Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

Mon enfant nue sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d’un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoique tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

Le ciel prétend qu’il te connaît
Il est si beau c’est sûrement vrai
Lui qui ne s’approche jamais
Je l’ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu’on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoique tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

On s’envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d’après
Tu seras mon unique projet
Je m’en irai poser tes portraits
À tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous, j’écrirai
Que seule la lumière pourrait…
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

92 تعليقات

  1. Comment peut-on écrire un texte aussi magnifique, aussi large et respirant..? Un hymne à l’amour. Moment magique de la lecture….

    Merci très profondément à vous pour ce cadeau.

    F

    • salam a tout le monde
      que DIEU accroit la foi des musulmans
      tariq je t ai defendu ou tu n y etait pas je suis tous tes conference et coute à chaque foix tes cassettes avant de dormir
      et DIEU sait que cela m a permi de voir claire
      par ailleurs en ce qui concerne la musique personne je dis personne ne peut rendre cette musique licitte
      Malgre que je m apprette meme à donner le nom de mon fils TARIQ RAMADAN mais en outre je ne serai jamais d accord sur la legalisation de la musique
      regarde ces musicien qui invitent des emotions et fagacitent des envis et files des proses pour plairent meme sil ne disent pas l averite
      enfin pourquoi quand un musicien meure on ne l accompagne avec ses chansons
      pourquoi les concerts ne se deroulent pas dans les mosquees dans la mesure ou c est halal
      comme l avait dit le PROPHETE PSL la religion est tellement claire comme le soleil à midi
      que DIEU nous guides et efface nos fautes

      MALCOLM OUMAR

    • Salam ahlikoum!

      Que Allah (swt) nous mène vers le sens de son message!AMINE!
      Dans « l’essentiel » il ya tout,et dans « le detail » il ya tres peu.
      Qu’ALLAH nous guide vers le message d’Amour qu’IL nous a envoyé!
      Je suis musulman,je me nourri de cette Amour!mon frere je t’aime en Dieu…!

    • La vie d’ici bas ne vaut rien mes freres et soeurs
      nous laisseront dounia
      un matin ou un soir
      la journée ou dans la nuit.

      nous passons notre temps à suivre dounia
      qui ne fait que s’enfuire
      qui ne fait que se perdre

    • Merci benssem, tu as tout a fait raison ce ne sont que des paroles pas de la musique… « tous des égarés » quelle fine analyse! Salam a3likum.

    • Site anti islamique, tu exagères un peu non??? On n’est pas sur le « cochon halal ». D’ailleurs je te propose de faire avancer les choses par tous les moyens que tu peux et surtout arreter de critiquer et juger…

      A bon entendeur…

    • trés beau texte mon dieu si tout le monde pouvait remplis son coeur d’amour nos problémes seront moindres.Merci professeur pour ce grand moments d’émotions

  2. Asalamou aleikoum,

    Quand rejetter par la fortune et par les hommes, je pleure solitaire mon triste destin.

    Troublant le ciel sourd de mes plaintes inutiles et maudissant mon sort. Voulant être quelqu’un d’autre plus riche d’espérance, être comme lui entouré d’amis. Avoir l’art de l’un, la prestance de l’autre, satisfaire le plus de ce que j’ai le moins.

    Quand occuppé ainsi, au mépris de moi même, je pense à Vous soudain, et de cet état la mon âme s’élève et entonne des cantiques aux portes du paradis, car le souvenir de Votre amour est une telle richesse que je ne céderais ma place à un roi.

    (de mémoire ce que j’ai retenus d’un texte de William Shakspeare).

    Quelques mots pour partager avec vous cet extrait qui m’inspire beaucoup sur l’amour pur et libérateur: l’Amour de Dieu.

    Que la paix soit avec vous.

  3. Salem A’leykoum,

    Cabrel,un de mes chanteurs préferé!

    Il est tellement vrai,naturel.

    J’aime beaucoup son dernier titre ,à écouter !

    • Wa’alaykoum as-salamou,
      J’aime écouter Cabrel pour ces chansons d’amour romantiques, optimistes …
      Son dernier titre : « On devrait correspondre » me plait énormément, parce que « qui se ressemble s’assemble » …

  4. Assalamou allaykoum,
    Dans mes prières, j’implore Dieu le Tout Puissantqu’il t’accorde son Amour et qu’il te fasse don de sa Lumière pour que tu sois pour tes enfants un père aussi merveilleux que celui que dieu t’a donné »Dr Saîd RAMADAN ».
    S’il te plait mon frère Tariq n’oublie pas dans tes prières de demander à notre Seigneur de m’accorder son Amour
    et qu’il me fasse don de sa guidée pour que sois pour mes enfants une mère aussi douce et affectueuse que celle que Dieu t’a donné.
    Ta soeur en Dieu Nouara.

    • Assalamou Aleikoum mon frère Tariq, pour moi, aussi vrai que la FATIHA constitue la prière d’ouverture sur l’Univers, l’Amour est un don d’Allah (swt) pour franchir tout obstacle dans l’immense labirinthe de l’Univers. Oui, frère Tariq, cet Amour pur, Allah (swt) t’en a fait don. Ton sourire, ton regard, ton humilité, ton engagement en sont la preuve. Que serait l’Univers sans l’Amour, le vrai ? Union de prière, ton frère Ahmed.

  5. Bissmiallah Rahmane Rahim, Salame alikoum.
    Toutes les chansons d’Amours ont un écho à mon oreille, lorsque le « Coup de foudre » a frappé. Ecoutez son coeur envouté la chanson de Gilbert Montagné « On va s’aimer » On va s’aimer a toucher le ciel, se séparer à brûler nos ailes, se retrouver amoureux encor. On va s’aimer sur une étoile où sur un oreiller, dans un avion ou dans un vieux grenier? Je veux découvrir ton visage où l’Amour est né. On va s’aimer dans un avion , sur le pont d’un bateau, on va s’aimer à s’en à s’en brûler la peau. Je veux découvrir ton visage où l’Amour est né……
    Salame Alikoum

    • que des mots

      Certes. Mais bien arrangés.

      Comme des perles sur un collier.

      Comme des notes sur un clavier.

      Comme les étoiles dans le ciel…

  6. salam ‘alaikum
    g vu un hadith authentique ou le prophete paix et prieres sur lui dit ,dan le sens du hadith, qu’un jour des savants autoriseront les instruments de musique, puis je me suis renseigne sur les autres avis, et une grande majorite autorise des chansons dont les paroles n’appelle pa a kelke chose de mal, islamikemen parlant, bien sur…,avec comme instrumen des percussions, et maintenant je vois kon ecoute du francis cabrel et kon conseille les gens de lecouter egalement, on est deja rassasie de la parole d’Allah?

