Ce discours serait la réponse du Chef Seattle en 1854 au gouvernement américain qui lui proposait d’abandonner sa terre aux blancs et promettait une réserve pour le peuple indien.
Ce texte serait un faux… à méditer tout de même
« Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d’acheter notre terre.
Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu’il n’a pas grand besoin de notre amitié en retour.
Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu’il n’a pas grand besoin de notre amitié en retour.
Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l’homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre.
Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
Si nous ne sommes pas propriétaires de la fraîcheur de l’air, ni du miroitement de l’eau, comment pouvez-vous nous l’acheter ?
Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l’homme rouge.
Les morts des hommes blancs, lorsqu’ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n’oublient jamais la beauté de cette terre, car elle est la mère de l’homme rouge ; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.
Les fleurs parfumées sont nos sœurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères ; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l’homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.
Ainsi, lorsqu’il nous demande d’acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous.
Le Grand Chef nous a assuré qu’il nous en réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu’il serait notre père, et nous ses enfants.
Nous allons donc considérer votre offre d’acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre, pour nous, est sacrée.
L’eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n’est pas de l’eau seulement ; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir qu’elle est sacrée, et vous devrez l’enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l’eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
Les fleuves sont nos frères ; ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont nos frères et les vôtres, et l’enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.
L’homme rouge a toujours reculé devant l’homme blanc, comme la brume des montagnes s’enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte ; ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui, un lopin de terre en vaut un autre, car il est l’étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. Le sol n’est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l’a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s’en soucie pas.
Vous devez enseigner à vos enfants que la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu’ils la respectent, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous le savons : la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. Nous le savons : toutes choses sont liées comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses sont liées.
Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de tissu. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui-même.
Mais nous allons considérer votre offre d’aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l’écart et en paix. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte ; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leur corps de nourritures douces et de boissons fortes. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun des enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes ; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d’un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d’espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d’hommes, pas davantage. Les hommes viennent et s’en vont, comme les vagues de la mer.
Même l’homme blanc, dont le Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout ; nous verrons. Mais nous savons une chose que l’homme blanc découvrira peut-être un jour : notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd’hui que vous le possédez comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l’homme rouge et pour l’homme blanc.
La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets.
Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance du Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l’homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère ; nous ne comprenons pas lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l’odeur d’hommes nombreux, l’aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.
Où est le fourré ? Disparu. Où est l’aigle ? Il n’est plus. Qu’est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C’est finir de vivre et se mettre à survivre.
Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d’acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là, peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l’ombre d’un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du cœur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l’avons aimée. Prenez soin d’elle comme nous en avons pris soins.
Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu’il est au moment où vous le prenez. Et de toute votre force, de toute votre pensée, de tout votre cœur, préservez-le pour vos enfants et aimez-le comme Dieu vous aime tous.
Nous savons une chose : notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L’homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères, nous verrons. »
Salam,au-dela de ces longs discours sur ce racisme qui est autant présent chez les blanc ,que chez les non blancs,n’en déplaise à ceux qui parce qu’ils ont la peau d’une autre couleur que blanche,se pensent moins capable de racisme,d’ailleurs chez certains la réaction au racisme qui leur est fait ,dévoile une atitude clairment raciste de leur par,il réagisse par les mèmes attitude.
Mais de cela,pas grand chose n’est dite,de la part des grand résistant au racisme,à part au détour d’une réponse dans une émission, la reconaissance d’une potentialité d’un racisme anti blanc par exemple.Mais la réalité c’est qu’il y a plus qu’une potentialité,et la réponse en dis long sur la fçaon de traiter les sujets.
On pourrait aussi penser, à ceux que l’on appel les convertis,éternellement convertis,peut-etre demain il y aura les enfants des convertis.
IL ya les enfants éternellement issue de l’immigration,il y a aura surment les enfants éternelmment issue de la convertion.
Il faudra se poser un jour la question de ces inovations dans la parole concernant ce terme de converti,qui reflètent quand mème un apsect profondement pervers dans la façon de considerer les musulmans entre eux.
