Certains auront vu l’émission Culture et Dépendances diffusée le 14 décembre 2005 et à laquelle j’ai participé. D’aucuns auront été choqués par les méthodes de l’élu socialiste Manuel Valls dont la stratégie consistait à me couper systématiquement la parole pour brouiller le débat et, au fond, pour le rendre impossible. Tristes procédés au travers desquels on a pu sentir le fiel autant que le mépris : répondre à cela serait perdre son temps… Ma déception ne provient point de là. Pour des raisons que je ne m’explique pas (ou alors simplement à cause de la gestion du temps), une partie de l’émission a été coupée et notamment à un des moments les plus importants pour moi et qui concernait le débat autour du livre de Pierre Péan, Noires fureurs, Blancs menteurs. J’ai fortement réagi lors de la discussion autour de ce livre mais rien n’en est resté et je ne peux éthiquement laisser passer cette impression d’être demeuré silencieux alors que l’on discutait d’un livre dont le contenu est proprement scandaleux et dont certains propos ou citations tiennent du racisme le plus ordinairement laid. Je suis intervenu sur trois points : Après l’introduction du livre par Franz-Olivier Giesbert, Elisabeth Lévy a donné une interprétation très tendancieuse quant aux raisons des critiques auxquelles Pierre Péan faisait face depuis la sortie du livre. On louait ses livres, disait-elle en substance, quand il dénigrait la France mais on le critiquait aujourd’hui parce qu’il présentait une image positive de ce pays dont le rôle avait été « des plus honorables » au Rwanda. Les critiques étaient donc de simples manifestations de cette « haine de la France » qui de plus en plus s’exprime ouvertement. Je suis intervenu pour dire qu’il n’était pas admissible d’entendre cela. On pouvait bien, et avec quelque raison, vouloir réétudier les causes et les responsabilités de l’assassinat du Président rwandais Juvénal Habyarimana, le 6 avril 1994 ; on pouvait bien encore vouloir essayer de réhabiliter un tant soit peu la France… mais il ne pouvait être question de mentir sur les faits. M.Pierre Péan a présenté l’opération « Turquoise » comme strictement humanitaire alors que l’on sait – les témoignages en ce sens sont multiples et sont confirmés par diverses sources – qu’il s’est aussi agi d’un soutien en armes autant qu’en logistique. Le rôle de la France, ses mensonges et ses complicités avant, pendant et après le génocide rwandais sont des faits vérifiés et accablants : le dire, ce n’est point manifester « une haine de la France », c’est tout simplement énoncer des vérités qu’il faut assumer et tout autant condamner. Certains propos de Pierre Péan, de son propre fait ou présentés sous forme de citations, sont absolument inacceptables. Rapporter que Alors que le Professeur Alain Deloche parlait lui-même sur le plateau de Culture et Dépendances de 1 million de morts ; je me suis permis de rappeler à Pierre Péan qu’il citait une source – sans la contredire – affirmant qu’il n’y aurait eu que 280 000 morts. Ce décompte macabre, revu cyniquement à la baisse, et qui contredit tous les faits avérés en dit, à lui seul, long sur la façon dont Pierre Péan non seulement cherche à réhabiliter la France mais surtout à minimiser l’ampleur d’un génocide dont la communauté internationale, les Nations Unies, et la France au premier chef, devraient avoir honte. Pour le moins. J’ai plusieurs fois répété, au cours de mes échanges avec Pierre Péan sur le plateau de Culture et Dépendances que son livre et ses propos n’étaient pas acceptables. Je ne sais qui a commandité ce livre et pourquoi il est publié aujourd’hui avec cet invraisemblable contenu… je ne le sais pas. Je ne tiens pas à la savoir. Je sais uniquement que ce livre n’honore pas son auteur et je veux dire et redire ici à tous mes amis rwandais, à tous ceux qui se sont engagés pour que le génocide cesse, que la lumière soit faite et que la dignité soit retrouvée, que je ne cesserai jamais de dénoncer le mensonge et les manipulations outrancières qui hantent ce malheureux dossier. Les gouvernements français successifs, de