    • Bonjour,

      Il est désolant à quel point on peut constaté ,le manque de sensibilité , le manque d’humanisme , chez des jeunes comme vous « peut-etre »?
      Je vous invite à decouvrir la richesse qu’est l’Art sous ses différentes formes…La poésie en est une à travers cette chanson de « Cabrel », si vous l’a relisée et l’ecoutée avec plus de sensibilité , plus de présence « presence d’esprit »,il émanera forcement une étincelle ou un brin d’humanisme et à travers l’humanisme , il ya de l’Amour et si vous avez la foi, vous ne pouvez pas passer à coté de cette sensibilité.
      Ce n’est en effet pas un poeme religieux en soi,il n’ya pas un vocabulaire religieux , mais il ya l’Amour que l’on trouve dans le religieux , dans la religion , en somme, dans la foi…Donc cette profondeur du sentiment,qui ce degage de la chanson , c’est un soufle à la vie , c’est un appel à l’Amour , à la fraternité au lien que peut avoir un père avec un enfant ou une mère avec un enfant tout simplement!
      C’est pas parce que c’est un « non-musulman »,qu’il ne peut pas toucher, »humainement parlant », c’est juste un soulèvement du language et tout soulèvement du language dans toute sa beauté à quelque chose de transcendant et c’est dans cette petite chose là que l’humanisme s’inscrit.Je vous invite à laisser libre court à votre imagination …
      Il parait que ça ouvre l’esprit!
      Je pense que vous découvrirez ce qu’est l’Amour de l’autre.

  7. Celle-ci aussi n’est pas mal !

    Tout le monde y pense

    Tout le monde y pense,

    Les hommes, les anges, les vautours,

    Y’a plus de distances,

    Personne qu’y ait les bras trop courts,

    Tout le monde espère,

    Même à l’arrière des arrière-cours,

    Tout le monde veut son billet retour,

    D’amour, d’amour,d’amour, d’amour.

    Son éclat de chance,

    Celui qui vous brûle, vous inonde,

    Mais le ciel s’en balance,

    Puisqu’il y en a pas pour tout le monde,

    Y’a des gens plein les urgences,

    Sous les lumières des abats-jour,

    Qui attendent leur billet retour,

    D’amour, d’amour, d’amour, d’amour…

    Ces anges qui dansent,

    Sur ces pistes trempées d’alcools,

    Dans ces caves immenses,

    Les cheveux collés aux épaules,

    S’envolent en silence,

    Et s’éparpillent au petit -jour,

    En cherchant des billets retour,

    D’amour, d’amour, d’amour, d’amour…

    Ces femmes qui s’avancent,

    En tenant au bout de leurs bras,

    Ces enfants qui lancent,

    Des pierres vers les soldats,

    C’est perdu d’avance,

    Les cailloux sur des casques lourds,

    Tout ça pour des billets retour,

    D’amour, d’amour, d’amour, d’amour…
    Les hommes, les anges, les vautours…

    Personne qui ait les bras trop courts…

    Tout le monde y pense…

  8. A la personne ci-dessous qui se posait des questions sur la musique, les instruments et les chansons.

    Lorsque j’ai lu votre message concernant la musique, j’ai eu envie de réfléchir un peu, avec vous peut-être.

    Probablement votre question englobe plus généralement le rapport entre l’art ou l’Art, la création ou la Création et les êtres humains et leur volonté.

    Considérons la musique, la peinture, l’écriture, la sculpture, la photographie, la danse, l’architecture – et bien d’autres arts ou Arts – selon l’appréhension de chacun, « simplement » comme des dons et des moyens d’expression autres que la parole.

    Ces façons de s’exprimer proviennent, non d’une volonté, d’un désir ou d’une décision mais de l’aspiration profonde d’un être humain. C’est quelque chose qui est plus fort que lui. Qui est ressenti et qui provient « d’un au-delà » de sa personne.

    Pour moi, toutes les manifestations expressives qui émanent des êtres humains sont comme le chant diffusé par l’oiseau, le bruissement du vent dans les feuilles des arbres, le grondement du tonnerre dans le ciel, le tintement de l’eau sur les roches d’une rivière puisque tous les êtres humains justement font partie intégrante de la Nature.

    Tout n’est-il pas muslim ?

    Sinon, d’où proviendraient ces expressions ou ces manifestations ?

    A quoi ou à qui seraient-elles dédiées, sinon à la Création ? (qu’on peut qualifier différemment suivant sa croyance mais qui au fond est certainement pareil)

    Un jour, en train de chiner des disques sur un stand de marché, nous entamons, avec un violoniste, une conversation sur la musique.

    Ce monsieur me dit alors qu’il ne peut « plus que » lire ses partitions, autrement dit « aligner » ces notes comme un fonctionnaire (ce qui me fait penser à un ami qui me racontait que son père était fonctionnaire … dans un orchestre symphonique !)

    Ce violoniste (certainement de haut niveau d’après ce que j’ai compris et avec quel chef il jouait) ne pouvait plus, en ce moment-là, jouer de et non avec son instrument, étant dépressif.

    Avec peine, il me parlait de sa douleur de ne plus être habité par la grâce. En fait, il m’a expliqué que ce n’était pas lui qui jouait mais que c’était un don de Dieu, qu’il n’y était pour rien et qu’en fait, puisqu’il l’avait reçu, il se devait d’utiliser ce don. C’est pourquoi il était profondément malheureux de ne plus y parvenir à cause de son état.

    La conversation a été assez brève, il s’en est excusé. Il était presque incapable d’en parler, trop touché, désespéré. Il me l’a dit mais je le voyais et je le sentais.

    Si j’avais lu tout cela dans un livre par exemple, je n’aurais été guère surprise.
    Par contre, entendre, voir et sentir une personne verbaliser ainsi sa relation avec la musique, l’art, la nature et la Création m’avait littéralement « enchanté » pour le reste de la journée malgré le caractère dramatique de cette conversation.

    Aujourd’hui, longtemps après, je peux (re) sentir cette impression de joie d’avoir entendu cela. J’espère que cet homme a retrouvé la paix.

    Ainsi, un artiste est effectivement quelqu’un qui est habité par un certain mode d’expression, reçu en don, qu’il se doit ou devrait de travailler, d’utiliser et d’exploiter.

    S’il le néglige, il est possible de voir cela comme un gaspillage, une erreur, une faute ou encore un péché suivant ses croyances ou sa manière de voir les choses.

    Bien sûr, on peut dire que tout un chacun est un peu artiste puisque nous recevons tous telles ou telles capacités à notre naissance : « on reçoit » un rôle à jouer, une tâche à accomplir ainsi que les moyens de le faire, selon moi.

    Par contre, je ne crois pas du tout qu’il soit du ressort de l’être humain de juger de la valeur de cette tâche ou encore moins de celle « des autres » car tous naissent avec des caractéristiques, des qualités et des défauts qui ont un sens pour ce qu’il ou elle doit accomplir sur Terre.

    Alors, TOUT émane d’une vision ou d’une entité supérieure à l’être humain ou une essence divine – toujours suivant comme on ressent les choses …

    Un artiste peut être content de savoir écrire, composer, sculpter, jouer, peindre, cela flatte son égo mais comme disait en substance ce violoniste « je suis habité, c’est ma nature, je n’y suis pour rien, je ne peux m’en orgueillir ».

    En fait, celui ou celle qui parvient à s’exprimer à l’aide de son art (ou Art) ne fait « qu’ouvrir une sorte de robinet » qui correspond à sa nature ou à mettre en oeuvre et mener à bien ce que ses capacités lui permettent de faire ou d’honorer le Créateur, encore une fois selon les diverses visions.

    Les mots, les notes, les formes, les couleurs, les gestes jaillissent, avec du travail certes, mais sans VOLONTE VOLONTAIRE.

    Au fond, la question est de savoir s’il est imaginable de croire que toute création peut être oeuvre purement humaine ?

    Personnellement, cela me semble impossible. Même pendant que j’écris ce simple texte, je sens bien que c’est un acte qui dépasse ma pure volonté.