La aussi entre musulmans,la notion de racisme devra un jour etre poser.
Des atitude entre musulmans,frère et soeur en dieu dit-on,n’est ce pas?bien sur ,bien sur comme dirait quelque’un
Il faudra s’interroger de ces justification de prouver son islam, entre nous ,ou au detour d’un mariage,ou bien plus grave,pour un voyage à la maison d’Allah,pour le pelrinage,prouver quand on est blanc,ou plutot d’une certaines blancheur(et kan le nom n’est pas très arabe),que l’on est bien mouslim,pour pouvoir entrer sur le territoire sacré de l’islam,alors que ceux qui en ont la garde font entré eux des armées,qui font verser le sang d’etre humains,dont beaucoup sont musulmans(en irak par exemple).mais bon on dira tout sur le politique,et pas grand chose sur e religieux,ces discrimnations notoire que l’ont fait à ces mouslim et mouslimat qui veulent faire le hajj.
Allah’ar raquib)sera demander des comptes aux auteurs de ces discriminations,comme a ceux qui se taisent sur ces sujets.
Tou comme il sera demandr des compte à ces parents,qui par racisme,répandent le fassad sur terre,ainsi qu’a ceux qui font silence sur cela,mais peut-etre y a t-il des fassad,plus important à traiter,n’est ce pas?bien sur ,bien sur.. comme dirait quelqu’un, à l’époque des prioritéé islamique.
Car chez certains réformiste musulmans,on ne parle pas de la responsabilité des parents,et surtout on ne portent pas de jugement sur les parents,drole d’abolue tout de mème,pour des etres humains,peut-etre particulier,mais etre humains comme les autres.
De mème que l’on ne parlera pas des enfants,ou plutot on dirait,leur pleine responsabilité, le constant devoir de respect vis à vis des parents,un vieux shéma,tout cela,et pas grand chose ne change,on parle pas trop devant ces parents,c’est mieux,on s’auto-censure,c’est plus repecteux,pas étonnant que beaucoup aille voir ailleurs,et pas étonnant non plus que beaucoup des acteurs musulmans ne comprennent rien,et soit complètement largués,quand au lien parents enfants dans les sociètés modernes,comme on dit.
A moins que le discours sur la réfome de l’islam n’est pas ce sujet dans son agenda ,réforme radicale disait-il?bien sur ,bien sur….comme dirait quelqu’un.
Aujourd’hui,c’est plus tendance de parler des injustices subies par les femmes,que celles subies par les enfants,mais le silence sur ce que subissent les enfants en dehors des usines nike et adidas,parce que la il faut en parler,c’est tendance aussi,manifeste aussi un certains sens des priorité,bien préocupants.
Beaucoup de silence donc,en cette période,de grand discours sur la liberté d’expression.
Et tout cela,trouve peut-etre,sa source dans un autre silence,celui que l’on a sur Dieu.
Dans ce texte, il et dit:Notre dieu est le mème que le votre.Certes mais aujourd’hui, ce qui est clair c’est que si il y a un sujet,quasi inexistant,dans la communuaté musulmane,en occident et particulièrment en europe et en france ,c’est celui de dieu,de son etre des ses noms, de ses attribut,de ces actes de son rapport a sa création,ce qu’il veut veux ,ce qu’il attend,bref l’essence de l’islam,et toute les questions que chacun se posent,de faon plus ou moins profonde;selon,le dégré du rapprochemment
àavec son éducatuer,le seigneur des mondes,le dieu des gens, des humains(ilahi nass).
Mème à travers la vie du prophète,la connaissance de dieu n’est rarement voir jamais aborder, on dira tout sur la violence,l’amour,la mosquée,mais pa grand chose sur Allah.
Comment après cela etre étonner,que des gens préferent des etres créés,aux créateurs,quand on leur parle de dieu que pour l’exigence que l’on a vis à vis de lui,et non pour le sens et le profit que l’on tire pour notre etre et notre vie(nos vies ,plutot).
Nous sommes bien loin du discours d’Allah sur lui,mème de celui des mesagers,et de son dernier prophète.