gauche comme de droite, portent des responsabilités avérées et accablantes sur le déroulement des massacres au Rwanda. C’est cela que la classe politique française doit assumer ne serait-ce que pour se donner les moyens psychologiques et intellectuels de changer d’attitude en Afrique. Nous en sommes loin. Paul Kagamé n’est pas un ange mais ce n’est pas en le transformant en démon (il ne pouvait pas de pas savoir que des massacres seraient la conséquence de l’assassinat de Habyarimana nous dit Pierre Péan) que la France se transformera, elle, en supposé ange gardien du Rwanda. La lecture du livre de Pierre m’a fait mal. Très mal. Autant de mensonges et de malhonnêteté intellectuelle caractérisée est insupportable. Mes critiques n’ont pas été rendues à l’antenne et tout silence ne pouvait apparaître que comme de la complicité. C’est parce que je ne pouvais le supporter que j’ai écrit ces lignes et parce que jamais mon silence ne sera complice de ceux qui ont été responsables de l’horreur génocidaire, qui l’ont facilitée ou qui l’ont laissé faire.
: « La culture du mensonge et de la dissimulation domine toutes les autres chez les Tutsis » ou affirmer que « Cette formation au mensonge a été observée par les premiers Européens qui ont eu un contact privilégié avec les Tutsis »… sont autant de propos racistes avec un caractère aggravant ici puisque M. Péan écrit un livre sur le génocide tutsis. Il n’hésite pas non plus à laisser entendre que lesdits Tutsis utilisent leurs « belles femmes » pour faire accepter leur version tronquée des faits. J’ai cité ces propos et je les ai dénoncé lors de l’émission et je continuerai à le faire : certains propos de Pierre Péan le déshonorent.
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C h e r . M o n s i e u r . R a m a d a n,
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Après avoir vu l’émission « Culture et Dépendances » du 14 décembre dernier, j’ai pensé qu’on pouvait établir une analogie entre le comportement de M. Manuel Valls et le vôtre sur le plateau de télévision et le poème d’Antoine Laurent de Jussieu.
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P r e m i è r e . a p p r o c h e
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Le lierre :
Plante à feuille persistante de la famille des araliacées. A la réputation d’être déséquilibrée et asymétrique, s’allonge démesurément d’où le besoin d’une taille d’entretien tout au long de l’année.
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La vigne :
Arbrisseau grimpant de la famille des vitacées cultivé pour ses baies comestibles appelées raisin.
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La main du jardiner :
Utile et bénéfique pour favoriser une bonne croissance du sujet, rétablir l’harmonie et l’ordre de la nature.
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D i s t r i b u t i o n . d e s . r ô l e s
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Le lierre :
M. Manuel Valls, monopolisateur d’espace, arrogant, instable, intenable
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La vigne :
M. Tariq Ramadan, modéré, cultivé, raisonnable, bienséant
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La main du jardinier :
La main de la justice
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***Antoine Laurent de Jussieu (1748 – 1836)***
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L e . l i e r r e . e t . l a . v i g n e
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Sur le mur d’un vieil ermitage,
Un lierre avec orgueil étalait son feuillage.
Une vigne, tout près de lui,
Grimpait modestement le long de même appui.
De son inutile verdure
Fier et vain comme un sot, le lierre, sans égard,
Repoussait sa voisine et couvrait la masure.
La pauvre vigne, sans murmure,
Se retirait toujours, cherchant place à l’écart.
Mais chacun eut son tour, et justice fut faite.
Un jardinier s’avance, armé de sa serpette;
Il vient pour réparer le manoir délaissé.
Sans peine on devine le reste.
L’orgueilleux inutile, arraché, dispersé,
Laisse le mur débarrassé
À la vigne utile et modeste.