    D’accord, au départ, je pense que j’ai envie d’écrire, autrement dit, avant tout de réfléchir sur ce sujet mais mes pensées proviennent d’ailleurs.

    Ce serait effectivement orgueil et vanité de croire que je suis capable – par volonté de création – de créer mes pensées par exemple.

    Mes pensées me viennent et j’en fait quelque chose mais je ne les crée pas.

    Maintenant, si une création musicale, picturale, littéraire « touche » quelqu’un, cela ne part-il pas aussi de ce même principe ?

    Qu’atteint cette création si ce n’est une parcelle divine, sublime (ou un autre mot qui vous convient ou vous parle) qui est en vous ?

    Certains mots, ou plutôt certains assemblages, certaines notes ou plutôt certains intervalles ou silences, certaines formes ou plutôt certains vides, certaines couleurs ou plutôt certaines profondeurs, atteignent ou n’atteignent pas, trouvent ou ne trouvent pas, de correspondance chez quelqu’un.

    Ou pas encore peut-être.

    Certaines musiques me dérangeaient plus jeune ou certaines lectures me paraissaient rébarbatives ou incompréhensives, et maintenant elles me touchent.

    Bien entendu, personne ne force à lire, à écouter et encore moins à aimer telle ou telle moyen d’expression…

    Par ailleurs, il est tout à votre honneur de chercher à savoir et à comprendre quels sont les meilleurs comportements correspondants à vos croyances et à ce que vous êtes.

    Il me plairait de lire votre réaction car je vous est senti(e) soucieux (se).

    J’avais commencé ce message il y a au moins 3 semaines. Je le termine aujourd’hui. Entre-deux, je suis « tombée » sur cette petite phrase de Man Ray dans un musée « La création est d’essence divine, la multiplication est d’essence humaine »

  9. Salam alaykoum,
    Je tenais à porter témoignage à l’heure où une amie trés proche viens de perdre son fils de trente quatre ans, au moment où la douleur de la séparation est si grande, à l’instant où l’amour qu’elle porte à ALLAH est si infini. Je pense à toi ma tante, toi qui a vu grandir en toi ce grain d’amour, toi qui l’a nourri et fait grandir sous ton aile protectrice, toi qui l’a vu mourir, sache que je ne peux pas sentire la même douleur que toi mais que je la comprend, tu nous a beaucoup appris ces derniers jours en répétant sans cesse » L’amour pour mon fils est grand mais l’amour pour ALLAH est plus grand, louange à notre Seigneur ALLAH ».
    Les paroles de cette chanson « Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerais » sont les paroles de son coeur aujourd’huie, Qu’ALLAH l’aide dans son endurance et sa perserverance.
    Qu’ALLAH te comble de ses bienfaits mon frére et sachons vivre le temps présent avec ceux qu’on aime jusqu’a La séparation dans la compréhension et l’application de notre belle religion.

  10. Bonjour
    petite contribution qui sûrement ne va pas plaire mais j’ose puisque tariq est un homme de dialogue.
    Je trouve le choix de cette chanson très caractéristique de la position intellectuelle de tariq ramadan et des islamistes modérés en général, à savoir: on a choisi cette chanson, je suppose parce qu’elle dit dans la forme l’amour d’un parent à l’égard de son enfant avec des mots qui sonnent juste à l’oreille d’un « pieux musulman ». Rien ne peut choquer à priori la conscience musulmane donc on approuve et même on prouve que l’on peut être musulman et moderne, écouter des chansons disons « hallal ».
    En fait, si on voulait vraiment se donner la peine de creuser un peu ce qui sous-tend au fond le message de cette chanson, par ailleurs humainement très jolie, on verrait que cette forme d’amour total d’un père pour son enfant ne reflète pas du tout ce qui me semble être l’intention réelle d’un homme spirituel qu’il soit musulman ou chrétien ou juif d’ailleurs. Pour moi l’amour vers lequel l’islam essaie de nous hisser est l’amour désintéressé. La vraie spiritualité tente d’ouvrir le coeur de l’homme à sa véritable dimension d’homme fait à l’image de dieu. Il le pousse à dépasser sa condition. Certes dans la vie de tous les jours nous ne sommes pas des saints mais faisons attention par exemple à ne pas vouloir posséder les autres, penser à leur place … Souvent un parent veut le meilleur pour son enfant et oublie que l’enfant ne lui appartient pas. Il y a dans cette chanson un peu de cet amour égoiste et je voulais juste le souligner même si encore une fois la chanson de cabrel est quand même touchante. Merci de m’avoir lue.

    • Ton msg m’intrigue selon toi l’amour d’une personne « spirituelle » est forcément désintéressé mais qu’es-ce que le désintéret selon toi ? Ne pas aimer son enfant??Ne pas le chérir? L’ISLAM C’EST L’AMOUR.ALORS COMMENT NE PAS AIMER QUAND ONT EST UN »spirituel »MUSULMAN

  11. L’article suivant est tiré de l’ouvrage “Ghâyatu-l-Marâm Fî Takhrîj Ahâdîth Al Halâl Wal Harâm ”. Ecrit par le grand savant et spécialiste des sciences du hadîth Muhammad Nâsiruddîn Al Albâni, ce livre s’intéresse à la citation et à la vérification des sources contenues dans l’ouvrage du docteur égyptien Yûsuf Al Qardâwi intitulé : “ Le licite et l’illicite en Islam ”.

    La question abordée ici par l’auteur est celle du chant et de la musique, et plus particulièrement, du jugement prononcé par le célèbre docteur quant au statut qui leur est attaché.
    Elle fait suite à l’évocation du hadîth suivant, rapporté d’après ‘Â’isha selon qui “ Abû Bakr (Qu’Allah l’agrée) entra chez elle pendant les jours de Mina. Il la trouva en compagnie de deux jeunes filles qui chantaient en s’accompagnant d’un tambourin (Duff) et les réprimanda. Le prophète (salallahu’ alayhi wasalam), qui s’était entièrement recouvert de son manteau, découvrit son visage et lui dit alors : ‘‘Laisse-les, ô Abû Bakr ! Nous sommes un jour de fête. » ”
    (Le Traducteur)

    Voici donc les commentaires du sheikh Al Albâni :

    “ Authentique. Rapporté par Al Bukhâri (T1/242 et 251), Muslim (T3/22), An-Nasâ’i (T1/236) et Ahmad (T6/33, 84, 99, 127 et 134).

