destin, et el hamdoulillah, c’est important. Mais j’aimerai qu’on reconnaisse aussi ma tristesse, ma douleur. »
Malheureusement je n’ai pas de typs a donner, j’en suis au meme point que toi, si ce n’est pas pire car la foi ne semble pas m’aider a surmonter ma tristesse, pire j’ai l’impression qu’elle l’aggrave, du genre pourquoi ai-je un destin comme ca, pourquoi moi, et toute sorte de debilites qui tournent facilement a la rancune, et sont donc tres dangeureuses tant au niveau foi qu’humain (j’ai bien aime d’ailleurs ton insistance surl’humanite de chacun).
May Allah guide us on the right path…Ameen
Salaam
Salam ahlikoum,c’est troublant ce message a été écrit il y a près de 3ans et c’est exactement ce que je ressens et ce que je vis. Effectivement la communauté musulmane ne doit pas agir simplement sur le dessus mais c’est un gros effort sur le fond qu’il doit être fait.On a tendance à minimiser les sentiments voir à les refouler mais ce qui fait la différence entre tous les musulmans n’est il pas la sensibilité ?! « Aimes pour ton frére ce que tu aimes pour toi même » Ce hadith m’a touché alors que je n’avais que 9 ans et hamdoulilah je pense que c’est une ligne de conduite à avoir et je me dis souvent le jour où on appliquera ce hadith on sera loin devant inchahllah, pour moi cela résume tout; affection, tendresse. Malheureusement comme beaucoup je cherchais réconfort auprès des miens famille etc … mais rien que déception même pire de la maladresse, et finalement je me rends compte que la solution, l’allégement de cette douleur quasi insoutenable on ne le trouvera qu’au près d’Allah(exalté soit il). Il ne faut rien attendre de son prochain de peur d’être déçu ! l’homme se met en colére quand on lui demande, Allah se met en colére quand on ne lui demande pas ! Maintenant par connaissance de cause c’est plus facile a dire qu’ à faire mais je suis sûr que là est la clef et Allah(exalté soit il) récompense toujours les endurants ! Et puis je me dis : qui nous connait mieux et nous comprends mieux que nous même? Allah (exalté soit il) ! Il dit demandez moi je vous exauserez et le coran est un vrai soulagement. J’écoute des conférences, lis des livres et j’ai l’impression qu’à travers tout ça on me cite, on me parle se sont de véritables signes pour nous soulager pour nous aider dans notre djihad personnel ou allah ou ahlam
Salame Alikoum, Il faut nourrir son coeur d’Amour pour pouvoir être fort. Fort contre vents et marés. Je souhaite qu’Allah vous donne la force de comprendre ce qui arrive et de prendre cet BARAKA comme un Don de Allah. Un don unique au monde c’est merveilleux !!!
Le secret c’est le Coran El Karime. Méditez Mon Cher Tariq sur les initiales des Sourates (ALIF, LAM; MIME) ; ou (ALIF, LAM; RA).
Je dis « LA HOULA OILLA QUOATA ILLA BIALLAH ».
Je suis avec vous courage nous avons besoin de votre savoir, de votre intelligence.
Salame alikoum signé « une intellectuelle refoulé » dit par un écrivain Marocain TAAR BEN JELLOUL.
Jour après jour, je remercie Dieu pour Sa miséricorde et Sa bonté…
Pour Ses signes…Son amour et l’amour de ceux qu’Il aime.
Que Dieu nous compte parmi ceux qui Le reconnaissent et qui agissent pour le bien…Qu’Il nous aime et nous fasse aimer de Ses anges…Qu’ils reconnaissent notre humanité et nous protègent…Qu’ils nous guident ici-bas et dans l’au-delà…Insha’Allah
Je suis allée un mois de juillet au village d’ « an-Nûba ». Une sensation inexplicable m’a traversée. J’ai vu des enfants autour de moi, sont venus naturellement vers moi. Nous étions un groupe de gens. Ils m’ont proposé du pain (‘îch) et du chocolat alors qu’eux-mêmes en avaient besoin. J’ai eu l’impression d’être née à cet endroit et avoir vécu avec ces gens-là. Nous nous sommes spontanément aimés sans avoir à l’expliquer.