Combien de conférences,sur la siritualité dans nos vie,sur la gestion des foyer,sur l’éducation des enfants,sur la vie de tel et tel savants(quoi que c’est toujours les mème qui reviennent)mais très rarement sur Allah,lui mème.
ON peut critiquer la façon dont certaines tendances,parlent de l’islam;d’Allah,de ces noms …et c’est vrai que leur méthode,ne sont pas celles que l’on trouve du coran et de la sunna,mais au moins ils en parlent,pendant que nous faisons silence.
Allahou Alam,wallahou Mousta ane
SalaM
Il fut un temps où je m’abreuvais des phrases emplies de sagesse des Amérindiens…si proches de la Nature-Création. Je cherchais à travers ces lectures et par l’observation du merveilleux de la nature que Dieu nous a offert, un moyen d’harmoniser mon être intérieur avec le monde qui m’entourait…Je ne savais pas alors, à l’époque, que mes méditations et mon sentiment profond d’être en paix en étant proche de la Nature, allait me mener sur le chemin de l’islam…qui n’est autre que le retour à soi, au sentiment inné du divin ancré en chaque homme et en chaque femme…
Par Ses signes…le balancement des branches d’un arbre, l’ornement du ciel avec des étoiles, les montagnes robustes, se tenant debout…Il a choisi de guider des coeurs…Je Le remercie chaque jour pour cela…
Votre soeur Magalie-Ihsane
esalem ralikoum, Bismillah el Rahman el Rahim,
Je m’appelle djabbar et j’habite à martigues près de marseille, je commenceré par remercier Mr Tarik Ramadan pour le bien qu’il me procure ainsi qu’à mes frères et soeurs, ensuite j’espère vrément qu’un jour incha ALLAH vous pourrez tenir une conférence dans ma petite ville qui aurait grand besoin de votre savoir et pour finir après avoir lu cette lettre adressée au grand chef de washington je ne peux exprimer ce que je ressens pour un peuple tel que le peuple indien ou amerindien, depuis tout petit je vois les films télévisés qui les traitent de sauvages et d’autres choses plus terribles, mais en grandissant j’ai compris et appris que les indiens sont un peuple fiers et respectueux de notre belle terre et par conséquent respectent en quelque sorte la création d’ALLAH SABHANAHOU YA TARALA. Ils sont également PACIFICS et tout cela mérite réflexion et méditation consernant le déroulement des choses et m’incite à prendre part contre les inégalités et ceux qui les provoques.
BARAK ALLAH FIKOUM
PS: Je vous laisse mon adresse mail en esperant que vous m’enverrais des news letter ou articles intéressants djabbar@hotmail;fr essalam ralikoum
salam
Quelle humilité pour ce peuple doux, plein d’humanisme et d’amour,,,le bien triomphe et triomphera toujours,,,
salam
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S p o l i a t i o n
L’histoire se répète.
Hier, le peuple indien aujourd’hui le peuple palestinien.
OLLAG
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USA – 09-03-2007
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[L’Apartheid s’est invité dans le New Jersey->http://www.ism-france.org/news/article.php?id=6400&type=temoignage&lesujet=Colonies]
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Par Saifedean Ammous
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C’était un dimanche matin froid à Teaneck, dans le New Jersey.
Environ deux cent Américains juifs entraient dans la synagogue Orthodoxe de la Congrégation B’nai Yeshurun où ils devaient entendre un boniment du Mouvement des Colons d’Amana visant à les convaincre d’acheter des maisons dans des colonies israéliennes illégales.
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L’Amérique, la terre qui a donné au monde la séparation entre l’église et l’état, accueille une vente où seuls les membres d’une religion peuvent acheter les propriétés.
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Et je suis un Palestinien qui a grandi à quelques centaines de mètres de certaines de ces colonies. Je ne peux pas acheter l’une de ces maisons et je n’ai même pas été admis dans la salle des ventes.
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Au sens littéral et figuré du terme, j’ai été laissé dans le froid. J’ai allumé une cigarette et je l’ai jetée immédiatement ; mais se voir refuser l’entrée n’est pas une expérience totalement nouvelle pour un Palestinien.