    Avertissement :

    L’auteur, puisse Allah le préserver, relate d’après Al Ghazâli que le hadîth constitue un texte explicite quant au caractère licite du chant. Avis qu’il admet et soutient même en disant :

    ‘‘On a d’ailleurs rapporté qu’un grand nombre de compagnons et de Tâbi‘ûns écoutaient le chant sans n’y voir aucun mal. Quant aux hadîths prophétiques qui ont été cités pour l’interdire, ils sont tous sujets à la critique et il n’en est pas un que les savants et spécialistes de cette science n’aient pas mis en doute. Ainsi le juge Abû Bakr Ibn Al ‘Arabi a-t-il dit : “ Rien, concernant l’interdiction du chant, n’est authentique. ”, alors qu’Ibn Hazam a pour sa part affirmé que “ tout ce qui a été rapporté pour l’interdire est faux et apocryphe. ” »

    Or, ce sont plutôt les propos d’Ibn Hazam qui sont faux. En effet, il existe plusieurs hadîths authentiques et avérés relatifs à l’interdiction du Duff et des instruments de distraction. Ainsi nous est-il rapporté que (le messager d’Allah (salallahu’ alayhi wasalam)a dit) :

    “ Des gens de ma communauté rendront certes licites […], ainsi que les instruments de distractions (Al Ma‘âzif). ” [1]

    Et j’aurai aimé que le professeur ne s’aligne pas sur l’opinion exprimée par Ibn Hazam dans ses propos dont le caractère infondé ne saurait échapper aux véritables spécialistes du hadîth tels qu’Ibn Al Qayyam, Al ‘Asqalâni et autres Muhaqqiqûns.
    D’autant plus qu’il a été vivement critiqué pour ce jugement dénué de tout argument et prononcé sur un récit figurant -comme cela est exposé dans les ouvrages de cette science au chapitre traitant des “ accrochés ” [2] (Al Mu‘allaqâtes)- dans le “Sahîh ” d’Al Bukhâri.
    Et toutes les critiques qui se sont penchées sur ce hadîth se sont accordées à souligner l’erreur qu’il a commise en le décrétant “ faible ”, et l’ont déclaré “ authentique ”. Je me suis moi-même associé au démenti de ses propos dans “ Silsilatu-l-Ahâdîth As-Sahîha ” (n°91) où j’ai mentionné, pour ce récit, une chaîne de transmission authentique dont il ne disposait pas.
    J’y ai par ailleurs évoqué l’avis de certains spécialistes de cette science le concernant, et insisté sur le fait qu’il était fréquemment sujet aux “ idées fausses ” dans ses jugements relatifs au degré d’authenticité des hadîths. On pourra donc s’y référer.

    Quant aux propos que l’auteur rapporte d’Ibn Al ‘Arabi, (je dirai), tout en reconnaissant la science et l’éminence de ce dernier, qu’il ne se comporte pas mieux qu’Ibn Hazam lorsqu’il s’exprime sur les hadîths.
    Je l’ai d’ailleurs repris sur plus d’un hadîth dont il a récusé, dans son livre : “Al ‘Awâsim Min Al Qawâsim”, le fondement ou l’authenticité. Je citerai ici, à titre d’exemple (ce propos du prophète) : “ Celle d’entre vous qui sera aboyée par les chiens de Haw’ab.” Je m’en suis d’ailleurs exprimé en détail dans mon livre “ Silsilatu-l-Ahâdîth As-Sahîha ” (n°469), dont j’espère la sortie prochaine.

    J’ai également chez moi un autre livre dans lequel j’apporte un démenti à l’épître écrite par ce même Ibn Hazam au sujet de l’autorisation des instruments de divertissements. Etudiant de près l’ensemble des hadîths qui ont été mentionnés relativementà leur interdiction, j’en fais une analyse critique scientifique pour ensuite démontrer que les jugements de “ faiblesse ” prononcés par l’auteur à l’encontre d’un grand nombre d’entre eux sont erronés. Et si je le conserve (pour l’instant) auprès de moi, j’espère avoir l’occasion d’y jeter à nouveau un oeil afin d’en éclaircir certains points et qu’il soit fin prêt pour sa diffusion.

    Voilà ce qu’il y avait à dire sur le plan de la science du hadîth. D’un point de vue strictement juridique à présent, le caractère infondé du propos d’Al Ghazâli [3] n’échappera pas à tout véritable juriste. En effet, nous sommes là dans le cadre spécifique du chant de jeunes filles s’accompagnant d’un tambourin, le jour de l’une des deux fêtes islamiques annuelles.
    C’est donc cela que le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a admis. Par contre, c’est s’éloigner de la juste voie et interpréter faussement le hadîth que d’en déduire l’autorisation du chant de femmes pubères et “ étrangères ”, ainsi que la possible utilisation d’instruments de divertissement tels que le luth ou autres, en dehors d’un jour de fête.
    En effet, comment une telle déduction pourrait-elle être juste avec ce blâme d’Abû Bakr à l’égard du chant accompagné d’un tambourin : “ La flûte du diable aurait-elle sa place dans la demeure du messager d’Allah ? ”
    Or, ce dernier (salallahu’ alayhi wasalam) n’a pas totalement désapprouvé ce propos. Bien au contraire, il l’a globalement approuvé, sauf en ce qui concerne le chant évoqué ici, lors des jours de fête, ce qui constitue donc une exception.
    Ainsi, en disant :
    “ Laisse-les, ô Abû Bakr ! Chaque peuple à une fête, et celle-ci est la notre. ”, le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) justifie l’autorisation d’une pratique qu’Abû Bakr avait blâmée en des termes généraux. Ce qui signifie par conséquent que ladite pratique n’est pas permise en dehors des jours de fêtes religieuses, exception faite de ce qui l’a été dans d’autres textes comme l’utilisation du tambourin lors des célébrations de mariages.

    Voilà donc, d’après ce que je sais, tout ce que le messager d’Allah (salallahu’ alayhi wasalam) a rendu licite : le tambourin, uniquement, les jours de fêtes et lors des célébrations de mariages. Et en dehors de ce cadre, c’est l’interdiction que les hadîths ont mentionnée qui prévaut.

    Peut-être l’auteur réexaminera-t-il les propos qu’il a rapportés d’Ibn Hazam et d’Ibn Al ‘Arabi, pour étudier ensuite la question selon une démarche rigoureusement scientifique. Car affirmer l’autorisation d’une chose unanimement reconnue illicite par les quatre principales écoles juridiques, textes de la sunna authentique à l’appui, ne convient ni ne sied à un savant de valeur. ”

    [1] Hadîth que nous évoquerons plus bas lors de la citation de ses sources et du jugement qu’en a donné Ibn Hazam en le considérant “ faible ”.

    [2] Le propos suivant ne fait pas initialement partie de cet article mais est tiré d’un autre ouvrage du sheikh intitulé “ Tahrîm Âlâtes At-Tabl ” (p38-40). Nous avons jugé bon de l’insérer ici en ce sens qu’il permet au lecteur de se faire une idée plus claire de l’erreur commise par Ibn Hazam. (Le Traducteur)

    Ainsi le sheikh a-t-il dit : “ Abû ‘Âmir -ou Abû Mâlik- Al Ash‘ari a entendu le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) dire : ‘‘Des gens de ma communauté rendront certes licites l’adultère, la soie, le vin et les instruments de distractions (Al Ma‘âzif). […]’ ‘

    Al Bukhâri l’a “ accroché” dans son “ Sahîh ” en l’énonçant à la forme active et en s’appuyant dessus en tant qu’argument. Ainsi a-t-il dit dans le chapitre “ des boissons ” (Cf : “ Fath Al Bâri ; T10/51/5590) : “ Hishâm Ibn ‘Ammâr a dit : Sadaqa Ibn Khâlid nous a relaté — ‘Abd Ar-Rahmân Ibn Yazîd Ibn Jâbir nous a relaté — ‘Atiyya Ibn Qays Al Kullâbi nous a relaté — ‘Abd Ar-Rahmân Ibn Ghanm Al Ash‘ari m’a relaté et a dit : Abû ‘Âmir, ou Abû Mâlik, Al Ash‘ari -par Allah, il ne m’a pas menti- m’a relaté avoir entendu le prophète dire : […] ” Et de citer ensuite le hadîth.