Hier, voilà 120 ans que Rimbaud a quitté la vie terrestre à l’age de 37 ans pour devenir l’etoile brilliante de la poesie francaise.
J’ai lu sa biographie ecrite par Pierre Petitfils et je fus touchée et attristée par la souffrance et la grande tristesse vécues par Rimbaud tout au cours sa vie. Si quelqu’un sait le sens du mot SOLLITUDE, ah c’est bien ce garcon.
Vive le XIXeme siecle!
sobhanaLah!!!, encore et toujours, je manque d’originalité, désolée, mais c’est le mot qui convient le mieux à ce que je veux dire, Platon ne s’offusquait pas des répétitions, il privilégiait la justesse, je fais de même
Marie qui avait si bien expliqué la Nuit de Décembre de Musset considère Rimbaud comme le meilleur des poètes, elle ne sort pas sans quelques uns de ses chefs-d’oeuvre fourrés dans son sac ou à défaut dans sa poche!
j’aime beaucoup ce poème qui nous fait sentir que la communication n’est pas l’apanage du langage humain, la nature est très habile à nous faire sentir des émotions fortes, Spinoza disait Deus sive Natura je reprends la formule en la détournant de son sens, on pourrait dire pour plus de clarté Natura id est Deus, la nature…dirigée par Dieu, donc quand la Nature parle, elle transmet le message de Dieu, à croire qu’il n’y a pas que l’homme qui soit un khalifa sur terre!
ce poème me rappelle ton verset préféré, « ina fi khalqi samawati wal ard, wa ikhtilafi leyli wa nahar, la ayatine li oulil albab » (ne serait-ce pas pour ça que tu l’as choisi? hum hum, j’ai des doutes…)
et le verset suivant d’ailleurs, davantage même peut-être « aladhina yadhkouroun Allaha qiyaman wa qou’oudan wa ‘ala djounoubihim wa yatafakarouna fi khalqi assamawati wal ard, Rabbana ma khalaqta hadha batila, Sobhanaka fa qina ‘adhab an-nar »
la nature est un signe, il faut le déchiffrer, donc s’appesantir sur sa réalité, l’étudier, la comprendre, oui c’est ce qu’il y a de mieux, la prendre avec soi, ou se prendre avec elle peut-être
enfin je ne vais pas épiloguer même s’il y a matière à cela dans ce poème
barak Allahou fik encore pour cette rubrique, et tout le reste surtout
assalam ‘alaykoum wa rahmat Allahi wa barakatouhou
ps: et ton commentaire???
je ne parlerai pas, je ne dirai rien.
pas un mot…et l’étendue immense de laquelle s’échappe la caresse du vent, murmure imperceptible.
Une immensité.
Une splendeur…
et cet être qui s’encastre parfaitement dans cette macro-sphère. Partie intégrante de la terre « tîn », pas de doutes, aucune fausse note.
Une perfection. Et l’esprit qui retrouve vie, esprit qui ressens cette alchimie qu’un corp ne peut goûter. Une paix véritable, une onde irradiante. Enfin.
Et ce bonheur…où paraissent les biens matériels,face à cette douceur qui berce quiconque souhaite faire fusion.
Me perdre encore dans cette alchimie des sens et des forces-nature, seul instant où rien ne trouble, où les désirs ne s’affolent pas pour avoir mieux, toujours.
Et Lui dire.
Dans un silence lui sourire.
Savoir que si Il est Créateur de ces splendeurs, alors le reste n’est pas fait au hasard. Que chaque chose est déclenchée en un but et une volonté précise, concise, déjà transmise par-delà le temps.
slm,comment faites vous pour manier de cette manière et conjuguer les mots de cette facon la,a en voir vos comparaison,je m’incline devant cela et a en voir c beau txte a en émouvoir plus d’un,je prend de mieux en mieux conscience de la véracité de l’islam..wasalam
Wa salam,
très beau texte !
Je suis jeune auteur, et à mon modeste niveau, j’écris de la prose et de la poésie.
Si vs êtes intéressé par ce que je fais, voici mon blog :
http://majeed.skynetblogs.be/
N’hésitez pas à me laisser vos
impressions, qu’elles soient bonnes ou mauvaises !
Wa salam. Majeed
J’ai fait un saut sur le site de Majeed et je dois dire qu’il vaut le détour. Je le recommande vraiment. Bonne continuation Majeed et ne cesse pas de nous faire profiter de la profondeur de ton écriture !