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E n . c o n c l u s i o n
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Tel est la fin de celui qui agit mal. En effet, à force de trop vouloir étaler son bavardage (feuillage), par des procédés malhonnêtes et empêcher d’autres de s’exprimer convenablement, M. Manuel Valls (le lierre) pourrait se retrouver taillé de son outrageante verve.
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Bien à vous, Monsieur Ramadan.
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J’ai vu ce débat, (ou faux débat). Ce Monsieur Valls est tellement imbu de sa personne, tellement faux, tellement arrogeant et tenant un discours discriminatoire, en le cachant dans l’habillage habituel français de laïcité de République et de » gauche » et que sais-je encore, alors que tout le monde sait à présent la faillite de tous ces concepts, vidés de leurs sens par des français qui s’estiment plus français que les autres et qui officiellement hiérarchisent les racismes et les discriminations, pour instaurer des lois coercitives contre l’antisémitisme ( j’ai jamais compris le sens de ce mot chez les français et leurs acolytes, le sémitisme, devrait originellement désigner toute appartenance aux descendants de Sem, Arabes et autres peuples de l’Asie occidentale, et non un peuple en particulier, qui est monté en puissance et qui voudrait s’approprier même l’étymologie.) je reviens à la France qui apparaît aujourd’hui comme le socle du racisme anti-arabe, anti-noire, et islamophobe, nul n’est dupe en France ou ailleurs, aucun vote ne doit être donné aux « valls » et à leurs semblables, gauche, droit, centre, peu importe, quand on ne respecte pas l’histoire des peuples, quand on leur nient même le droit à la mémoire, quand l’insulte de l’Islam et sa caricature systématique est pratiquée à grande échelle par ces intellectuels, ces « philosophes », et ces « historiens » hypocrites et à la solde, comme les « valls » les « crottes » et j’en passe.
Et ce « valls » antipathique, intolérant, et haineux envers toutes les minorités qu’il dit défendre dans les banlieux auxquels on refuse leurs droits les plus élémentaires alors qu’ils sont citoyens français au mêmes titres que lui, de taxer à chaque fois Monsieur Ramadan de discours religieux, double discours, appartenir aux Frères musulmans, qu’en sait-il ? Qu’en sait-il de l’Islam ?
toutes les minorités culturelles en France devront refuser leur vote à ces élus, et demander l’abrogation de la loi Gayssot, qui est non seulement anti-constitutionnelle mais qui reconnaît une hiérarchie des discriminations, pour élaborer une loi contre toutes les discrimination de toute sorte, conformément au principe constitutionnel de l’égalité devant la loi : discrimination basée sur la couleur, le sexe, le religion, ou l’appartenance à une minorité, et qui étendrait la protection aux droits sociaux et économiques.
NE BAISSEZ PAS LES BRAS FACE A DE TELS INDIVIDUS A DE TELLES EPREUVES;DITES VOUS QU IL Y A BEAUCOUP DE PERSONNES QUI SONT AVEC VOUS QUI VOUS SOUTIENNENT ET REMETTEZ VOUS EN A DIEU C EST VOTRE SEUL GARANT…CONFIDENT.
SALAM AHLIKOUM.
salam aleykoum!
malgré l effort constant des médias pour vous discréditer auprés des musulmans de france , je voudrais vous dire que vos paroles et vos actions sont dans les coeurs de beaucoup de fréres et soeurs .
Merci pour vos livres , merci pour vos prises de paroles; que la paix soit sur vous.
Le destin des Indiens d’Amérique annonçait celui de l’ensemble des habitants de la planète qui assistent impuissants à la destruction de leur environnement, réduits à la misère et l’esclavage après la confiscation de leur espace et de leurs ressources.
Le message des Indiens est aussi une source de sagesse, fondée sur le respect de la nature et
-la compréhension de l« ‘Esprit qui est en toute chose »…
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–Chef indien au gouverneur de Pennsylvanie en 1796
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« Nous le savons : la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. Nous le savons : toutes choses sont liées. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de tissu. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui-même.
