Une identité d’abord spirituelle

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    Cette conférence a eu lieu à Ottawa le 20 mai 2007

1 COMMENTAIRE

  1. S’agissant de M Lellouche, son gouvernement est le CRIF de france dont il est l’écho auprés de M Sarkozy pour les nominations, aux différents ministères, qui doivent d’abord avoir l’aval du CRIF. Les lois anti-sémite, ou lois de soumission, sont pensées au CRIF et dictées par Lellouche à l’assemblé. On le sait, et c’est là la manière de définir la nouvelle identité nationnale française. La loi sur l’identité nationnale et son ministère c’est purement et simplement le retour de la loi Crémieux.

  2. Un discours simple, clair, profond et cohérent, qui nous rappelle pourquoi et pour quoi nous sommes là, ensemble.

    C’est beau, la phrase que vous disiez à vos élèves…Il fallait oser.

    Juste une chose…Un souvenir.. Un jour de randonnée en montagne, il y a deux ans peut-être… Une chapelle minuscule. A côté une peite ferme. Des brebis. Trois moines vivaient là, comme des paysans, simples, pauvres, acccueillants. Lorsque nous, deux ou trois randonneurs, sommes entrés sans eux, avant même de les rencontrer, dans ce tout petit édifice, nous avons senti, sans qu’il soit besoin de mots, nous avons senti la prière, la foi, le silence, Sa presence. Une densité. C’était si palpable…

    Ils étaient catholiques. Leur spiritualité était celle de tous ceux qui sont à Sa recherche. Les dogmes diffèrent, la foi rapproche, ne le croyez-vous pas? Des chemins multiples, une même direction…Il peut y avoir un dialogue inter-religieux officiel, dans le respect et avec les limites de ce type de rencontre: un désaccord persistant sur le dogme. Et puis, en dehors de tout circuit balisé, il y a ceux qui savent que Dieu est Amour. Et qui se retrouvent souvent au service des démunis. J’en ai rencontré, et vous sûrement beaucoup plus que moi.

    En tous les cas, merci pour cette belle conférence, pour ce rappel de sens. Ne pas craindre l’autorité. Servir les plus démunis. Ne l’oublions pas.

    Que Sa paix t’accompagne, et sa douceur.

    V

  3. Salam

    oui, ne pas craindre les hommes, le pouvoir, l’autorité de ses parents, savoir leur faire face au nom de la justice.
    On dit souvent la question de la femme en islam est symtomaptique, du regard des musulmans sur l’islam, on pourrait aussi dire cela, de la question de l’enfant, du lien parents enfant, de la jeunesse.
    dans sourate loqman, l ya font omprendre qu’il faut etre, avoir pour transmettre, or quand il est dit, il faut travailler la façon de transmettre, c’est bruler une étape,d es gens ne sont pas confiant, n’ont pas la confiance, envers leur parent, leur éléves, ou les gens en général, comment demander a ces gens de traviller le fait de transmettre la confiance.
    venant au contenu de ce qu’il faut transmettre comme message de l’islam, il est bon de donner une bonne traduction du mot islam, mais ils erait cohérent que derrière l’enseignement de que l’on fait de l’islam soit en adéquation avec la traduction d’entrer dans la paix d’allah, message qui libère, hors aujoud’hui l’enseignement islamique n’a pas pour objectif la libération de l’etre.
    l’enseignement aujourd’hui, derrière la volonté de ne pas se construire sur le ‘angle du halal et du haram, se construit sur l’obsession de l’éthique, oir du social, mais pas n’importe quel social, n’est social, pour certains que celui qui touche les plus pauvres, il faudrait etre vraiment dans la misère, pour avoir des problème sociaux, tout les autres,silences, voir c’est un peu de leur fautes diront certains, ou alors on parlera de leur fautes morales.
    On pourrait parler de ses suicident sur les lieu de travail, mais non ça on en parle pas, étonnant témoignage sur le social, quand mème.
    ne pas craindre les hommes, les pouvoirs,c ‘est aude la des grands discours, sur le politique,dont on ne sait pas à qui il s’adresse, comme si tout les citoyens, rencontraient des hommes et femmes politiques pour leur dirent une parole de vérité.
    En revanche, à l’heure ou l’économie a pris le pas sur le politique, c’est dans ce monde des entreprises, dans le monde du travail, que la résistance doit se faire, la ou les gens sont traité comme rien, tout le jours , accompagner par notre silence, parce que notre parole est enfermer dans la fierté a lutter toujours contre les mème injustices.
    cette résistance face a l’injuste,e t a lexploitation au mépris , passe par ne éducation, mais une éducation qui ne se limit pas a dire, le sens, l’thqiue, la responsabilité, mais qui donne les moyens, d’etre libre, engagé.
    Méfions nous au passage, de cirsconscrire l’engagement, par certaines action, ou présnece, des engagements sont réel et éfficients sans qu’il passent forcement par les associations.
    De mème, l’engagement social, ne suffit pas a dire le témoignage de la présence d’allah, en effet bcp ont agis pour le social, des fois bien plus que des musulmans, mais cela ne fut pas fait pour dieu, et n’a pas été témoignage de la présence du très haut.
    c’est la raison, pour laquelle allah ajoute dans un aya du coran la foi en allah, après avoir défini les croyants par le fait d’ordonner le bien reconnu, et de proscrire le mal reprouvé.
    Il sa’git donc bien de parlr d’allah, mais d’une façn qui libère, une façon qui le fasse connaitre dans son etre, changer ces discours ou l’on prétend placer allah au centre de tou, et de parler de tout sau de lui.
    Combien de place aujourd’hui pour le sdoucrs , l’enseignment sur allah , beaucoupde parole sur la citoyenneté, léthique, les arkane , les ahkam, mais quoi sur Allah?
    combien de diecours, cours sur le taweed, mais si peu sur la reflexxion et la compréhnension du coran?
    combien de discours sur les actes et engagements sociaux du prophètes(alayhi çalat wa salam), si peu sur sa vie spirituelle et l’articulation de cette vie avec sa présence de justice au monde, tout le monde, pas que les plus pauvres, come pour dire, la profondeur de l’islam, par sa capacité à s’occuper des cas les plus grave, non tout les problèmes, quel que soit leur degré était la préocupation du messager d’allah, parce qu’ils avait qu’on est jamais proche de dieu quand on négige les gens.
    Allahou Alam
    QU’allah, nous donne al afwa wa l afyat