    Le Sheikh Al Islâm IbnTaymiyya dit, dans son ouvrage “ Al Istiqâma ” (T1/294) : “ Quant aux instruments de divertissement, le hadîth qu’Al Bukhâri a “ accroché ” à ce sujet, en l’énonçant à la forme active, et qui remplit ses conditions est authentique.”

    Précisons ici que ce type « d’accrochage  » n’a que la forme de « l’ accrochage  » classique, ainsi que l’a affirmé Al Hâfiz Al ‘Irâqi, lors de la citation des sources de ce hadîth, dans “ Al Mughni ‘An Haml Al Asfâr ” (T2/271).

    En effet, les hadîths dits “ accrochés ” souffrent, dans la plupart des cas, d’une interruption entre l’un des maillons de leur chaîne de transmission et la personne même qui recourt à ce procédé, et possèdent par ailleurs de nombreuses formes connues. Or, celui-ci ne répond pas à l’une de ces formes car Hishâm Ibn ‘Ammâr compte parmi les professeurs d’Al Bukhâri sur lesquels ce dernier s’est appuyé dans plus d’un hadîth de son “ Sahîh ” ; ce qui est d’ailleurs exposé dans la présentation qu’a faite Al Hâfiz Ibn Hajar de ce Hishâm dans son introduction de “ Fath Al Bâri ”.
    Et qu’Al Bukhâri ne soit pas reconnu dissimulateur attribue à son propos ‘‘Il a dit.  » le même statut que les formules : “ D’après… ”, “ Il m’a relaté… ”, ou encore “ Il m’a dit… ”. […]

    Ibn As-Salâh à tenu, dans “ Muqaddimatu ‘Ulûm Al Hadîth ” un propos similaire à celui, cité ci-dessus, d’Al Hâfiz Al ‘Irâqi. Ainsi a-t-il dit : “ Sa forme est celle d’un hadîth interrompu, mais il n’en possède pas le statut et ne quitte pas la sphère de l’“ authentique ” pour celle du “ faible ”. ” […]

    Le but de notre propos est d’affirmer que le hadîth n’est pas interrompu entre Al Bukhâri et son sheikh Hishâm Ibn ‘Ammâr, ainsi que l’ont prétendu Ibn Hazam et ceux qui l’ont suivi parmi les contemporains. […]
    Et quand bien même nous supposions que cela soit avéré, une telle déficience n’est que relative, et l’on ne peut s’y raccrocher sachant que le hadîth nous est parvenu, selon d’autres voies dites “ liées ” (Mawsûla), par tout un groupe de rapporteurs, jugés de confiance et érudits, et l’ayant tous entendu de ce même Hishâm Ibn ‘Ammâr.
    Par conséquent, s’agripper dans de telles conditions à un tel (hypothétique) défaut, c’est clairement faire preuve du même entêtement que celui qui jugerait “ faible ” un hadîth dont la chaîne est authentique en se rattachant pour cela à une autre de ses chaînes répondant effectivement à un tel statut. […] ”

    [3] selon qui le hadîth constitue un texte stipulant que le chant n’est pas illicite.

    • Bon je vous lis…

      je me dis : mon Dieu, il existe donc des gens qui passent tant de temps à chercher à élucidier la véracité ou non d un hadith du VIIeme siecle, pour savoir si on a le droit d ecouter des chants.

      Quelle MISERE !!! Misere Morale…

    • D’accord avec vous… tout ce baratin blablablablablablabalala…. une artillerie de guerre contre un seul mot : amour…

    • Je remercie beaucoup le frère qui nous a fait de l’article sur l’interdiction de la musique qu’Allah le recompense.A mon avis je pense que le texte est bien claire
      qu’Allah nous guide

  12. Salam a’likoum

    Tous ceci est très instructif. Merci pour cet extrait !

    Cependant, mon esprit de contradiction pervers me dit : frère Tariq n’a pas diffusé un extrait de musique, mais plutôt un écrit.

    Salutations

  13. Cher Tariq,

    Pardonnez-moi, mais la chanson de Cabrel est pour moi un hymne médiocre, d’une poésie staracadémicienne. Je suis étonné qu’une sensibilité comme la vôtre en fasse vitrine.
    Peut-être un peu de démagogie ? Dans ce cas-là vous trouverez une résonnance certaine dans les paroles du R’n’B, paroles sucrées, mélodies sucre d’orge qui raviront les donzelles de tout poil.
    Amicalement,
    Patrick

    • JE SUIS deçu de votre opinion sur françil cabrel. C’est de votre droit de ne pas l’aimé mais jusqu’à affirmer qu’il est ….,j’ai honte à votre place. J’ai connu françis en 1987 et depuis j’ai toujours aimé la qualité de ces textes ,de ces melodies. Mieux je dirais qu’il est le meilleurs artiste français que je connais. ALORS DE grace ne venez pas nous insultés . ET D’ailleurs pour tout ce qui lirons se message je souhaite avoir toute la collection de françis. VOICI mon e-MAIL :[email protected]

  14. Salam,

    cette Chanson est trés spirituel.
    Seul ceux qui ont atteint cette maturité spirituel peuvent sasir certaine subtilité.

    Wa salam.

    • voila pourquoi l’enseignement est fondamental. il l’est d’autant plus qu’il a été ordonné ; cet ordre divin si souvent bafoué par delà les siècles a pris un nouvel horizon avec la démocratisation de l’école. notons par ailleurs qu’une vilénie horrible a été commis dans l’histoire et demeure encore de nos jours. je renvoie le lecteur à la volonté des hommes musulmans d’avoir exclu de leur pensée tout enseignement à l’égard des demoiselles . alors qu’il est dit dans le Coran « lit au nom de ton seigneur qui a créer »

  15. ta juste a fermer les yeux avc cette chanson et tu tenvole o paradis les parole sont touchante et l air a la guitard coule comme un ruiseau pui sa voi ce font dan lair de la guitard elle me fai réver et me fai oublier un peu le monde ou on vie ou c est que guerre et violance.

  16. C’est vrai l’amour est partout ou l’on regarde,peut etre pour nous faciliter le fait d’aimer car nous ne sommes fait que pour cela:pour aimer, pour L’Aimer. Celui qui ne l’a pas compris n’a rien compris!
    Et Aimer le Divin signifie aimer toute Sa création donc aimer tout ce que l’on regarde tout ce qui nous entoure ;lorsque l’on apprend à aimer ,l’ame se soulage, le coeur s’apaise ,enfin la paix s’installe!

  17. Colis. Crissez nous patience avec vos ostis de religions de colis.. sacrament. YA PAS DE DIEUX!!!! WTF. On est en 2006 ciboire. RÉVEILLEZ. Sortez de vos ostis de bulles de criss d’égocentriques, pis allez prendre une belle marche dehors. Allez parler avec vos voisins et faites le party. Faites les fous, l’amour et aidez les autres… mais arrêtez avec vos religions pis vos dieux. Il est temps d’avancer et d’évoluer. S’il vous plaît.