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Un groupe d’environ 50 pacifistes s’étaient réunis à l’extérieur pour protester contre la vente.
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Le rabbin Steven Pruzansky est sorti pour parler aux journalistes ; il ne semblait pas comprendre la polémique.
« Tout le monde peut acheter de la terre n’importe où. J’étais aux Bahamas et ils vendaient la terre ; en Floride, ils vendent la terre à n’importe qui, pourquoi ne pouvons-nous pas acheter de la terre en Israël ? »
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Quand un journaliste lui a mentionné qu’il s’agissait de colonies seulement pour les juifs, il a répondu qu’il priait de toutes ses forces pour la Paix et qu’il attendait le jour où les juifs et les Arabes pourraient vivre ensemble, mais qu’actuellement, cela était difficile en raison de la « situation de sécurité« .
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Il ne lui est pas venu à l’esprit que cette « situation de sécurité » était peut-être le résultat de ces colonies exclusives qui sont construites sur des terres volées aux Palestiniens.
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J’ai demandé à un homme d’âge moyen qui quittait la présentation ce qu’il en pensait. Il m’a dit qu’il irait certainement un jour s’installer en Israël. Je lui ai demandé s’il était au courant du statut juridique de ces colonies et il m’a répondu qu’il s’agissait de « terres non-revendiquées. »
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Je lui ai mentionné un récent rapport du groupe israélien Peace Now qui constate que 40% des colonies sont établies sur des terrains privés palestiniens qui ont été confisqués (par opposition aux autres 60% qui sont établies sur des terrains illégalement occupés.)
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« Peace Now et B’Tselem sont les deux organisations les plus anti-sémites au monde », m’a-t-il répondu.
« Peuvent-ils le prouver ? »
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Je lui ai expliqué que ce rapport était basé sur des documents de « l’Administration Civile » israélienne et que le gouvernement israélien n’avait jamais nié ces rapports, mais il n’en savait rien.
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Je lui ai demandé s’il avait pensé à interroger Amana au sujet de la légalité de la terre, mais il a répondu sur un ton dur : « Je ne veux pas leur demander. Je n’ai pas besoin de savoir.«
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L’un de mes souvenirs les plus frappants de ma vie sous l’Apartheid israélien s’est déroulé pendant l’été 1993, quand notre maison à Ramallah avait de l’eau seulement trois jours par semaine.
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Je me souviens d’être passé en voiture à côté de la colonie de Shilo (c’était le bon temps où nous pouvions encore nous déplacer en voiture entre les villes palestiniennes) et d’y avoir vu des tuyaux d’arrosage fonctionner à plein régime à l’extérieur de la colonie pour arroser les collines environnantes, donnant aux colons une vue un peu plus verte.
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Aujourd’hui, quelqu’un va acheter une maison à Shilo, et dans quelques années, un jour chaud d’été, il se réveillera avec ce magnifique paysage vert, alors que je me réveillerai en priant d’avoir assez d’eau pour la douche.
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Les colonies reçoivent à peu près 10 fois plus d’eau par habitant que les villes et les villages palestiniens. Alors que nous devons recourir à l’achat de plats en plastique pour réduire le nombre de vaisselles, [les colons passent leurs journées dans des piscines à apprécier les nombreux paysages verts que leurs systèmes d’arrosage permettent d’entretenir.->http://www.ism-france.org/news/article.php?id=6400&type=temoignage&lesujet=Colonies]
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Et aujourd’hui, ce colonialisme a pris des proportions absurdes. Après avoir aidé à transformer l’ensemble de la Cisjordanie en la plus grande constellation au monde de ghettos entourés par des murs et des colonies et des routes essentiellement racistes, Amana n’est toujours pas satisfait.
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Ils ne sont pas satisfaits du soutien économique et politique que le gouvernement américain fournit aux abus des droits de l’homme et du droit international du gouvernement israélien.
