Bannières de mai

 
Aux branches claires des tilleuls
Meurt un maladif hallali.
Mais des chansons spirituelles
Voltigent parmi les groseilles.
Que notre sang rie en nos veines,
Voici s’enchevêtrer les vignes.
Le ciel est joli comme un ange.
L’azur et l’onde communient.
Je sors. Si un rayon me blesse
Je succomberai sur la mousse.

Qu’on patiente et qu’on s’ennuie
C’est trop simple. Fi de mes peines.
Je veux que l’été dramatique
Me lie à son char de fortune.
Que par toi beaucoup, à Nature,
 Ah moins seul et moins nul ! – je meure.
Au lieu que les Bergers, c’est drôle,
Meurent à peu près par le monde.

Je veux bien que les saisons m’usent.
À toi, Nature, je me rends ;
Et ma faim et toute ma soif.
Et, s’il te plaît, nourris, abreuve.
Rien de rien ne m’illusionne ;
C’est rire aux parents, qu’au soleil,
Mais moi,je ne veux rire à rien ;
Et libre soit cette infortune.

44 تعليقات

  1. Le mot « nature » a deux sens fondamentaux :

    -la matière d’une chose (ce qu’elle est, son essence)

    -et le devenir d’une chose dans sa spontanéité (libre d’une fin)

    • j atend avec impatience que le paralizÉ danse que le muet parle et donne une reponce j atend avec amertume qu une branche mouillÉ s alume si jamais elle ce comsume j atend avec impatience d entendre chanter l hymne sacrÉ qui sortira de la solitude les rare personne qui on un coeur

    • le bui est un arbre qui ne brûlle pas le paralisé pourrait marcher dans un monde virtuel. Par contre le sourd peut communiquéer pour ma par, je comprends les sourds. merci pour votre blog , merci pour votre intélligence. Pour votre foi en l’islam, et de nous témoigner par écrit votre amour pour l’islam ainsi que tout les musulmans. Merci de rester tel que vous être, merci de nous comprendre , nous musulmands européens. Merci

      Malika

  2. Un ange communie me blesse sur la mousse.

    Ennui de mes peines dramatiques.

    Fortune, Nature.. je meure, c’est

    drôle.. Le monde m’use, me rend ma soif,

    abreuve, m’illusionne.

    Au soleil je ne veux rire à rien…

    Infortune.

    • C’est si triste. Cet état. Je m’y vois. Tant de ces souffrances. Coeurs déchirés. Ames en lumière. Tant de ces soleils qui luisent loin de tous. Prière. Il faut les chercher. Les faire rencontrer. Il y a des signes dans la nature et en vous-mêmes. Lumière sur lumière. C’est ça le secret.

  3. Dans une cité perdue en plein coeur de la modernité…

    Une âme pleure, crie, aime, rie…

    elle se réveille, parfois observe le soleil et son lever…

    pense, sommeils, étoiles, et nuits…

    elle aime le silence mais il « au fond d’accès » si difficile…

    liée aux causes évenements de la vie…

    à croire que l’épreuve est si dure parce que le temps file…

    elle tente de toujours dire merci…

    merci merci pour cette lumière qui peut venir et partir…

    pour cette si belle vôute de toutes couleurs…

    car il m’arrive de l’oublier il faut me l’écrire, m’avertir…

    me dire regarde avec le coeur, tu vis et tu meurs…

  4. De Jibran Khalil Jibran, chante par Fairouz

    ….

    Donne-moi la flute et chante/le chant est le secret de l eternite

    Le gemissement de la flute demeure/ qund l existence n est plus que neant

    As-tu comme moi, loin des chateaux/pris la foret pour demeure?

    Suivi le cours des ruisseaux/escalade les rochers?

    T es-tu lave de parfums/ t es-tu seche de lumiere?

    Bu l aube tel un vin/ dans des coupes d ether?

    T es-tu, comme moi, le soir/assis parmi les vignes?

    Contemplant les grappes pendantes/pareilles a des lustres d or?

    Elles sont sources pour
    l assoiffe/nourriture pour celui qui a faim

    Elles sont ciel, parfum/et vin pour celui qui le desire

    La nuit, as-tu fait de l herbe ton lit et du ciel ta couverture?

