L’amour du Prophète (PBSL)

Cette conférence a eu lieu à Avion le 21 mars 2010



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17 تعليقات

    • salam ou haleikoum,

      je crois que le frère tarik ne peux pas se couper en plusieurs morceaux 🙂

      salam ou haleikoum

    • Salëmou Alaikoum,
      Chere soeur, chèr frère Est ce que l’image est si importante ? Est ce que la présence physique est si importante ? Est ce qu’il y avait l’image à l’époque du Prophète (PBSL) ? Est ce que notre Prophète (PBSL) est parmi nous aujourd’hui. Est ce qu’il nous a fallu tous ces moyens « moderne » pour apprendre tous ce que nous avons apprit et tous ce que nous continuerons à apprendre Bi Ithni ALLAH de notre belle religion et notre bel enseignement prophétique ?
      Le plus important, je crois, c’est notre volonté et notre envie d’apprendre et de savoir …
      Wa Allahou A3lamou
      Salëmou Alaikoum

    • Salam 3alaikoum,

      Je demande l’image parceque les gestes et les attitudes complétent la parole. Tariq fait parti de ceux qui ont une posture et un visage très expressifs. En plus de cela, je considère que de nos jours l’image n’est pas une technique si moderne que cela (cf les frères lumières). Et vous me concéderez que c’est bien plus confortable avec!

      Quand au travail de médititation de réfléxion et d’approfondissement, je vous laisse l’image, le son etc.

      Salam 3alaikoum

  1. El Salëmou Alïkom

    Choukrän Zäzilä el Choukr Aouha Al Akou Al Karim WA Bäraka Allahou Fikä Wa Fi Ahlikä Wa 7mi3 El Mouäminati Wal Mouäminin.

    Que Dieu te garde, te protège et t’aide dans toutes vos entreprises.

    El Salëmou Alïkom Wa Rahmatou Allahi Taäla Wa Barakätouhou

  2. Salam’aleykoum, je ne vois pas le mal de demandé l’image au contraire c’est encore mieux est plus bénéfique pour celui qui veut apprendre. Le film Risala que je sache il l’on pas fait en audio mais avec des images pour que le spectateur comprend et ressent mieux le contexte. salam ‘aleykoum

  3. Je ne trouve pas les mots ce soir pour dire à quel point je suis touchée par autant de générosité et d’amour…

    Qu’Allah vous accompagne à chaque instant, ainsi que votre épouse et vos enfants.

  4. salam mon cher j’ai lu cet article sur le site contre-feux.com

    Nasreen et Fourest « Libres de le dire » sans langue de bois

    Ces « conversations mécréantes autour de la religion, de l’intégrisme, des femmes et de la liberté d’expression » annoncées en bandeau doivent être lues par tous ceux, idiots utiles ou militants de gauche, traqueurs d’ « islamophobes », que tout méfait relatif à l’islam voue au silence ou à la langue de bois.

    Des deux féministes, la plus intransigeante est comme toujours celle qui a grandi dans la culture incriminée. Taslima Nasreen, née au Bangladesh d’un père éclairé et d’une mère attachée à ce « refuge » que constituait pour elle sa religion, ne comprend pas la complaisance européenne envers ce qui, affirme-t-elle, l’a révoltée « dès 5-6 ans »: l’obligation d’apprendre l’arabe à seule fin de réciter des versets (cités et répertoriés dans l’essai) dont la teneur misogyne lui fut immédiatement insupportable.

    Interdiction de poser des questions sur le Coran

    -Si le Coran avait été révélé comme un message de paix, comment se faisait-il que Mahomet ait commandé de tuer toute une tribu juive ? Pourquoi la survenue de mes règles allait-elle me rendre « impure » « comme un chien », contrainte de me cacher ?

    Des questions, parmi d’autres, qui valurent à la petite Taslima des coups (« On ne pose pas de questions sur le Coran! »), puis, plus tard, des menaces de mort, la manifestation de centaines de milliers de grévistes exigeant la pendaison de « la pute » (terme si systématiquement employé lorsqu’une femme se libère du patriarcat qu’il en devient, note Caroline Fourest, « un titre de gloire »)… Elles lui valurent même, de son lointain exil, la douleur de savoir refusée à sa mère, pourtant religieuse, une cérémonie de funérailles.

    Islamophobie, « mot – piège »

    La franchise de l’exilée ne s’encombre pas des précautions d’usage en Europe

    La franchise de l’exilée ne s’encombre pas des précautions d’usage en Europe, propres à épargner à qui se permet une critique du dogme le qualificatif d’ « islamophobe » : « un mot, selon Caroline Fourest (certainement blessée de l’avoir entendu à son propos), qui crée une confusion terrible. (…) Un véritable piège (…) qui sert aussi bien à faire passer des laïques pour des racistes que des esprits libres de culture musulmane pour des traîtres ».