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Ils viennent soutirer de l’argent aux gens du New Jersey pour construire encore plus de colonies illégales exclusives, pour déposséder encore plus de Palestiniens et pour prendre encore plus d’eau à ma famille. Tout cela pour « Garder en vie le Rêve Sioniste » comme le dit la brochure d’Amana.
~~
Regarder la famille américaine avec le papa, la maman, et leurs trois enfants sortir avec enthousiasme de leur Ford SUV bleue pour aller à la vente me fait penser à toutes ces familles que je connais et dont la terre a été prise par Israël ; souvent déplacées et séparées de force.
Ces familles ne pourraient même pas acheter ces terres même si elles le voulaient.
~~
Dans « la seule démocratie du Moyen-Orient », les biens immobiliers sont exploités par des fantômes imaginaires sortis de livres datant de plus de 3.000 ans qui déplacent des familles de leurs maisons pour venir assister à une vente offrant aux Américains une seconde ou une troisième maison.
~~
Je me demande qu’est ce qui pousse cette belle famille à se réveiller un dimanche matin pour rejoindre un projet colonial au lieu d’aller se promener ; contribuant à son succès avec leur argent tout en ne sachant pas et en ne voulant pas connaître la réalité qui se cache derrière ce qu’ils font.
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Cela semble trop banal pour être vrai, mais un consommationisme qui choisit obstinément et sciemment de ne pas connaître les conséquences de ses achats aide à soutenir le dernier système d’Apartheid colonial au monde.
~~
Avant de venir ici, cette famille a sans doute eu à choisir entre venir rejoindre ce projet et aller au ski, faire du shopping ou rendre visite à la famille.
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Malheureusement pour mes perspectives futures, elle a décidé de s’associer à la demande d’Amana pour « Garder en Vie le Rêve Sioniste. »
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Source : [http://media.www.columbiaspectator.com/->http://media.www.columbiaspectator.com/media/storage/paper865/news/2007/03/05/Opinion/Apartheid.Comes.To.New.Jersey-2757435.shtml]
Traduction : MG pour ISM
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=> Photo :
[Une colonie israélienne bien verte avec en arrière-plan la Cisjordanie.->http://www.ism-france.org/news/article.php?id=6400&type=temoignage&lesujet=Colonies]
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Salam,
Je cherche refuge auprès d’Allah contre cheytan le maudit.
«212-On a enjolivé la vie présente à ceux qui ne croient pas, et ils se moquent de ceux qui croient. Mais les pieux seront au-dessus d’eux, au Jour de la Résurrection. Et Allah accorde Ses bienfaits à qui Il veut, sans compter.
213-Les gens formaient (à l’origine) une seule communauté (croyante). Puis, (après leurs divergences,) Allah envoya des prophètes comme annonciateurs et avertisseurs ; et Il fit descendre avec eux le Livre contenant la vérité, pour régler parmi les gens leurs divergences. Mais, ce sont ceux-là mêmes à qui il avait été apporté, qui se mirent à en disputer, après que les preuves leur furent venues, par esprit de rivalité ! Puis Allah, de par Sa Grâce, guida ceux qui crurent vers cette Vérité sur laquelle les autres disputaient. Et Allah guide qui Il veut vers le chemin droit. » Sourate Al baqara.
Un très beau texte
Une vision écologique enracinée dans le sacré
Bien au delà de la version light d’une écologie technicisée, apportant un mince bol d’air à une civilisation en crise
Cette beauté, cette sagesse, nous en sommes loin, pour longtemps encore…
Au delà dela fraicheur vivifiante de ce texte, il ya là une inspiration.
N’oublions pas… Le regard porté sur la nature, c’est aussi le regard porté sur le mystère et la beauté du vivant.
Un mystère quei renvoie au Créateur mais aussi, jour après jour, à notre responsabilité. Celle du regard, celle de l’action.
DISCOURS DE L’HOMME ROUGE
I
Ainsi, nous sommes qui nous sommes
dans le Mississippi. Et les reliques
d’hier nous échoient. Mais la couleur
du ciel a changé et la mer à l’Est a
changé. O maître des Blancs, seigneur
des chevaux, que requiers-tu de ceux
qui partent aux arbres de la nuit ?