    Indifferent a ce qui adviendra/oubliant ce que le passe emporte

    Donne-moi la flute et chante/ oublie les remedes et les maux

    Les hommes sont des lignes/ ecrites avec de l eau

  5. Sous une pluie de cartouches, meurt l’un de nos gamins,

    Il n’avait peur, pas touche!, cet enfant de nos reins,

    La balle l’a arrêté, alors qu’il chantonnait,

    Quand il s’est relevé, c’était pour mieux s’étaler.

    Sa motivation, son crime, non point l’ambition

    Il montait à la cime, de la révolution.

    La justice c’est son nom, la bonté son prénom,

    La révolte est inscrite, bien en vu sur son front.

    Quand il n’avait plus rien, il leur donnait son pain,

    Aux ptits abondonnés, par cette noire société.

    Il n’avait que 9 ans, mais dèjà d’un grand.

    Oh comme j’aurais voulu que ce soit mon enfant.

    Il n’avait qu’un but, lutter contre la misère,

    Il était orphelin, ce fut là son seul père.

    A nous de nous lever, c’est notre destinée.

    Il y aura tant des larmes, pas beaucoup d’autres armes.

    La faim ne doit plus être, c’est là l’ordre de l’Etre.

    Et les abus non plus, face à ceux qui n’ont plus,

    Que leurs deux mains levées, à Dieu pour protester.

    Je serais du combat, je t’invite avec moi.

    Mais l’issue n’est qu’une, ça ne fait pas lacune,

    Etre aimé de ces hommes, être agréé par Dieu

    Il n’y a pas qu’à Rome où l’on n’a pas les deux.

    Puisqu’il nous faut mourir, je veux choisir ma voie,

    Et je n’ai qu’à Te dire, ce sera avec Toi.

    • En écho…

      Gavroche,le jeune héros de Victor Hugo dans Les Misérables, meurt près d’une barricade, pendant l’Insurrection républicaine à Paris en juin 1832, en tentant de récupérer des cartouches non brûlées pour ses camarades insurgés et en chantant une célèbre chanson qu’il n’a pas le temps d’achever:

      ..

      On est laid à Nanterre,

      C’est la faute à Voltaire,

      Et bête à Palaiseau,

      C’est la faute à Rousseau.

      ..

      Je ne suis pas notaire,

      C’est la faute à Voltaire,

      Je suis petit oiseau,

      C’est la faute à Rousseau.

      ..

      Joie est mon caractère,

      C’est la faute à Voltaire,

      Misère est mon trousseau,

      C’est la faute à Rousseau.

      ..

      Je suis tombé par terre,

      C’est la faute à Voltaire,

      Le nez dans le ruisseau,

      C’est la faute à…

      ….

      Tant d’injustices. On aimerait qu’elles ne passent pas par la mort des enfants.

      Tant d’injustices.

      Et nous, si inégaux, avec nos soucis, nos peines et nos joies, noyés parfois dans nos difficultés, nous oublions…

      Nous ne sommes qu’humains, qu’Il nous aide à ne pas L’oublier, à ne pas les oublier.

      A l’amour, la compassion, la résistance…

    • Cet écho est parfaitement fidèle. Quelle belle histoire que celle des Misérables. Et quelle belle plume que celle de Hugo.

    • Salam,

      Ce poème a généré chez moi un malaise semblable à celui ressenti devant un discours ou un personne qui «étale» son humeur dépressive et “son penchant” défaitiste ( été dramatique, char de fortune, “moi,je ne veux rire à rien”.)

      K.

      PS: Le fait de mettre un N majuscule à Nature , n’atténue en rien le malaise ressenti. Il se peut néanmoins que je fasse (inconsciemment)de la «projection».

    • Merci. Je peux comprendre votre interpretation.

      On peut aussi y voir une acceptation face a notre mortalite.

      Mais peut-etre aussi je projette.

      Cordialement

      V

  6. Salam

    J’aime bien monsieur Ramadan, mais là j’ai pas compri son poème, il nous a tendu un piège…allez savoir pourquoi

    • salam

      Que nous ne sommes pas assez critique, voilà à quoi je pensai, bien sûr ça ne tiens qu’a moi,

      salam

    • Assalamou alaycoum.

      Je croix que tout simplement,notre frère Tariq aime beaucoup la nature,des moments il trouve chez la nature ce qu’il ne trouve pas ailleurs,à peu prés comme la plupart de nous.

      Et je croix qu’il n’est pas content d’un parmi nous.

    • Demande à lui ma chère soeur!