Salâm.
Salam,
merci à tous ceux et à toutes celles qui ont prit le temps d’aller visiter mon blog. Merci pour vos commentaires et vos encouragements. J’aurais aimé répondre à certains commentaires mais malheureusement, je n’avais pas d’adresse de retour (je pense notemment à chamous et à CL).
Wa salam. Majeed. ([email protected])
Salam Majeed.
Tes textes sont formidables. Avec votre permission, j’ai transmis » le soldat de la vie » à des amis.
Barakallahou Fika
La magie qui émane de la nature, de la création divine est infinie; elle irradie nos vies si profondément qu’il est difficile, voire impossible d’en saisir l’intensité.
Observer le magnificience de cette nature, essayer d’en nourrire la conscience est source de rapprochement vers le Créateur.
Chercher à la respecter et la protéger est une attitude qui signifie la compréhension de ce que représente le dépôt divin, de « El Khilâfa ».
La sacrifier sur l’autel du « dieu » argent, mû par une gloutonnerie sans fin pour des biens restreints est la marque d’un égarement et de la perte du sens de son existence.
O Dieu ! Emplis nos coeurs de ton amour, de l’amour de ceux que Tu aimes et de l’amour des actions nous rapprochant de Ton amour !
Et assigne nous, par Ta grâce, ô Toi le Tout Miséricordieux, la meilleure des « Sohba » ici-bas comme dans l’Au-delà.
Allongée sous un grand hêtre dont les ramures protègent comme de larges mains qui écartent leurs doigts verts, j’entends les oiseaux – et non j’écoute – et je vois – et non je regarde – les avions qui, quelques kilomètres au-dessus, montrent leurs ventres contenant des dizaines, voire des centaines de personnes ignorant que je suis couchée, les bras écartés, dans la même position que leur oiseau de métal.
Ne rien sentir, ni le chaud, ni le froid, ni les conflits, ni les malheurs, ni les tristesses, ni les déceptions, ni les désamours. Etre sous les hêtres.
Etre comme les bouddhistes qui se distancent des sensations.
Pour eux, « il y a » l’envie de boire, « il y a » la douleur ou « il y a » la fatigue et non « j’ai » soif, « j’ai » mal ou « je » n’en peux plus …
Quelque fois, et c’est certainement Le Bonheur, « on » y parvient un instant ou plutôt justement « il y a » cet instant…
Devant, dans une clairière qu’on devine dévastée, un jeune pin de 25 mètres au moins, seul et très mince, se détache sur l’azur.
Bien plus loin, à sa gauche, quelques spécimens âgés, imperceptiblement, oscillent.
Je me prends à deviner sa vie, sa jeunesse, ses épreuves, ses capacités.
Que fait ici cet arbre aussi fin et aussi haut, dont le tronc est totalement dénudé et où seule la cime verdoyante se détache comme une tête et se balance dans les souffles élevés ? Que vit-il seul au milieu de rien ?
Lorsque la forêt était encore là, il a certainement voulu trouver sa place parmi les autres. Il s’est donc frayé un chemin et a poussé très vite pour arriver à la lumière.
D’autres, se sentant seuls ou en danger, poussent plutôt en largeur pour montrer qu’ils existent ou pour s’entourer d’une carapace protectrice.
Mais lui, afin de ne pas étouffer, a dû atteindre la clarté au plus vite. Il n’a donc pas eu le temps de se solidifier. Sa frondaison ayant atteint celles des autres conifères, il existait, il vivait sans voir qu’il était maigre. Entouré et serré qu’il était par ses congénères.
Maintenant qu’une tempête a tout dévasté, il se retrouve bras ballants, vacillant, comptant sur ses racines qu’il espère solides pour résister aux suivantes. C’est sûr qu’il avait moins de prise au vent que ses collègues plus larges et plus vieux. Ils sont tombés. Terrassés. Lui est resté. Tout seul.
Grâce à sa souplesse et à sa ligne.
Mais aujourd’hui, il hoche la tête. Comment faire pour résister aux grands vents ?
Plus rien ne le protège à présent. Ou plutôt si, sa souplesse toujours, l’autorise sans doute à être plié en deux lors des tourmentes.