Elevée est notre âme et sacrés sont
les pâturages. Et les étoiles sont
mots qui illuminent … Scrute-les, et
tu liras notre histoire entière : ici
nous naquîmes entre feu et eau, et
sous peu nous renaîtrons dans les
nuages au bord du littoral azuré. Ne
meurtris pas davantage l’herbe, elle
possède une âme qui défend en nous
l’âme de la terre. O seigneur des
chevaux, dresse ta monture qu’elle
dise à l’âme de la nature son regret
de ce que tu fis à nos arbres. Arbre
mon frère. Ils t’ont fait souffrir
tout comme moi. Ne demande pas
miséricorde pour le bûcheron de ma
mère et de la tienne.
(…)
III
Nos noms sont des arbres modelés dans
la parole du dieu et oiseaux qui
planent plus haut que les fusils. Ne
coupez pas les arbres du nom, vous qui
venez guerre de la mer. Et ne lancez
pas vos chevaux flammes sur les
plaines. Vous avez votre dieu, et
nous, le nôtre. Vos croyances, et
nous, les nôtres. N’ensevelissez pas
Dieu dans des livres qui vous ont fait
promesse d’une terre qui recouvre la
nôtre. Ne faîtes pas de Lui un
huissier à la porte du roi. Prenez les
roses de nos rêves pour voir ce que
nous voyons de joie ! Et sommeillez au
-dessus de l’ombre de nos saules, pour
vous envoler mouettes et mouettes,
ainsi que s’élancèrent nos pères
bienveillants avant de revenir paix et
paix. Il vous manquera, ô Blancs, le
souvenir de l’adieu à la Méditerranée
et vous manquera la solitude de
l’éternité dans une forêt qui ne
débouche point sur un abîme, et la
sagesse des brisures. Et il vous
manque une défaite dans les guerres.
Et un rocher récalcitrant au
déferlement du fleuve du temps véloce.
Et il vous manquera une heure pour une
quelconque contemplation, pour que
grandisse en vous un ciel nécessaire à
la tourbe, une heure pour hésiter
devant deux chemins. Euripide un jour
vous manquera, et les poèmes de Canaan
et des Babyloniens, et les chansons de
Salomon à Shulamit. Et vous manquera
le lys sauvage pour la nostalgie, et
vous manquera, ô Blancs, un souvenir
qui apprivoise les chevaux de la
démence et un cur qui racle les
rochers afin qu’ils taillent dans
l’appel des violons. Et il vous manque
et manque l’hésitation des armes. Et
s’il faut nous tuer, ne tuez point les
êtres qui avec nous d’amitié se
lièrent et ne tuez pas notre passé. Et
il vous manquera une trêve avec nos
fantômes dans les nuits stériles, un
soleil moins enflammé, une lune moins
pleine, pour que le crime apparaisse
moins fêté sur vos écrans. Alors
prenez tout votre temps pour la mise à
mort de Dieu.
(…)
VII
Il y a des morts qui sommeillent dans
des chambres que vous bâtirez. Des
morts qui visitent leur passé dans les
lieux que vous démolissez. Des morts
qui passent sur les ponts que vous
construirez. Et il y a des morts qui
éclairent la nuit des papillons, qui
arrivent à l’aube pour prendre le thé
avec vous, calmes tels que vos fusils
les abandonnèrent. Laissez donc, ô
invités du lieu, quelques sièges
libres pour les hôtes, qu’ils vous
donnent lecture des conditions de la
paix avec les défunts.
1992
(…)
Mahmoud Darwich
« L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de tissu. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui-même. » Voila une phrase qui sera très célèbre. Insh-Allah.
Salam mes frères, mes soeurs et mon cher professeur,
Chaque Homme a sa fin.
Chaque puissance a sa faiblesse.
Chaque maturité a son déclin.
« Ainsi faisons-Nous alterner les jours (bons et mauvais) parmi les gens » Sourate 3 : La famille d’Imran (Al-Imran) verset : 140.
Le grand chef Seattle a-t-il trouvé la vérité ?