      Je souhaite pour lui , pour tous et toutes des bonnes vacances!

      اللهم بلغنا رمضان!

    • Rafika, pourquoi n’allez-vous pas jusqu’au bout de ce que vous avancez ?
      Votre message ce résume à parler pour ne rien dire.

  7. N’essayez pas de comprendre l’état de son coeur…

    Ceci est un simple coup de coeur…

    Chacun peut ressentir les choses différemment…

  8. ~

    …hier…

    ~

    …une belle ville…

    …un spendide quartier…

    …une magnifique journée…

    …un travail intéressant…

    …un échange sympatique…

    ~

    Et j’apprends, au détour de la conversation, que l’homme qui s’est tué avec sa fille il y a quelques mois – que de désespoir, avait-je pensé – est l’un de ceux qui m’a poussé (sans le savoir) à faire ce que j’étais justement en train de faire cet après-midi.

    ~

    [http://fr.youtube.com/watch?v=fCTCPD1itEg&mode=related&search=->http://fr.youtube.com/watch?v=fCTCPD1itEg&mode=related&search=]

    ~

  9. Carte postale:

    « Amers », IX, II-I, Saint-John Perse (Nouvelle Revue française, 1956.)

    « … J’ai rêvé, l’autre soir,

    d’îles plus vertes que le songe…

    Et les navigateurs descendent du rivage

    en quête d’une eau bleue ;

    ils voient -c’est le reflux- le lit refait

    des sables ruisselants :

    la mer arborescente y laisse, s’enlisant,

    ces pures empreintes capillaires,

    comme de grandes palmes suppliciées,

    de grandes filles extasiées

    qu’elle couche en larmes dans leurs pagnes

    et dans leurs tresses dénouées.

    Et ce sont là figurations du songe.

    Mais toi l’homme au front droit,

    couché dans la réalité du songe,

    tu bois à même la bouche ronde,

    et sais son revêtement punique :

    chair de grenade et cœur d’oponce,

    figue d’Afrique et fruit d’Asie…

    Fruits de la femme, ô mon amour,

    sont plus que fruits de mer :

    de moi non peinte ni parée,

    reçois les arrhes de l’Eté de mer… »

  10. Bonjour,
    j’ai été très heureuse de retrouver du Rimbaud sur votre site, j’ai une affection particulière pour ce jeune poète et en particulier pour son poème « sensation » qui m’a beaucoup marqué.
    Bonne continuation
    Merci de continuer de porter le flambeau de l’espoir.
    Mes amitiés Mr.Ramadan.

  11. Immensité,

    Sous la voûte sombre d’un ciel chargé de pluie,

    Une échappée

    Dorures du soleil couchant qui éclairent sur l’horizon un espace zébré de bleu et de rosé, traversé d’une compagnie fantaisiste de petits nuages noirs

    Splendeur, magnificence de la nature,

    Pure beauté

    Un jour comme les autres

    Il suffit d’un regard,

    Il suffit que le coeur soit en éveil

    Vois, accueille,

    N’oublie jamais

    • Il arrive enfin le joli moi de mai…

      Iris, giroflées, et les premiers lilas

      Les verts les plus tendres, les rosés délicats

      Et la pluie qui goutte interminablement d’un ciel généreux

      Le temps du muguet, et celui des rêves et de l’amitié

      Le temps des combats, le temps du courage, le temps de l’espoir

      Il arrive enfin le joli mois de mai

      Un bouquet de fleurs, une gerbe d’étoiles pour le célébrer

      Que coulent les larmes, que sourient les coeurs

      Renaissance

      Amour

      Et reconnaissance.

    • Il est bientôt fini, le joli mois de mai

      Le printemps est bien là

      Printemps des fleurs et des oiseaux,

      Du ciel qui rit et de celui qui pleure

      Le printemps de mon coeur s’en est allé

      Pour quelques temps ou pour toujours

      La nature heureuse console le coeur qui souffre

      Le vol d’un bel oiseau,

      La couleur d’une rose,

      Et voilà un sourire,

      Au delà de la peine

      A travers la Beauté

      Sa présence

      Et tendre vers l’Amour

      Le printemps de mon coeur s’en est allé

      Pour quelque temps ou pour toujours.

      Il est bientôt fini, le joli mois de mai.