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–Crazy Horse, grand chef Sioux du clan Oglalas
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– « Vous êtes déjà si misérables que vous ne pouvez le devenir plus. Quel genre d’homme doivent être les Européens ? Quelle espèce de créature choisissent-ils d’être, forcés de faire le bien et n’ayant pour éviter le mal d’autre inspiration que la peur de la punition ? (…) L’homme n’est pas seulement celui qui marche debout sur ses jambes, qui sait la lecture et l’écriture et montrer mille exemples de son industrie…
– En vérité mon cher frère, je te plains du plus profond de mon âme. Suis mon conseil et devient Huron. Je vois clairement la profonde différence entre ma condition et la tienne.
– Je suis le maître de ma condition. Je suis le maître de mon corps, j’ai l’entière disposition de moi-même, je fais ce qui me plaît, je suis le premier et le dernier de ma nation, je ne crains absolument aucun homme, je dépends seulement du Grand Esprit.
Il n’en est pas de même pour toi. Ton corps aussi bien que ton âme sont condamnés à dépendre de ton grand capitaine, ton vice-roi dispose de toi.
– Tu n’as pas la liberté de faire ce que tu as dans l’esprit. Tu as peur des voleurs, des assassins, des faux-témoins, etc. Et tu dépends d’une infinité de personne dont la place est située au-dessus de la tienne. N’est-ce pas vrai ? »
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– Kondiarionk, chef Huron, s’adressant au baron de Lahontan, lieutenant français en Terre-Neuve
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« Les hommes blancs annonçaient bien haut que leurs lois étaient faites pour tout le monde, mais il devint tout de suite clair que, tout en espérant nous les faire adopter,
-ils ne se gênaient pas pour les briser eux-mêmes.
Leurs sages nous conseillaient d’adopter leur religion mais nous découvrîmes vite qu’il en existait un grand nombre.
-Nous ne pouvions les comprendre, et deux hommes blancs étaient rarement d’accord sur celle qu’il fallait prendre.
Cela nous gêna beaucoup jusqu’au jour où nous comprîmes que
–l’homme blanc ne prenait pas plus sa religion au sérieux que ses lois.
Il les gardait à portée de la main, comme des instruments, pour les employer à sa guise dans ses rapports avec les étrangers. »
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– Pachgantschilhilas, chef des Delawares
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« Chaque année notre envahisseur blanc devient plus avide, exigeant, oppressif et autoritaire…
La misère et l’oppression, tel est le lot qui nous échoit… Ne sommes-nous pas dépouillés jour après jour du peu de liberté qui nous reste ? A moins que les tribus ne se liguent unanimement pour modérer les ambitions et l’avidité des Blancs, ils nous auront bientôt tous conquis et désunis, nous serons chassés de notre pays natal et éparpillés comme les feuilles d’automne par le vent. »
Source
[http://lesogres.org/article.php3?id_article=327->http://lesogres.org/article.php3?id_article=327]
salam Alaykoum,
Voir ci-aprés article sur le génocide rwandais. Tarek Ramadan avait dénoncé le livre de Pierre Péan à « Cultures et dépendances » . je le mets ici à l’attention des internautes :
GENOCIDE RWANDAIS – NOUVELOBS.COM | 24.01.06 | 14:58 Des rescapés vont poursuivre Pierre Péan
La principale association de rescapés du génocide de 1994 accuse le journaliste, auteur de « Noires fureurs, Blancs menteurs », de « propos quasi-négationnistes ». I buka, la principale association de rescapés du génocide de 1994 au Rwanda, a annoncé mardi 24 janvier à Kigali son intention d’engager en février une action judiciaire en France et en Belgique contre le journaliste français Pierre Péan. Le célèbre journaliste-écrivain français a publié en novembre « Noires fureurs, Blancs menteurs », un livre controversé dans lequel il défend l’attitude de la France lors du génocide de 1994 au Rwanda. L’association l’accuse notamment de « propos quasi-négationnistes ». « Nous avons pris la résolution d’attaquer en justice Pierre Péan », a déclaré mardi François-Xavier Ngarambe, président d’Ibuka, lors d’une conférence de presse à Kigali. Selon François-Xavier Ngarambe, l’auteur a tenu dans son livre « des propos révisionnistes et quasi-négationnistes » à propos du génocide de 1994. Ces massacres avaient fait, selon l’Onu, près de 800.000 morts, essentiellement au sein de la minorité tutsie.