    « Islamophobie », « jeu de la droite », « racisme »: il faut pourtant se confronter à ces mots clés, si habiles à culpabiliser qu’ils sont parvenus à museler la gauche, laissant à une extrême droite moins complexée l’exclusivité de la critique et le gain en électeurs qui en découle.

    Y avoir baigné pour mieux le rejeter

    Taslima Nasreen, qui fut avec Rushdie la première à subir l’étiquette, n’en paraît pas impressionnée. Qu’on l’appelle comme on veut ne lui fera pas ménager sa cible, décrite en quelques mots : « Lorsque des juifs, des bouddhistes, des chrétiens ou des hindous me critiquent, ils ne mettent pas ma tête à prix. C’est toute la différence. »

    Quand son interlocutrice concède à Mahomet d’avoir « modéré certaines pratiques contre les femmes », elle dément : « Les femmes avaient plus de droits dans l’histoire préislamique ! » De quoi dérouter notre modératrice.

    Caroline Fourest aimerait tant que les intégrismes se valent ! Quel poids en moins pour cette ennemie des discriminations, qu’on sent presque gênée de devoir admettre que ce qu’elle a vécu chez les sœurs, avec baillements à la messe, ne soutient pas la comparaison…

    Le salut par les apostats ?

    Un souci de diplomatie compréhensible, quand l’impossible éradication ne laisse d’espoir qu’en un dogme allégé. Mais par quel moyen, l’alléger ? Que faire de ces versets ne laissant guère de place à l’interprétation ? Des coupes offenseraient son Auteur, et surtout ses chatouilleuses ouailles. Sommes-nous donc condamnés à l’hypocrisie qui consiste à jouer d’une prétendue différence – niée par T. Nasreen et par ses sœurs en rébellion – entre le dogme et le fondamentalisme ?

    Le salut viendra-t-il de ces rebelles à leur culture d’origine, étrangères aux calculs, aux faux-semblants et même à l’honorable crainte de stigmatiser, quand leur liberté et celle d’une bonne moitié de la Terre dépend de leur combat ?

    Libres de le dire est publié chez Flammarion

    • Ce texte est intéressant. Je suis allée sur le site en question pour relire cet article et savoir qui l’a écrit. Il s’agit de Julie de Pardailhan (apparemment journaliste – Nouvel Obs – Courrier inter …)

      Cher frère, en postant cet article sur le site de M. Ramadan, vous attendiez je suppose une réaction de sa part. Je vous invite à consulter son agenda, vous comprendrez.
      Simplement, osons espérer qu’un jour, in sha Allah, ses opposants puissent se libérer de leurs certitudes et entendre enfin sa réponse. M. Ramadan ne cesse de répondre à ce type d’accusation. Mais encore faut il savoir écouter les réponses qui sont données.

      Je n’ai pas la prétention de savoir, non, je ne sais pas ou si peu, je ressens un amour sincère et profond pour Allah (swa) et son prophète (sws), et j’essais chaque jour de comprendre cet amour, en lisant… beaucoup… le coran mais pas uniquement, en priant … avec le cœur mais pas uniquement. Non, je n’ai pas la prétention de savoir, mais je préfère m’exprimer, sur ce que je ressens avec mon humble intelligence et mon cœur, face à ces accusations plutôt que me taire et subir une fois encore ces agressions.

      Alors voilà en toute humilité, ce que je pense de cet article.

      Tout d’abord, je pense qu’il n’est pas interdit de se poser des questions sur le CORAN. Honnêtement, qui n’a jamais connu le doute ? Les réponses concernant le Coran sont dans ses sourates et ses versets. Les savants sont là pour nous aider à accéder à la compréhension des textes coraniques et à la lumière, à répondre à nos questions et nous aider à nous améliorer in sha Allah. Ils ne sont pas juges mais conseils. C’est mon humble avis.

      Retour à l’article. Je pense qu’il est important d’apprendre l’Arabe car c’est la langue du Coran et de préférence dès le plus jeune âge. L’apprentissage de la langue Arabe met le croyant en relation directe avec Allah (swa). Je pense que les traductions sont parfois imprécises, et assurément ne permettent pas d’accéder à la beauté originelle des textes. La notion de responsabilité face au savoir est importante en islam. Il est un devoir pour le musulman d’aller vers le savoir, vers la connaissance, y compris la connaissance scientifique. Tout en gardant à l’esprit ce que nous dit Rabelais « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » (nous parlons ici de conscience morale). L’imposition de « la langue arabe à partir de l’âge de 5/6 ans » ne me choque pas, il ne s’agit pas d’une imposition dans le sens d’imposer contre le gré de la personne mais d’éduquer nos enfants dans le respect des valeurs qui sont les nôtres et des principes islamiques à travers sa langue. Je ne comprends pas bien ce qui dérange ?