    • En ce dernier jour de ce tendre mois de mai,

      En ce dernier triste jour de ce tendre mois de mai,

      Quelques notes bercent l’âme en grisé

      De douces notes lentes qui roulent sur la pente du chagrin

      Juste là, le temps immobile,

      Juste là, une larme,

      Sans arme.

      Dire

      Le besoin d’entendre

      L’attente des mots

      ….

      Tournent les heures et les jours,

      Sans retour

      ….

      De l’éternité

      Je n’entends plus le son

      De tes pas, je n’entends pas le bruit

      Sur la plage de ma mémoire

      Souligner le silence,

      Le border de mots moirés et tendres,

      L’enrubanner de mille couleurs

      Et de soiries précieuses

      T’en faire le cadeau

      ….

      Tournent les heures et les jours

      Sans retour

      ….

      Au cœur de l’absence

      T’offrir ces quelques vers,

      Hésitants, précautionneux et tendres.

      Va où conduit ta route,

      Va, comme un étranger, passager de la vie,

      Va, en paix dans Sa paix

      Sur la route,

      Me reste l’essentiel,

      L’infini, l’infiniment Aimant

      Et la douce tristesse.

      Et tout l’amour du monde

      A chercher, à donner.

  12. Il est encore jour

    Le lac offre son horizon,

    Miroir liquide d’un gris bleuté

    Parfaitement horizontal

    Ouvert sur de larges berges.

    Saules, peupliers, cerisiers, chêne…

    Les arbres se découpent tendrement sur le ciel

    Chacun y va de sa ramure, dans une symphonie de formes

    Chatons odorants, dentelles des premières pousses,

    Et toutes les nuances d’un vert à peine né.

    Canards, poules d’eau, et ce petit oiseau gris à longue queue noire si aérien,

    Et ces mille chants dans les arbres

    Qui célèbrent la vie, la vie à nouveau

    L’air est doux, tendre, odorant,

    La vue apaisée

    Au détour d’un regard

    Le reflet rouge du soleil surgit d’un champ de soja en fleurs

    Ici la beauté,

    Ici la légèreté ,

    Ici la paix.

  13. Contre le vieux mur,

    Les petites roses au coeur délicat

    ont mêlé leur rouge sombre au mauve des iris

    Les cerises vont bientôt mûrir

    Dans le champ voisin éclatent les pavots

    Tout dit la vie et la beauté, fragile et miraculeuse de grâce.

    A la voie d’innocence,

    Au chant de la simplicité

  14. L’air est lourd et le noyer ploie sous le poids des fruits à venir.

    Son ombre est fraîche et son allure familière.

    Il est l’hôte de ce jardin.

    Les roses trémières se déploient, longilignes,

    Quelques groseilles au goût acide ont mûri derrier les rosiers.

    Le silence est total, et le coeur solitaire.

    Nul oiseau ne pépie dans la nuit moite.

    Demain peut-être, il fera bon et le coeur sera apaisé

    Demain peut-être.

    A tous ceux qui se sont aimés, à tous ceux qui se sont perdus,

    Aux hasards et à la grâce.

    Oubli.

    • Non, nul oiseau ne pépie, depuis ce mois de mai 2009. Qui l’aurait cru? Tant de beauté perdue…

    • C’est étrange. L’impression d’avoir écrit ces mots, mais bien avant le 6 mai 2011. je ne comprends pas…

      Deux ans bientôt que le mauvaise nouvelle était annoncée. Deux ans bientôt qu’elle n’eut jamais de réponse.

      Je n’ai pas compris. Pas encore.

      La beauté du monde existe plus que jamais. J’ai reçu tout à l’heure en plein regard la grâce des arbres ondulant au vent, larges ou élancés, leur feuilles frémissant, chacune et toutes. Un océan vert pénétré de vie. Et les roses, roses roses, roses rouges, roses paille, roses orangées, le chant des roses du mois de mai. La puissance, la force, la fraîcheur, de la nature.

      Le vent frais fouettait le visage. Et les derniers iris partageaient leur délicatesse infinie.

      Sur le fil électrique, une tourterelle seule rappelait la blessure.

      La beauté d’une danse, d’un élan partagé, sublimé, n’est plus. La terre est parfois si pesante, le ciel si loin…

      Etrange est la vie.

      La raison dira : c’est ainsi et il importe de ne regarder et n’aller que devant.

      Que dirait le coeur, s’il pouvait parler?

  15. Washes lici
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