    • TU SAIS JE PENSSAIS COMME TOI A UNE EPOQUE MAIS DANS SA GRACE INFINI DIEU C’EST REVELER A MOI ET IL A CHANGER MA VIE. IL M’A DELIVRER DE LA DROGUE ET DE TTE SORTE DE VICE QUE JE COTOYAIS.
      JE SUIS ENCORE JEUNE JE N’EST QUE 20 ANS MAIS JE SUIS HEUREUX D’AVOIR DONNER MA VIE A DIEU CAR AUJOURD’HUI J’AI REELLEMENT DECOUVERT LA VERITABLE VIE QUE J’ATTENDAIS DESESPEREMMENT AUPARAVANT. SI TU NE CROIS PAS, DIS LUI SIMPLEMENT: »SEIGNEUR SI TU EXISTE REVELE TOI A MOI ». JE PEUX T’ASSURER QU’IL T’AIME ET QU’IL DESIRE TE RENCONTRER ET VIVRE AVEC TOI ET EN TOI. IL TE SUFFIT DE L’ACCEPTER DANS TA VIE ET IL VIENDRA. IL CHANGERA TA VIE COMME IL A CHANGER LA MIENNE. CROIS LE ET TU VERRAS. N’OUBLIE PAS DIEU T’AIME ET IL DESIRE TE RENCONTRER.CE N’EST PAS DES BETISES C’EST LA VERITE!!!

    • hey .

      je ne suis pas croyant non plus .

      mais je respecte tout ceu qui croient, tous .

      Et mm si celui à qui tu réponds ne semble pas très sérieux ( écris en majuscule… , ) essaie de t’en souvenir .

  18. ce texte de cabrel est magnifique et je croit quil ne peut etre compris que pour ceux qui sont doté l’inteligence, l’amour est le plus grade de la vie la clef de tout les mots.peut on comprendre le sens de ce mot? non!savez pourquoi? parceque les voix de leternel sont impenetrables. Dieu egale amour:-)

  19. J’aimerais tant vous rencontrer mais hélas pas de chance.Quand vous étiez arrivé à bamako j’étais et ai assisté à tout vos débats sur la colline de Badala. Mais à cause du monde j’ai pas pu vous rapproché. C’est pour vous dire que vous me plaisiez énormement et que je voudrais etre en rapport avec vous si cela est possible. Vous etes manifique et vous honorez tous les musulmans du monde merci. Islam a besoin des hommes comme vous aujourd’hui. Je vous souhaite beaucoup de courage et ssuis pret à me joindre à vous pour votre noble combat. Merci

  20. Celle-ci aussi est pas mal…

    TU ME CORRESPONDS

    Sous la lune

    Quelques-unes

    De mes pensées se défont

    Elles m’échappent

    Elles se drapent

    Dans leurs manteaux de saison

    J’imagine

    Qu’elles terminent

    Leurs courses au bord de ton balcon

    On devrait correspondre

    Puisque tu me corresponds

    Que deviennent

    Mes poèmes

    Quand ils prennent l’horizon

    Où partent

    Toutes ces cartes

    Qui se décrochent de mes cloisons

    Certaines

    Me reviennent

    Un peu plus troublées que de raison

    On devrait correspondre

    Puisque tu me corresponds

    Si je savais tourner autour de la Terre

    Si je savais comment faire

    Si j’avais ce don

    Je me collerais contre tes volets de fer

    J’y resterais tant qu’à faire

    Pour de bon

    Sur le fluide

    Qui les guide

    Toutes mes pensées s’en vont

    Je peux pas croire

    Qu’elles s’égarent

    Avant d’avoir trouvé ta maison

    Je présume

    Qu’elles y allument

    Toutes les lampes de ton salon

    On devrait correspondre

    Puisque tu me corresponds

    Je pensais tenir sous contrôle

    Tout mon cortège d’envies

    Mais je vois bien qu’à tour de rôle

    Chacune d’elles s’enfuit

    En longues portées de corolles

    Qui partent pour leur plus beau rôle

    S’enrouler à tes épaules

    Comme tout ce que j’écris

    On devrait correspondre

    Si je savais tourner autour de la Terre

    Si je savais comment faire

    Si j’avais ce don

    Je me collerais contre tes volets de fer

    J’y resterais tant qu’à faire

    Pour de bon

    Sous la lune

    Quelques-unes

    De mes pensées se défont

    Elles s’élèvent

    Et mon rêve

    À tes lèvres loin se confond

    Quelle chance

    Quand j’y pense

    Je suis sûr qu’il danse à ton front

    On devrait correspondre

    Puisque tu me corresponds

    Francis Cabrel

    • « … Jusqu’au sommet suprême où son œil enchanté

      S’empare de l’espace, et plane en liberté. »

      (…)

      Rester … pour apprendre

      Le cœur dans ses reflets

      (…)

      Le cœur qui parle à toi, à moi et dit

      Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai

      (…)

      Mes doigts pris dans tes doigts,

      la gauche qui tient la droite

      (…)

      Comme un printemps, un diamant tombé sur notre trajet

      Nous recevons ces cadeaux et rendons grâce dans la prière

      (…)

      « Qui es Tu donc ? Tu qui donnes la Lumière

      Et connais notre cœur dans les larmes de ses reflets

      (…)

      Nous Te prions … de faire de notre fragilité une force nouvelle

      Pour apprendre à vivre dans Ton amour, à Le retrouver partout »

      (…)

      Comme un enfant nue sur les galets,

      Nous sommes ici, un nouveau « nous » en Lui!

    • Une réponse s’est-elle perdue? Dommage. je l’avais écrite avec coeur. Je ne sais la redire.

      Touchée en tout cas infiniment par ces mots

      Rester pour apprendre encore le coeur dans ses reflets

      Mes doigts pris dans tes doigts

      Je t’aimais, je taime et je t’aimerai…

      Gratitude infinie pour le cadeau reçu.

      Au nouveau « nous », à l’innocence, en Lui, en Sa miséricorde et Sa grâce.

  21. Je ne veux pas briser vos petit rêves religieux, mais cette chanson est faîte pour une fille…

    Ne me répondez pas  » mais oui mais c’est parceque tu n’a pas la maturité spirituel pour la comprendre etc… » comme ça a déjà été dit. Se serait d’une part émétre un jugement à tors, et aussi manquer de respect au personne a laquelle vous le dites…

    Je connais de nombreuse oeuvres de Cabrel et par sa poésie et sa sensibilité, je peux entrevoir ce que pourrait être aussi sa personne. Et je vous le dit mon sentiment ne me donne aucun doute : Ces paroles son pour un fille.

    • Mais le texte peut être utilisé dans différents contextes ! C’est ça qui est fort dans cette magnifique chanson.

  22. Merci pour cette magnifique chanson. Elle a accompagne la personne qui m’etait la plus chere dans son dernier voyage. Cela fait mainteant 3 ans mais les paroles restaient, restent et resteront a jamais dans ma memoire.
    C’est un magnifique hommage a l’amour et aussi un formidable message d’espoir. Meme si le temps attenue la douleur il n’efface pas le souvenir. Pour conclure je ne serais pas tres original « Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerais »

    • je ne pourrais affirmer que oui l’enfant dans cette chanson est « parti » mais c’est cette chanson que j’ai choisi pour ma fille le jour de ses funérailles….

  23. ta chanson est vrm touchante moi jai perdu mon pere le 11 mars 2007 et javait que 16 ans serieux cette chansons est vrm touchante

    • Et que l’amour qui est en toi veille sur ton sommeil et tes heures de vie.

      Sur le chemin, ensemble et séparés, nous allons.

      Une dame seule et son ami fidèle.

      A la poésie, l’amour et l’amitié.

      En Lui.