« Haine raciale envers les Tutsis »
« C’est un ouvrage du plus radical des racismes », a lancé le président d’Ibuka, accusant Pierre Péan de « haine raciale envers les Tutsis ».
Les rescapés « ont chargé maître Xavier Dhonte, avocat en France, et maître Bernard Maingain, avocat en Belgique, de prendre toutes les initiatives au niveau pénal et civil en vue de faire reconnaître leurs droits », a fait savoir Ibuka dans un communiqué. Me Maingain, également présent à ce point de presse, a affirmé que la procédure sera engagée en février en France et en Belgique. « M. Péan a franchi des frontières importantes (…), ce livre a gravement porté atteinte à l’ordre symbolique des choses », a estimé l’avocat belge.
Il a en outre accusé le journaliste de « banaliser » la jurisprudence du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), chargé de rechercher et juger les principaux responsables du génocide de 1994
Je suis désolé de lire tardivement cet article.
Je préfère lire les livres des deux bords, ainsi en homme intélligent, je ferais moi-même la part des choses. Ce serait trop idiot de croire en tout ce qu’écrivent les Braeckman, les VERSCHRAVE, etc… tout comme ce le serait en croyant en Péan et les autres.
Il serait trop stupide de prendre pour vérité d’évangile ces tutsis et leurs pousseurs occcidentaux dans l’usage qu’ils font des mots comme REVISIONNISME, NEGATIONNISME. En lisant RUZIBIZA, on a quelques lueurs pour comprendre le drame rwandais.
Carlos DE MEDEIROS
Monsieur Carlos
Vous ne voulez-pas croire en ces tutsis qui eux ont vraiment vécu le génocide? Vous préférez croire en ce Monsieur Ruzibiza et ses écris? Eh bien, vérifiez vos sources et vous en serez vous mêmes surpris. N’est par or tout ce qui brille Monsieur. Vérifiez plutôt son histoire à lui, ce Ruzibiza, et vous saurez où est caché la vérité, la vraie. Qui est vraiment ce Ruzibiza? Quelle est la véracité de ces histoires soit-disant vécus? Visitez le Rwanda, vous verrez de vos yeux que ses histoires manquent de faisabilité et de réalisme.
Lucianna.
Que la paix soit avec vous;
On a besoin de la vérité,je ne connais pas bien le dossier du genocide au Rwanda mais ca me fait plaisir que vous interveniez dessus pour reclamer la vérité.La seule solution est de demander pardon quand on sait avoir manqué à son devoir envers un peuple tout entier.
Que la paix soit avec vous;
salam alikoum
merci pour tout ce que vous fetes .que la paix soit sur vous.
salam alaykoum,
c’est avec étonnement que j’ai reconnu votre nom meghan eivans. en effet il y a 5 ans environ j’ai lu votre étude sur l’urbanisme colonial qui est d’un gd intérêt. en voyant votre nom je ne pouvais qu’être agréablement surpris, en espérant que ce travail sera porté à la connaissance d’un grand nombre.
salam alaykoum et que Dieu vous accorde son assistance dans votre travail.
je vous avais remarqué pour la 1ère fois lors de cette émission,malgré lescoupures que vous signalez, sachez cher monsieur que vous avez un charisme extraordinaire et une intelligence à faire peur aux gens qui ont des choses à cacher. je ne suis pas musulmane mais la noble lutte et combat pour la justice ,le respect et l’amour pour l’humanité que vous menez, votre intervention face à De Villiers et cet article vous honore. merci pour tout.
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