Cela lui permet de parler à ce tout jeune hêtre, juste à côté de lui, probablement infiniment petit à l’époque du cataclysme et qui en profite maintenant pour s’élancer à ses côtés, comme pour le rattraper.
Belle prose ! J’aime bcp ton texte.
Sentir un parfum,
Sentir un bouquet,
Toucher de sa main
Toucher donne l’effet.
Le vent souffle et je me prend pour un oiseau.
A tire-d’aile je vole comme le passereau.
Je plonge dans l’eau et me voilà un poisson.
Remonte les rivières, tel le saumon.
Se sentir, être senti, sentinelle
Sentinelle des sensations
Tu observes, tu guettes nos émotions.
On est si souvent délaisser par nos sensations,
On n’aimerais tant les voir fleurirent,
Dans les curs tristes, de nos prisons,
De béton, de barreaux, de ce qu’il y a de pire.
La beauté me laisse perplexe,
Les rires joueurs des enfants ôtent mes complexes.
Le regard du nourrisson m’envahit de tendresse,
Le sourire de ma bien-aimée apaise mon stress.
Tant de sensations
Pour tant d’émotions,
Et nos regards qui fuient
Dans les lointains horizons,
D’une plaine si vaste, de montagnes si jolies.
Inspirer et souffler,
Se sentir léger,
En attendant la prochaine bonne sensation,
Je patiente, en priant que l’ultime apaisement soit ma maison…
Ibrahim
Très beau !!
Salam,
J’avais envie d’exprimer une « sensation »,c’est le cas de le dire,je ne savais pas trop où la mettre, donc je l’écris ici car ce titre s’y rapporte bien.
J’aurais aimé savoir comment je dois m’y prendre lorsque je ressens la sansation d’avoir tout donner: amour, attention et affection; et de ne plus être capable de le refaire?
Je traine derrière moi une épreuve depuis quelques mois, j’appaise mon coeur au souvenir de Dieu et de Sa Volonté.
Mais, je me rend compte qu’au delà de ma foi, je dois aussi avancer avec mon humanité et j’ai l’impression qu’on en tient pas compte.
Les personnes qui me sont chères, mes proches, …, me rappelent souvent les notions de patiente et de destin, et el hamdoulillah, c’est important. Mais j’aimerai qu’on reconnaisse aussi ma tristesse, ma douleur.
A travers ce petit message, j’avais envie d’exprimer mon ressenti mais aussi de vous demander à toutes et tous, chères soeurs, chers frères, de ne pas oublier l’humanité et donc la fragilité, de celle ou celui qui est face à vous.
Des fois, il suffit simplement de qques paroles pour soulager un coeur: « oui, j’entend bien ce que tu dis et je comprend ta douleur ».
Se sentir compris et entendu c’est résoudre son problème de moitié.
Notre communauté doit avancer fermement et pour cela, elle ne doit pas etre une communauté des apparences: se montrer forte, prête à foncer pour Dieu, alors qu’elle est instable parce qu’elle n’a pas régler ses difficultés de l’interieur.
Je terminerai juste par dire que s’investir pour Dieu, exalté soit Il, ne consiste pas à être « surbooké » par son investissement au sein d’associations. C’est certes très important, mais que chacune et chacun se renvoit à ses intentions: quelles sont elles? Est ce un loisir? un phénomène de groupe? Ou est ce vraiment pour Dieu? Si oui, et bien ne negligeons pas les bases: toutes les peronnes qui nous entourrent.
J’ai difficile pour le moment,éprouvée affectivement,c’est pour cela que je vous demande des invocations. Je prie Dieu de raffermir vos pas et les miens…
Salem a’leykoum chere soeur,
Puisse Dieu te faciliter dans toutes tes épreuves,Qu’il t’encourage à donner encore.
Même si c’est facile à dire,mais je puis t’assurer que Dieu dans son coeur,c’est notre force,Il est celui qui nous fait avancer.
Et même si on pense qu’on ne peut plus supporter,que l’on arrive au bout,parce qu’Il ne nous abandonne jamais.
Si dans ton entourage,tu ne trouves pas le reconfort que tu souhaiterais,LUI est là et Il suffit(je te parle par experience).
Allah ne charge personne d’un fardeau sans qu’il ne peut le supporter.