    Salam

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    LA NAGEOLOGIE

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    Un jeune professeur faisait un voyage en bateau. C’était un homme extrêmement cultivé, au nom suivi d’un cortège d’initiales, mais il avait peu d’expérience de la vie. Parmi l’équipage du bateau, se trouvait un vieux marin illettré. Tous les soirs, il rendait visite au professeur dans sa cabine pour l’écouter discourir sur un tas de sujets. Il était très impressionné par l’érudition du jeune homme.

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    Un soir, alors que le marin allait quitter la cabine après plusieurs heures de conversation, le professeur lui demanda :

    « Vieil homme, avez-vous étudié la géologie ?
    – Qu’est-ce que c’est que ça, monsieur ?
    – La science de la terre.
    – Non, monsieur, je ne suis jamais allé à l’école ni au lycée. Je n’ai jamais rien étudié.
    – Vieil homme, vous avez perdu le quart de votre vie. »

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    La mine longue, le vieux marin se retira. « Si quelqu’un d’aussi savant le dit, ça doit certainement être vrai. J’ai perdu le quart de ma vie ! » pensa-t-il tristement.

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    Le lendemain soir encore, le marin était sur le point de quitter la cabine quand le professeur lui demanda :

    « Vieil homme, avez-vous étudié l’océanographie ?
    – Qu’est-ce que c’est que ça, monsieur ?
    – La science de la mer.
    – Non, monsieur, je n’ai jamais rien étudié.
    – Vieil homme, vous avez perdu la moitié de votre vie. »

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    Le marin partit la mine encore plus longue : « J’ai perdu la moitié de ma vie ; ce savant le dit. »

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    Le lendemain soir, de nouveau, le jeune professeur interrogea le vieux marin :

    « Vieil homme, avez-vous étudié la météorologie ?
    – Qu’est-ce que c’est que ça, monsieur ? Je n’en ai jamais entendu parler.
    – Eh bien, la science du vent, de la pluie, du temps.
    – Non, monsieur. Comme je vous l’ai dit, je ne suis jamais allé à l’école. Je n’ai jamais rien étudié.
    – Vous n’avez pas étudié la science de la terre sur laquelle vous vivez ; vous n’avez pas étudié la science de la mer sur laquelle vous gagnez votre vie ; vous n’avez pas étudié la science du temps que vous rencontrez tous les jours ? Vieil homme, vous avez perdu les trois quarts de votre vie. »

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    Le vieux marin fut très malheureux : « Ce savant dit que j’ai perdu les trois quarts de ma vie ! Pour sûr, j’ai dû perdre les trois quarts de ma vie ! »

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    Mais le lendemain, ce fut le tour du vieux marin. Il courut à la cabine du jeune homme et cria :

    « Monsieur le professeur, avez-vous étudié la nageologie ?
    – La nageologie ? Que voulez-vous dire ?
    – Savez-vous nager, monsieur ?
    – Non, je ne sais pas nager.
    – Monsieur le professeur, vous avez perdu toute votre vie ! Le bateau a heurté un rocher et nous coulons. Ceux qui savent nager ont une chance d’atteindre la côte voisine, mais ceux qui ne savent pas nager vont se noyer. Je suis vraiment désolé, monsieur le professeur, vous avez certainement perdu votre vie. »

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    Vous pouvez étudier toutes les « ologies » du monde, mais si vous n’apprenez pas la nageologie, toutes vos études sont vaines. Vous pouvez lire et écrire des livres sur la natation, vous pouvez débattre des ses aspects théoriques subtils, mais en quoi cela vous aidera-t-il si vous refusez d’entrer dans l’eau ? Vous devez apprendre à nager.