Le grand chef Seattle a-t-il trouvé la vérité après son adieu ?
Qui fait l’un et l’autre, l’identité qui fait l’homme ou l’homme qui fait son identité ?
L’identité est-elle fixe ou variable ?
L’identité est-elle plurale ou unique ?
L’homme est-il libre de se déplacer là où il veut et quand il veut ?
L’homme aire pour se nourrir de savoirs ?
L’homme aire pour accumuler de l’argent ?
L’homme aire pour chercher la puissance ?
L’homme aire pour maintenir et consolider la puissance ?
La terre est pour l’Homme ?
La terre est pour lequel des hommes ?
La terre est pour celui qui l’aime ?
La terre est pour celui qui la déteste ?
Savez-vous vivre sur la terre ?
Que cherchez-vous de la terre ?
Qui êtes-vous : un petit, un moyen ou un grand chef ?
Que voulez-vous devenir : un super, un hyper ou un extra grand chef ? Et pourquoi ?
Que présente pour vous la terre ?
Vous êtes pour la cohabitation dans la différence avec de la liberté responsable ?
Vous êtes pour la cohabitation dans la différence avec de la liberté anarchique ?
Où êtes-vous ? Sur toute la terre où sur un point de la terre ?
Nous sommes frères car nous nous ressemblons physiquement ?
Nous sommes frères car nous habitons sur la terre ?
Nous sommes frères car nous habitons sur le même point de la terre ?
Nous sommes frères car nous avons la même identité ?
Nous sommes frères car nous sommes tous des hommes ?
Nous ne sommes pas des frères car nous n’avons pas la même puissance ?
Voulez-vous trouver la vérité où vous la connaissez déjà ?
Si vous la connaissez, qu’allez-vous métamorphoser ?
Vous ne voulez pas la trouver ? Pourquoi ?
Vous êtes venu de rien ou voulez vous garder la puissance ?
L’Homme est étrange !
Est-ce la raison qui le rend étrange ?
Est-ce la terre qui le rend étrange ?
…joli votre texte et vos questionnements…
~
…à chacun d’essayer d’y répondre…
~
…pour moi, il n’y pas une vérité…
…il y en a de multiples suivant…
qui je suis,
où je vis
et d’où je parle…
Le texte est peut être faux mais il est d’une grande sagesse.
Il est peut être faux mais nous montre que l’histoire continu.
Il est peut être faux mais l’Homme Blanc après, avoir pris la terre des indiens, continue à prendre la terre des autres non-blancs et à piller leur terre et leurs richesses.
Il est peut être faux mais l’homme blanc continue à créer des réserves sur son propre territoire (les banlieues) et sur les territoires des non-blancs.
Il est peut être faux mais les blancs continuent à exterminer d’autres peuples dans d’autres terres et d’autres continents.
Le textes est peut être faux mais l’histoire de l’extermination des indiens a été une réalité et l’extermination des non-blancs de nos jours est bien réel. On ne peut pas toujours habiller la réalité par des discours.
je remet ce texte dans son contexte, à lepoque on parlais d homme blanc et de peau rouge
mais aujourd hui et surtout avec le savoir que nous procure l islam, on doit de placer au desssus de ca. Il y a aujourd hui enormement de blanc qui aime dieu et son prophete bien aimée , et ceci doit nous rappeller à l ordre.
si notre ennemi est le diable il peut prendre plusieurs couleurs, parfois meme il s imisse dans notre ego. DIEU protege moi de mon ego et du demon la lapidé.
Gloire à Dieu le seigneur des mondes.
Salam aleykum!
Qui triste est!
Je crois que toutes les personnes qui admirent la Sagesse et la Création d’Allah, se sentent comme cet Indien.
Qu’Alah lui pardonne.
Dans sa manière, naturel cet homme rouge queriendo avec respect les messieurs d’Allah, aime Allah.