La meilleure des choses,est de se confier à LUI,lui parler très sincèrement,et quand tu as fais cela,Il te libère de toutes tes angoisses,tes doutes.
Tu en ressors emplie de paix,rechargé en amour pour LUI et pour les autres.
Tu as envie de pardonner aux autres pour Le satisfaire,Le remercier de Sa presence.
Telles doivent être nos prières,souvent les avantages de la prière me font penser à 1 pub(qui n’existe plus aujourd’hui):1 « mars » et ça repart…
J’ai l’air de plaisanter mais c’est entièrement vrai.
Pour finir,l’épreuve,même si elle nous paraît lourde et difficile,même si on ne comprend pas le sens,il faut se dire que LUI seul connaît l’inconnaissable,et qu’on doît lui faire confiance,car LUI est juste.
Il sait ce que nous ne savons pas.
Que Dieu t’assiste et te comble de par SA paix,amin.
Enléikoum SALAME Chere Soeur,
Tout d’abord puisse ALLAH te remércié pour la pureté de tes mots et de ton acte…Amine…
J’ai été TRES touché et concerné par tes émotions et INCHA’ALLAH la uma de seau des prophétes sera guidée jusko bout du voyage dans le droit chemin et lé égarés rejoindrons la bauté de tenter de devenir Musulman et Musulmane INCHA’ALLAH TAENLA…
ke ALLAH TE COMPTE PARMIS SES FIDELES…AMINE..
Salaam,
je me suis etrangement reconnue dans ton message « J’aurais aimé savoir comment je dois m’y prendre lorsque je ressens la sansation d’avoir tout donner : amour, attention et affection ; et de ne plus être capable de le refaire ? Je traine derrière moi une épreuve depuis quelques mois, j’appaise mon coeur au souvenir de Dieu et de Sa Volonté. Mais, je me rend compte qu’au delà de ma foi, je dois aussi avancer avec mon humanité et j’ai l’impression qu’on en tient pas compte. Les personnes qui me sont chères, mes proches, …, me rappelent souvent les notions de patiente et de destin, et el hamdoulillah, c’est important. Mais j’aimerai qu’on reconnaisse aussi ma tristesse, ma douleur. »
Malheureusement je n’ai pas de typs a donner, j’en suis au meme point que toi, si ce n’est pas pire car la foi ne semble pas m’aider a surmonter ma tristesse, pire j’ai l’impression qu’elle l’aggrave, du genre pourquoi ai-je un destin comme ca, pourquoi moi, et toute sorte de debilites qui tournent facilement a la rancune, et sont donc tres dangeureuses tant au niveau foi qu’humain (j’ai bien aime d’ailleurs ton insistance surl’humanite de chacun).
May Allah guide us on the right path…Ameen
Salaam
Salam ahlikoum,c’est troublant ce message a été écrit il y a près de 3ans et c’est exactement ce que je ressens et ce que je vis. Effectivement la communauté musulmane ne doit pas agir simplement sur le dessus mais c’est un gros effort sur le fond qu’il doit être fait.On a tendance à minimiser les sentiments voir à les refouler mais ce qui fait la différence entre tous les musulmans n’est il pas la sensibilité ?! « Aimes pour ton frére ce que tu aimes pour toi même » Ce hadith m’a touché alors que je n’avais que 9 ans et hamdoulilah je pense que c’est une ligne de conduite à avoir et je me dis souvent le jour où on appliquera ce hadith on sera loin devant inchahllah, pour moi cela résume tout; affection, tendresse. Malheureusement comme beaucoup je cherchais réconfort auprès des miens famille etc … mais rien que déception même pire de la maladresse, et finalement je me rends compte que la solution, l’allégement de cette douleur quasi insoutenable on ne le trouvera qu’au près d’Allah(exalté soit il). Il ne faut rien attendre de son prochain de peur d’être déçu ! l’homme se met en colére quand on lui demande, Allah se met en colére quand on ne lui demande pas ! Maintenant par connaissance de cause c’est plus facile a dire qu’ à faire mais je suis sûr que là est la clef et Allah(exalté soit il) récompense toujours les endurants ! Et puis je me dis : qui nous connait mieux et nous comprends mieux que nous même? Allah (exalté soit il) ! Il dit demandez moi je vous exauserez et le coran est un vrai soulagement. J’écoute des conférences, lis des livres et j’ai l’impression qu’à travers tout ça on me cite, on me parle se sont de véritables signes pour nous soulager pour nous aider dans notre djihad personnel ou allah ou ahlam
Assalamoualaykoum
Devant cette unité pourquoi chercher l’union?