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    William Hart

    L’art de vivre,

    Méditation Vipassanā enseignée par S. N. Goenka

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    Désir de communion spirituelle

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    Combien sont-ils ceux qui désirent vraiment apprendre à nager et qui hésitent d’entrer dans l’eau, par peur de se noyer ? Combien sont-ils ceux qui cherchent un maître nageur et qui trouvent uniquement une bouée de sauvetage ?

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    L’apprentissage théorique ne suffit pas pour nourrir la foi et vivre la communion spirituelle; le croyant doit épouser la religion.

    Mais où est le maître spirituel ? Le livre et les textes ne suffisent pas.

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    OLLAG

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    • Salam, oui il existe un site pour télécharger les conférences de Tariq Ramadan. C’est (www.vert-islam.com)

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    Eduquer quelqu’un c’est lui donner de la valeur

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    Il y a des enfants toute leur vie, ils souffriront d’être rentrés après l’école et de n’être attendus par personne.

    Quand quelqu’un vous attend, c’est que vous avez la valeur de son attente. Mais quand vous sortez de l’école, personne ne vous attend, vous pouvez passer des heures et des heures dans la rue, il n’y a personne qui vous attend de nulle part, vous n’avez la valeur d’aucune attente.

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    ***Tariq Ramadan***

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    Première solitude

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    On voit dans les sombres écoles

    Des petits qui pleurent toujours ;

    Les autres font leurs cabrioles,

    Eux, ils restent au fond des cours.

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    Leurs blouses sont très bien tirées,

    Leurs pantalons en bon état,

    Leurs chaussures toujours cirées ;

    Ils ont l’air sage et délicat.

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    Les forts les appellent des filles,

    Et les malins des innocents :

    Ils sont doux, ils donnent leurs billes,

    Ils ne seront pas commerçants.

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    Les plus poltrons leur font des niches,

    Et les gourmands sont leurs copains ;

    Leurs camarades les croient riches,

    Parce qu’ils se lavent les mains.

    ~~

    Ils frissonnent sous l’oeil du maître,

    Son ombre les rend malheureux.

    Ces enfants n’auraient pas dû naître,

    L’enfance est trop dure pour eux !

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    Oh ! La leçon qui n’est pas sue,

    Le devoir qui n’est pas fini !

    Une réprimande reçue,

    Le déshonneur d’être puni !

    ~~

    Tout leur est terreur et martyre :

    Le jour, c’est la cloche, et, le soir,

    Quand le maître enfin se retire,

    C’est le désert du grand dortoir ;

    ~~

    La lueur des lampes y tremble

    Sur les linceuls des lits de fer ;

    Le sifflet des dormeurs ressemble

    Au vent sur les tombes, l’hiver.

    ~~

    Pendant que les autres sommeillent,

    Faits au coucher de la prison,

    Ils pensent au dimanche, ils veillent

    Pour se rappeler la maison ;

    ~~

    Ils songent qu’ils dormaient naguères

    Douillettement ensevelis

    Dans les berceaux, et que les mères

    Les prenaient parfois dans leurs lits.

    ~~

    Ô mères, coupables->innocentes] absentes,~ ~ ~ ~ ~ ~~~~~~~ ~~~~ ~ ~~~ ~ ~~ ~~ ~ ~~ ~~ ~~ ~ *innocentes

    Qu’alors vous leur paraissez loin !

    A ces créatures naissantes

    Il manque un indicible soin ;

    ~~

    On leur a donné les chemises,

    Les couvertures qu’il leur faut :

    D’autres que vous les leur ont mises,

    Elles ne leur tiennent pas chaud.

    ~~

    Mais, tout [ingrates->avenantes] que vous êtes, ~~ ~~ ~~~ ~ ~ ~~ ~~ ~~ ~ *avenantes

    Ils ne peuvent vous oublier,

    Et cachent leurs petites têtes,

    En sanglotant, sous l’oreiller.

    ~~

    ~~

    ***René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) ***

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    ~~

    N.B. Selon le contexte et la sensibilité de chacun, un poème peut être revu et corrigé. C’est ce que j’ai fait en remplaçant les mots « [coupables->innocentes] » par «  »*innoncentes » » et « [ingrates » par «  »*avenantes » ».

    ~~

  6. Salam

    Une spiritualité, dans ce qu’on en fait et sous l’angle par laquelle on la regarde, comme l’éducation islamique, qui ressemblent de plus en plus aux communautés qui ont précédés

    Salam

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