      On nous parle dans cet article de mysogisme dans le coran. Encore une fois, la recherche du savoir est une recommandation divine. Le savoir permet la compréhension de ce que nous sommes et de ce qui nous entoure, et plus précisément pour revenir au sujet qui nous intéresse et à cet article de Julie de Pardailhan, de lutter contre les maux de notre société, le racisme, les différentes formes de discriminations et notamment les discriminations et violences faites aux femmes. L’Islam reconnait en effet l’égalité des droits universels entre les hommes et les femmes. Est-ce si terrible de dire que les hommes et les femmes sont EGAUX mais DIFFERENTS. J’ajouterai que l’Islam ne promeut pas la violence à l’égard des femmes, c’est encore une perception erronée de notre belle religion, dont à mon humble avis, nous musulmans sommes responsables.

      Plus généralement , je pense que l’Islam véhicule un message de paix mais pas à n’importe quel prix, pas au prix de l’injustice. Si « Mahomet a commandé de tuer une tribu juive » (aucune référence coranique n’est précisée dans l’article de Julie de Pardailhan), ce message doit être nécessairement remis dans son contexte.

      Revenons à l’article. On ne peut pas dire, d’après moi, tout et n’importe quoi au nom de la liberté d’expression. La preuve en est par exemple que les propos racistes sont condamnés par la loi. Mais je pense, et vraiment cela n’engage que moi, que les réactions excessives face à certains propos de Taslima Nasreen sont des anomalies liées à une lecture non fidèle des textes islamiques. Le sujet est tellement sensible pour les croyants. Ils répondent parfois à la violence par la violence. Récemment, l’un d’entre vous m’a rappelé à juste titre que l’Islam c’est aussi « répondre à l’injustice par la justice ». Les savants connaissent les faiblesses de notre communauté et nous accompagnent afin de nous améliorer in sha Allah.

      On nous parle également dans cet article de l’Islamophobie, qui est je cite « Un véritable piège (…) qui sert aussi bien à faire passer des laïques pour des racistes que des esprits libres de culture musulmane pour des traîtres ». « Islamophobie », « jeu de la droite », « racisme »: il faut pourtant se confronter à ces mots clés, si habiles à culpabiliser qu’ils sont parvenus à museler la gauche, laissant à une extrême droite moins complexée l’exclusivité de la critique et le gain en électeurs qui en découle ».

      Je suis d’accord sur le fait que tout ceci profite à l’extrême droite mais à qui la faute ?

      Les faux débats et faux prétextes (burqa – identité nationale) lancés par le gouvernement français, les procès d’intention, les amalgames, le mélange des genres entre ce qui relève du social, politique, religieux par des dirigeants incapables de résoudre les vrais problèmes (qui sont SOCIAUX), et dont l’emprise sur les médias n’a jamais été aussi forte, tout cela participe, à mon sens, au développement du phénomène.

      La montée de l’Islamophobie résulte à mon humble avis de l’ethnocentrisme dont fait preuve les dirigeants français face à leur diversité. Incapable d’intégrer socialement leur diversité, ils s’orientent vers une politique d’imposition de leur culture « dominante » à celle de leurs « minorités visibles » pour un peu plus encore les stigmatiser. Il y a dans les discours des dirigeants et de certains médias l’expression franche d’une volonté d’aller vers l’assimilation de cette diversité, de négation de cette diversité dans ses valeurs. Ceci n’est pas acceptable, ceci n’est pas respectueux de ce que nous sommes : citoyens français de confession musulmane. Et c’est en cela que la France risque de se trahir (pour reprendre l’expression de M. Ramadan). Des réponses sociales doivent être proposées pour répondre à des problèmes sociaux (le chômage particulièrement important dans notre communauté, la discrimination à l’emploi, la délinquance…), c’est vraiment un procès injuste que l’on fait à notre communauté, vraiment, sans sombrer dans la victimisation (que je refuse personnellement).

      On nous parle sans cesse de laicité mais qui déroge aujourd’hui à la loi de 1905 ? C’est à mon humble avis l’état Français en intervenant sur le terrain religieux. Ce n’est pas la communauté musulmane, qui selon les textes Islamiques doit se soumettre aux autorités du pays dans lequel elle se trouve, dans lequel elle vit, de respecter ses valeurs, les valeurs de la république. La communauté musulmane est citoyenne. Et ce n’est pas une nouveauté, il n’y a aucun antagonisme entre l’Islam et la république. Aucun antagonisme entre le fait de respecter les lois de la république et notre religion ou alors que l’on me prouve le contraire.