    • ~~

      Tant qu’il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent ; tant qu’une lèvre répondra en soupirant à la lèvre qui soupire ; tant que deux âmes pourront se confondre dans un baiser, il y aura de la poésie !

      ~~

      Gustavo Adolfo Bécquer

      ~~

    • S’entêter avec le cœur jusqu’à reconnaître véritablement l’autre est l’Alpha de toute philosophie. Pour élever un dialogue au niveau de l’acte poétique, il faut être au moins deux qui se reconnaissent comme mutuellement indispensables.

      Daniel Pons

    • Celui qui part peut-il être indispensable à quiconque?

      Difficile de se détacher lorsqu’on a vécu le plus proche.

      Difficile de rester proche lorsqu’on a vécu le départ, et l’abandon, et le départ.

      Bonne route quoiqu’il en soit au voyageur, dont je crains qu’il ne soit pas heureux mais dont j’espère au moins qu’il est en paix!

    • [LE MAL AIMÉ->http://www.dailymotion.com/video/xs87h_le-mal-aime_music]

      J’ai besoin qu’on m’aime,
      Mais personne ne comprend
      Ce que j’espère et que j’attends.
      Qui pourrait me dire qui je suis ?
      Et j’ai bien peur
      Toute ma vie d’être incompris
      Car aujourd’hui je me sens mal aimé,

      Je suis le mal aimé.
      Les gens me connaissent tel que je veux me montrer.
      Mais ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ?
      Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.

      Si les apparences sont quelquefois contre moi,
      Je ne suis pas ce que l’on croit.
      Contre l’aventure de chaque jour,
      J’échangerais demain la joie d’un seul amour.
      Mais je suis là comme avant mal aimé,

      Je suis le mal aimé.
      Les gens me connaissent tel que je veux me montrer.
      Mais ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ?
      Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.

      Car je suis mal aimé,
      Je suis le mal aimé.
      Les gens me connaissent tel que je veux me montrer.
      Ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ?
      Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.

      Oh je suis mal aimé,
      Je suis le mal aimé.
      Les gens me connaissent tel que je veux me montrer.
      Mais ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ?
      Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.

      Oui je suis mal aimé, c’est vrai,
      Je suis le mal aimé.
      Les gens me connaissent tel que je veux me montrer.
      Mais ont-ils cherché à savoir d’où me viennent mes joies ?
      Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.

      Claude François

      [http://www.dailymotion.com/video/xs87h_le-mal-aime_music->http://www.dailymotion.com/video/xs87h_le-mal-aime_music]

    • Il fut le bien-aimé, tant et tant.

      Et puis, l’épreuve, l’absence, la fuite…

      Comment aimer celui qui abandonne dans la détresse et jette sur cela le voile de l’oubli?

      On voudrait… Mais les ailes sont coupées…

      Il faudrait pouvoir se dire. Il faudrait…

      Pour comprendre et peut-être effacer…

      Reste sinon le temps, couvrant tous ces jours partagés d’une couche d’oubli comme un manteau de neige recouvre le printemps.

    • A mon soleil,

      Tu étais, tu es et tu seras le bien-aimé, toujours
      Un cadeau tissé au fil de l’amour

      Aussi, tu es la rencontre extraordinaire :
      « Dieu nous donne la robe selon le froid. Nous avons toujours des grâces extraordinaires pour soutenir les événements extraordinaires. »
      St François de Sales

      Et puis, face à l’aveuglement…, à la défaillance…
      Il faudrait ouvrir le cœur au don du pardon et se laisser guider par Sa lumière :
      « Il faut faire de toute faute un rebondissement vers un plus grand amour. »
      Guy de Larigaudie

      Ta fleur de printemps.

      ___
      PS : La neige a fondu

    • Un sourire, une larme. Emue. Mais…

      Je ne sais.

      La tendresse est restée.

      Mais l’élan, la confiance,..

      Ce fut un tel traumatisme, suivi d’un autre dans la même période, pour lequel « petite perle précieuse » vous n’êtes pour rien. Mais deux repères perdus en même temps, cela laisse des marques, si profondes.

      J’ai tellement perdu en émerveillement, en finesse. Tellement.

      Je ne sais.

      Aucune comptabilité en amour. Le flot d’amour est abondant. Mais une grande fragilité.

      Et puis, toujours derrière un écran. Pour apprendre un jour que cela n’est pas vrai? Que je parle à un inconnu qui joue avec mon coeur?

      Je ne sais.

      J’aimerai tant, mais…

      Merci pour le sourire et merci pour les larmes,

      ce jour comme les autres.

      Je ne sais. Mais…

      A l’amour, à la grâce et à la destinée.

      En Lui.

    • Cher Inconnu,
      Ce message est un vrai casse tête chinois, je vous avoue que je ne le comprends pas. Aussi, vos mots me font profondément mal, ils émettent des ondes négatives. A la seule lecture, je me sens mal.

      Je voudrais au passage faire savoir à mon bien-aimé que je suis et je serai toujours là pour l’accueillir, qu’il peut compter sur moi et sur la fidélité de mon amour pour lui. Et que si un jour, il venait à perdre l’élan, la confiance, l’émerveillement, la finesse, je serai là pour l’accompagner à unifier son intériorité afin qu’il puisse se réaliser pleinement.

    • Mes mots, Petite pierre précieuse, n’avaient pour but que de vous communiquer ce que j’ai éprouvé à la lecture de votre message.

      Un mélange entre joie et crainte. C’est beau un soleil. Mais impressionnant aussi. Peut-on être cela sans décevoir un jour?

      Mes mots n’avaient pas pour but de vous blesser, ni de vous poser un casse-tête.

      Quelques-uns d’entre eux, je les ai utilisés ailleurs, en d’autre temps. Par exemple, ce « jour comme les autres » où ce fut le début si peu imaginable d’une rencontre comme l’on n’en fait pas d’autre dans une vie.

      Mais cela fait maintenant plus d’un an et demi que j’espérais des mots pour effacer la peine et la souffrance, celles d’un abandon au moment d’une épreuve majeure de ma vie.

      Je suis touchée par vos mots, vraiment. Comment ne pas l’être?

      Et j’admets que l’on puisse avoir peur, avoir une défaillance. Le pardon, il sera là dès que la demande sera là aussi. Il attend depuis longtemps derrière la barrière des mots.

      Mais ce dont j’ai peur aussi, c’est de rester ici, dans le monde virtuel, éternellement.

      Vous savez bien que je ne suis pas inconnue. Tant de mots échangés ici et ailleurs, depuis tant d’années. N’en avez-vous pas le souvenir?

      Peut-être n’arrivez-vous pas à faire autrement. Peut-être êtes vous trop fragile. Peut-être. J’ai parfois peur pour vous et je ne vous oublie pas dans mes prières, ni dans ma vie.

      Mais je crains beaucoup de m’égarer dans un monde imaginaire.

      Or nos vies, la mienne, la vôtre, Petite pierre précieuse, ne peuvent pas seulement tourner autour d’un écran.

      Je vous souhaite très sincèrement le meilleur, la paix du coeur.

      Que la Lumière vous aime et vous accompagne jour après jour.