F . ISSOP ILE DE LA REUNION
Salame Alikoum, Il faut nourrir son coeur d’Amour pour pouvoir être fort. Fort contre vents et marés. Je souhaite qu’Allah vous donne la force de comprendre ce qui arrive et de prendre cet BARAKA comme un Don de Allah. Un don unique au monde c’est merveilleux !!!
Le secret c’est le Coran El Karime. Méditez Mon Cher Tariq sur les initiales des Sourates (ALIF, LAM; MIME) ; ou (ALIF, LAM; RA).
Je dis « LA HOULA OILLA QUOATA ILLA BIALLAH ».
Je suis avec vous courage nous avons besoin de votre savoir, de votre intelligence.
Salame alikoum signé « une intellectuelle refoulé » dit par un écrivain Marocain TAAR BEN JELLOUL.
J’ai rencontré une âme délicate, sincère et toute en finesse…
J’ai rencontré un coeur tendre et fort…
Vert de paix,
blanc de pureté,
bleu du ciel…
J’ai rencontré l’amour, l’osmose…
Un avant goût du paradis…Sur terre
Insha’Allah
Jour après jour, je remercie Dieu pour Sa miséricorde et Sa bonté…
Pour Ses signes…Son amour et l’amour de ceux qu’Il aime.
Que Dieu nous compte parmi ceux qui Le reconnaissent et qui agissent pour le bien…Qu’Il nous aime et nous fasse aimer de Ses anges…Qu’ils reconnaissent notre humanité et nous protègent…Qu’ils nous guident ici-bas et dans l’au-delà…Insha’Allah
L’esclave et l’oiseau
Ouvre ton aile au vent, mon beau
ramier sauvage,
Laisse à mes doigts brisés ton anneau
d’esclavage !
Tu n’as que trop pleuré ton élément,
l’amour ;
Sois heureux comme lui : sauve-toi
sans retour !
Que tu montes la nue, ou que tu rases
l’onde,
Souviens-toi de l’esclave en
traversant le monde :
L’esclave t’affranchit pour te rendre
à l’amour ;
Quitte-moi comme lui : sauve-toi sans
retour !
Va retrouver dans l’air la volupté de
vivre !
Va boire les baisers de Dieu, qui te
délivre !
Ruisselant de soleil et plongé dans
l’amour,
Va-t-en ! Va-t-en ! Va-t-en ! Sauve-
toi sans retour !
Moi, je garde l’anneau ; je suis
l’oiseau sans ailes.
Les tiennes vont aux cieux ; mon âme
est devant elles.
Va ! Je les sentirai frissonner dans
l’amour !
Mon ramier, sois béni ! Sauve-toi sans
retour !
Va demander pardon pour les faiseurs
de chaînes ;
En fuyant les bourreaux, laisse tomber
les haines.
Va plus haut que la mort, emporté dans
l’amour ;
Sois clément comme lui… sauve-toi
sans retour !
Marceline DESBORDES-VALMORE
fraîcheur !!
pas : fraicheur
Je suis allée un mois de juillet au village d’ « an-Nûba ». Une sensation inexplicable m’a traversée. J’ai vu des enfants autour de moi, sont venus naturellement vers moi. Nous étions un groupe de gens. Ils m’ont proposé du pain (‘îch) et du chocolat alors qu’eux-mêmes en avaient besoin. J’ai eu l’impression d’être née à cet endroit et avoir vécu avec ces gens-là. Nous nous sommes spontanément aimés sans avoir à l’expliquer.
Salam Aleykom,
Hier, voilà 120 ans que Rimbaud a quitté la vie terrestre à l’age de 37 ans pour devenir l’etoile brilliante de la poesie francaise.
J’ai lu sa biographie ecrite par Pierre Petitfils et je fus touchée et attristée par la souffrance et la grande tristesse vécues par Rimbaud tout au cours sa vie. Si quelqu’un sait le sens du mot SOLLITUDE, ah c’est bien ce garcon.
Vive le XIXeme siecle!