      Julie de Pardailhan nous dit également : « Le salut viendra-t-il de ces rebelles à leur culture d’origine, étrangères aux calculs, aux faux-semblants et même à l’honorable crainte de stigmatiser, quand leur liberté et celle d’une bonne moitié de la Terre dépend de leur combat ? »

      Je ne partage pas cet avis et vous renvois à l’appel de M. Ramadan aux musulmans et à leurs concitoyens du 28 septembre 2006 :

      http://tariqramadan.com/?p=738

      Je voudrai juste ajouter que l’Islam n’est pas la religion de la peur, de la bêtise, de la faiblesse intellectuelle. L’islam est la religion de l’intelligence, de l’amour, de la tolérance, du respect, de l’humilité et de la dignité.
      Le savoir, par un retour aux textes sacrés nous libérera de nos doutes et de nos peurs in sha Allah.

      Je poste ce message sur le site de Julie de Pardailhan et de contrefeu.com. juste après la salat Maghreb in sha Allah.

      Salam à mes frères et sœurs.

      Samira de Lille

  5. Salam chers frères et chères soeurs,
    Le débat est ouvert sur l’image…
    Je peux comprendre cette décision de notre frère Tariq.
    Je suis une fervente admiratrice de ses conférences diffusées sur son site mais il y a des conférences, qu’il vaut mieux entendre et ne pas voir par le désordre qui y règne, dans la mauvaise organisation.
    J’ai assisté à ma première conférence à Bruxelles à la faculté Saint Louis, il y a deux mois et le chao qui y règnait n’était pas beau voir.
    Donc, Tariq Ramadan fait bien de vous épargner ce qui n’est pas » beau à voir ».
    Encore toutes mes félicitations pour votre tournée aux Etats-Unis.
    Naima Gharbi de Bruxelles.

  6. Assalamouaalaykoum,

    Barakallahoufik pour ce rappel vers notre créateur à travers

    Son bien-aimé le Prophète (PBSL). Que sa lumière et son

    amour amplissent nos coeurs d’intelligence et de sagesse.

    Merci d’avoir mis en ligne les autres conférences données

    aux Etats-unis.

    Qu’Allah vous aide et vous protège.

    Qu’Allah nous guide et renforce notre foi.

  7. Juste pour signaler que pour la première fois, je n’arrive pas à lancer la conférence. Je vois bien les fragments audios se charger mais elle ne veut pas démarrer.
    J’ai tout essayé, j’ai attendu que ça charge puis j’ai mis play, j’ai essayé la conférence précédente, ça marche nickel.
    Je suis persuadé qu’il y a un soucis avec celle-ci. Je suis insomniaque depuis des années, ça trotte beaucoup dans ma tête et mon meilleur calmant c’est de penser à autre chose tout en pensant à comment améliorer les choses. La voix très posé de Tariq m’aide aussi beaucoup.

  8. Bravo, quelle magnifique conférence: pleine d’enseignements et de morales de vies. Que Dieu vous préserve Monsieur RAMADAN. A bientôt!

  9. Salem,

    Certains ahadiths que je m’est arrêté au cour de cette semaine :

     » تفاءلوا الخير تجدوه

    ينزل الله تبارك و تعالى إلى السماء الدنيا في الثاث الأخير من الليل و ينادي هل من داعي فأستجيب له ،هل من سائل فأعطيه ، هل من مستغفر غأغفر له … و ذلك كل ليلة »

    « من صلى الصبح فهو في ذمة الله

    الصدقة برهان

    من سلك طريقا يبتغي فيه علما سهّل الله له طريقا إلى الجنة

    أطلبوا العلم من المهد إلى اللحد

    النظافة من الإيمان

    القران يأتي شفيع يوم القيامة

    لا نأكل وحدنا، و لا نشرب وحدنا  »

    أيكون المؤمن جبانا فقال نعم فقيل له أيكون المؤمن بخيلا فقال نعم فقيل له أيكون المؤمن كذابا فقال لا »

    (.. فإذا مضيت تركت فيكم الاستغفار

    ……

    Merci pour ce rappel, Que Allah vous garde !

    • En effet,quel homme merveilleux il était!
      Il fut chargé de transmettre le message de l’islam à l’humanité!
      Il avait le meilleur des caractères,il était le plus honnête des hommes!
      Son souvenir est présent dans nos coeurs.Il est le plus bel exemple,et grâce à cela il nous aide bien souvent à traverser les épreuves,hamdoullah!
      Que la bénédiction de Allah soubhanou oi ta’ala soit sur lui,sa famille et ses compagnons!Amine

  10. Concernant le débat sur l’image : il s’agit peut-être simplement d’un problème de bande passante (et si ce n’est un problème, un souci de l’alléger).
    La même conférence avec l’image serait sans doute environ 10 fois plus lourde (plus longue à télécharger et nécessitant beaucoup plus d’énergie pour la « faire circuler » sur internet).

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