    • « Ayez la foi. Chaque événement que nous vivons et chaque personne que nous rencontrons ont été placés sur notre chemin pour une raison précise. »
      Cheryl Richardson

      Oui, « …une rencontre comme l’on ne fait pas d’autre dans une vie ».
      Dieu m’a fait un cadeau parmi tant de cadeaux de la vie. Aussi, il m’a fait le don de rencontrer mon bien-aimé, de l’aimer dans la joie, ravissement de sa présence et dans la peine, tristesse de son absence-présence. De l’aimer d’un amour si fort que j’arrive à dépasser, à pardonner les déceptions car au cœur de ma vie l’émotion amoureuse existe, j’en suis imprégnée, c’est comme si j’étais immunisée contre le désamour. Tout ce qui provient de mon bien-aimé est amour, vie et présence de Dieu. C’est amour c’est un prolongement de la foi.

      Pour ce qui me concerne, le monde virtuel est là pour témoigner à distance la présence fidèle, l’amour sincère. Le monde virtuel n’est pas imaginaire car les sentiments sont là, la tristesse de l’absence est là, les larmes messagères des peines sont là et aussi l’amour est là, conscient de son désir… Pour ne pas rester éternellement dans le monde virtuel, il faudrait s’ouvrir à l’autre, s’épancher, se rapprocher… Tout est possible, il suffit de le vouloir. Je le veux et vous le voulez-vous ?

      Je pense être capable de faire autrement, seulement la possibilité ne m’en est pas donnée. Je suis fragile et forte à la fois. J’ai parfois peur pour vous aussi, je ne vous oublie pas, vous êtes constamment dans mon cœur et dans mes pensées…

      Je me souviens de tous ces mots échangés ici et ailleurs. Il m’arrive de les lire et de les relire, de m’émouvoir et de pleurer aussi.

      En effet, nos vies, la vôtre, la mienne, ne peuvent pas seulement tourner autour d’un écran, je voudrais tellement vivre ce que j’ai à vivre.

      Le meilleur pour la paix du cœur, c’est d’être auprès de mon bien-aimé.

      Merci pour votre message.

      Que Dieu vous aime et vous garde.

    • Ce message contient ce qu’en psychologie on appelle un « double bind »..

      Il suffit de vouloir, mais par ailleurs ce n’est pas possible.

      Double bind.. La tentative pour rendre l’autre fou (Cooper, je crois).

      Bon, il vaut mieux lâcher prise. Pour un désarmement fut-il unilatéral.

      Que Dieu vous aide et vous aime.

    • Ce qui manque : la confiance.

      Parce qu’à un moment clé, il y a eu retrait volontaire… La blessure ne guérit pas…

      Je le voudrais, mais ne le peux. Je me nierais moi-même.

      Une fuite qui a brisé la confiance. Confiance, quel beau mot. C’est en confiance que l’on construit. Cum, avec..

      C’est en confiance quel’on partage, que l’on parcourt ensemble un chemin….

      Ici, personne n’est avec personne. Ici, c’est un clavier qui est frappé par des doigts, des doigts conduits par une pensée, dans sa solitude et son inquiétude.

      Qui me lira, qui comprendra?

    • « L’épisode de la Porsche avait résonné comme un premier coup d’essai hésitant. Puis le monde entier a assisté à un passage à l’acte, ce qui, pour nous, n’est jamais totalement insensé. Ces actes, ces gestes, ces écarts de langage semblent surgir du plus profond de nous, et ils nous « agissent » davantage que nous ne les agissons. Passer brillamment des examens ou des entretiens d’embauche et ne pas se réveiller pour l’ultime épreuve, vivre dans l’adoration d’un être aimé et le trahir à l’acmé de la relation, commettre une infraction en face des forces de l’ordre ou donner un coup de boule quelques secondes avant la fin du match…Nous pressentons que ces actes ont un sens profond, caché, mystérieux qui nous dépasse et que nous tentons désespérément de déchiffrer. Ils disent notre ambivalence fondamentale entre la volonté de construire, d’aimer, de devenir et celle plus sournoise de renouer avec le pulsionnel, l’infantile, l’inanimé. Lorsque cette volonté de s’élever ne parvient plus à colmater les failles qu’elle tente de dissimuler survient alors un mouvement qui fascine, car il est tapi au plus profond de nous, un narcissisme de mort qui vise à notre propre anéantissement. Toutes ces conduites autodestructrices qui nous sont aujourd’hui familières s’appuient sur cette dualité. Eros et Thanatos : l’amour, l’estime, la confiance qui semblent aller de soi sont contrariés de toutes parts. »Extrait d’un article concernant DSK.. mais il me parle aussi d’autre chose…

      Regarde, comme tout est devenu terne…

      Que Dieu nous garde. Son pardon est infini.

      Essayons d’aller en paix, comme on peut, même les ailes brisées.

    • oui je te lis et t’ai compris..

      Mais pourquoi vouloir retenir un être qui veut partir, se libérer d’une histoire qui était vouée à se terminer de toute façon..

      Il existe des coeurs libres et désireux de s’engager.. alors passe à autre chose.. vis et aime mais ne reste pas bloquée sur une fausse histoire d’amour, un amour imaginaire !!!

      On ne retient jamais un être qui s’en va, ce n’est pas cela l’amour.. et surtout n’espère plus rien de cette idylle qui n’etait que chimère..

      En Sa grâce

    • Ce talent pour blesser…

      Le titre est toujours « A l’amour, à la poésie »…

      Assez incongru, non?

      Etes-vous satisfait de vous? Vraiment satsifait?

    • « Et j’admets que l’on puisse avoir peur, avoir une défaillance. Le pardon, il sera là dès que la demande sera là aussi. Il attend depuis longtemps derrière la barrière des mots. »

      Que dire de plus?

      Que Dieu vous aime et vous accorde la paix du coeur.

    • Salam

      Au détours de tes messages, je crains que tu ne vives dans l’illusion.. on ne part que lorsque l’on aime pas ou plus…

      Aimer derrière un écran ce n’est pas l’amour c’est juste une projection de ses propres attentes le reflets de ses peines..

      Rien ne sert d’espérer car il n’y a rien de plus que de simples messages échangés..

      Haut les coeurs, rien à vivre ensemble, juste une correspondance virtuelle l’amour est ailleurs..vraiment….vraiment

  24. vous n’aimez pas edith piaf? mon texte de la chanson « la foule » a ete zappé..? dommage pour un si beau texte..

  25. Francis Cabrel @ Paleo 2009 je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

    [http://www.youtube.com/watch?v=FIy368cVTlw->http://www.youtube.com/watch?v=FIy368cVTlw]

    Qu’un regret : n’y avoir point été…

  26. Que la paix soit sur toi Ramadan,

    Tes propos sont d’une telle sincérité et élogance, qu’on ne peut s’en lasser. Une telle complicité entre un enfant et son pére est tout à fait admirable. Qu’Allah te la/le protége et qu’Il Exalté soit-Il te récompense pour tout tes efforts à vouloir guider les musulmans vers la droiture et l’ouverture d’esprit (le réformisme). Tu es mon modèle et très souvent ma référence dans mes propos… Je t’aime en Allah

  27. Salam alikoum
    Lisez juste le dernier couplet ,on a l’impression que c’est dody el fayed qui parle a lady diana ,suite a l’accident sous le pont de l’alma
    pourtant la chanson a été écrtite bien avant
    Salam alikoum

  28. Salam,

    c’est incroyable comme cette chanson m’a aussi marqué, cet amour que Cabrel décrit est si puissant pur, et si « integratif » qu’il ne décrit que celui que peut avoir un croyant pour son Seigneur, n’est-ce pas ?

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