L’éthique islamique qui devait orienter s’est mutilée en une éthique réduite aux disputes sur les limites du halal et du haram, conduisant les musulmans vers la « tentation minoritaire », en Occident comme dans le monde.
Or, il faut revenir à la source : penser sa présence dans et à partir des références musulmanes. La shahada, c’est porter la foi en Dieu et Son Messager. La shari’a, c’est suivre le chemin de la fidélité, la Voie. Accomplir son devoir de résistance, c’est reprendre possession de son coeur, construire son ntelligence et s’engager à promouvoir des projets alternatifs. En termes d’exigence, de don et de réforme. pour soi et pour autrui, et dans tous les domaines de la vie.
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l’Ethique musulmane a été scrupulusement bien
mise en marge de la modernité depuis l’histoire récente et a été innondée et noyée par le tant flamboyant progrès de cette modernité pour le laisser
figé et ainsi neutralisé dans son emballage d’origine .
Evoquant et pretextant et agitant quelques stigmates comme quoi qu’il est incompatible, voir en contradiction ,avec les thèses de la modernité.
Et maintenant que l’Islam tente de reprendre sa part au débat sur les scènes médiatiques multiples, On l’étiquette d’Islamisme, d’extremiste , de fondamentaliste, ou pour etre gentil d’islamiste modéré.
Aujourd’hui l’Islam est en train de reprendre ,tout légitimement ,sa place qu’on lui a occulté , sur les débats du « modernisme existentialiste » Car A propos de la modernité, l’Islam a encore beaucoup à dire ….et à faire ….
Que dire d’un homme moderne qui n’a plus aucune foi,
il est réduit à la matérialité de lui meme
d’un etre fini qui se matérialise comme un fer inerte , oxydable avec le temps
Les valeurs humaines dans la spiritualité elles, sont inoxydables et invariables dans le temps.
Et à qui sert cette matérialité de l’homme?