Merci M. Ramadan merci C’est tout ce que j’ai à penser ce-soir merci M. RAMADAN TARIQ MERCI
M. Banu,
Bref, on leur a infligé un génocide et un ethnocide systématiques qui se poursuivent de nos jours car, malgré un rapport de force totalement déséquilibré en faveur des Blancs, les Indiens ou, du moins, ceux qui n’ont pas été massacrés, ont su résister et continuent de faire de la résistance, au fond de leur camping que l’homme blanc a eu la gentillesse de leur laisser. « Faisant un léger rapprochement avec les réfugiés palestiniens et toutes les minorités opprimées dans ce bas monde.
Bonjour. Je trouve ce texte très émouvant et plein de vérité. Nous sommes des êtres humains sur cette terre et nous devons y vivre ensemble malgré quelques récalcitrants qui veulent l’oxygène que pour eux tout seul. Nous avons tous un rôle à jouer sur terre d’abord la préserver et c’est les écologistes que l’on n’écoutent très peu qui ont pris le sujet le plus important de la planète puisqu’il s’agit de son futur. Et les politiciens ni la droite ni la gauche, ni les républicains ni les démocrates ne changeront le sort de l’humanité une fois que la planète terre n’existera plus. Il faut prendre au sérieux les risques du réchauffement de la planète de la pollution, du déboisement, de la couche d’ozone…etc Parce qu’une fois que la terre sera vraiment en danger à quoi bon la politique et tous les racistes qui veulent vivre en xénophobie tout seul entre blanc de souche ou pas souche. Il faut d’abord avant de faire de la politique aimer son prochain et s’unir main dans la main pour un avenir meilleur sur la terre et le pays où l’on se trouve. Quand les politiciens auront compris cela ont pourra se comprendre et faire un avenir pour son pays d’adoption qui devient notre mère et qu’il est cruel de faire du favoritisme entre tout ses enfants. Nous sommes Français et nous sommmes des terriens et nous auront notre mot à dire malgré les censures pour les salles et les émisssions télévisés. Chaque indidvidu sur terre a un rôle a jouer et on ne doit pas faire de discrimination entre les races et les religions. Et je pense que de droite ou de gauche on doit d’abord être humanitaire et écologue, sociologue, sanitaire, économe, progressiste dans le bon sens. Penser aux jeunes défavorisés de les encadrer de structures sociales, culturelles et sportives. Pensez aussi aux jeunes qui ont réussit à être des cadres supérieurs et à cause de la couleur de peau ou de religion se retrouvent sur la touche, je pense qu’il y de quoi faire un coup de boule et avoir les boules. Mais métaphoriquement le coup de boule s’impose. Merçi pour ce texte, peut être fera t-il réfléchir je l’espère des têtes pensantes positives qui ne voient pas le mal partout mais qui cherchent le bien en chacun des hommes, qui cherchent le bien en chacune des femmes et qui cherchent le bien en chacun des enfants. A bientôt.
Comme c’est si beau Mon Dieu.
Que puis-je ajouter !
Mes larmes sont restées suspendues dans yeux, elles ne veulent ni couler ni se sécher.
Que puis-je dire ! Et tout est dit,
Que puis-je faire ! Et rien n’est fait.
Que puis-je ajouter au parfait, à la beauté, …à la terre.
il ya peu de choses a dire…
il est clair neanmoins que le rapport a la sacralite n est pas du tout le meme et c’est le moins qu ‘on puisse dire…s’il avait pu savoir la suite de l’histoire ce brave chef seattle…
Le problème est que le système occidental ou bourgeois est axé sur la sacralisation de la propriété privée… Mortel, je suis et j’oublie mais, Dieu tout Puissant, je Vous en conjure n’oubliez pas ce qui m’a fait être : l’avoir, et la position sociale. 😉 Salam Il y a encore du travail !
Merci Tariq pour ce texte
J’aime l’Amerindien et sa Sagessse, le Tsigane et son souffle de liberté
je reproduis ce texte pour mon blog
http://eva-communion-civilisations.over-blog.com
as-tu vu « selon que vous serez BH Lévy ou Tariq Ramadan » sur
http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-22303449.html ?
Cordialement Eva
As-tu des textes à « m’offrir » pour le blog communion des civilisations ? (Il accueille tout ce qui rapproche)
ou sur la désinformation