« La position prise dans le texte est celle de son auteur et pas forcément celle du site qui l’accueille et la publie »
Où suis-je née ?
D’une ronde à l’infini…
Je t’écris d’une contrée des quatre vents,
Je t’écris de là, où, nait la perce-neige évent,
Je flânais à mi-chemin… au bout de l’horizon, se crayonnait l’ombre d’un enfant en exil,
Mon âme y papillonnait une hymne à la liberté
Une ode à l’éveil,
Qui, pourtant, s’apprêtait à déserter,
Comme un Automne pleurant,
S’en allant,
Au bord des larmes souriant,
Sur des Feuillages fuyant,
Je t’écris de là, où, les pouvoirs m’avaient pris ma mémoire et ma force d’être.
Je t’écris de là, où, les mots et les libelles vibrent en moi, un ancien estre,
Comme un Hiver frissonnant,
Au souvenir des cœurs absents,
Neige couvrant,
L’amour des amants,
Tout au bout de ma route tu étais déjà là, à m’attendre au tournant,
Prêt à m’offrir la lampe au cœur de cristal,
Le Parfum aromate du levant s’éprend,
L’emblème de l’olivier béni, n’était ni oriental, ni occidental,
Comme un Printemps Foisonnant,
Des accords de couleur,
Pour fleurir mes heurs,
J’aime infiniment
L’art échoit, devant la foi, en toute beauté,
Tu unissais en toi le souffle poétique de la voie lactée,
Ecoute … l’écho de l’Ange céleste, les premières proses,
Se sont posées ….,
Tu aimais lire l’Univers,
Et je cherchais la voix universelle,
Tu aimais l’espoir en Prière,
L’Ancien Epitre, les psaumes, et les missels,
Et Je t’écris d’une allée, où, J’épiais la lueur d’une prière comme un amoureux,
Sur des parchemins épineux,
Ma quête fut une promesse
Comme un Été chantant,
La foi de l’orant,
Sur des touches colorées, des instants de prouesse
Je t’écris Près de l’arôme des terres, là, où, je guète les jours De fête pour aspirer à un souffle céleste,
Et tu m’amènes la valeur bienveillante,
Tu étais la mosaïque des prophéties,
En toi, était l’harmonie
Comme un Arc-en-ciel priant,
Beauté des cieux,
En Le remerciant,
Ton safrané gracieux,
Je t’écris de la rose des vents qui m’a gâtée de t’avoir tant aimé,
Je t’écris sur ses quelques notes éblouies par tant d’humanité.
Hijra Amjik
« La position prise dans le texte est celle de son auteur et pas forcément celle du site qui l’accueille et la publie »
salam
Le poème est écrit pour le prophète Muhammad -paix sur lui-
Le titre que j’ai choisi pour ce poème est ¨ Perce-neige des quatre vents.
Bien à vous
Merci
Hijra A.
très bon poème Hijra
Merci de ce partage
vous en avez d’autres poèmes à partager?
wow c tout simplement merveilleux et splendide.
Ce que je trouve dommage c’est que la poésie est de plus en plus délaissée chez les musulmans pourtant c’est un art de l’écriture qui est halal. Peu de monde discute poésie et sa beauté, la preuve est qu’il n’ y a pas beaucoup de commentaire sur ce poème qui devrait pourtant susciter des question car il est tellement bien écrit et parfois soutenu qu’il laisse des choses à dire.
Assalam aleikoum warahmatoullah, l’art de la poesie n’est aussi facile qu’on peut imager car il faut avoir du talent pour composer un poeme bien rimé . Alors pour celui qui a ce talen c’ est l’occasion de s’ exprimer sur ce site du prof tariq ramadan.
Merci a toi » Un être »
je n’ai pas fait d’autre poème pour le moment.
oui je suis ouverte à toute les questions concernant le poème.
j’ai essayé a travers ce poème de décrire comment le prophète MUHAMMAD SWS était le symbole de ma vie, ; j’ai repris beaucoup de symbole : perce-neige, Olivier, ton safrané, les saisons- rapport avec le temps et l’humeur. Certain mots et verbe son particulièrement choisie pour parler de l’occident, de l’histoire, de l’islam, de la foi religieuse, des inspiration humaniste et universaliste.
je dirais que le coeur de mon poème est représenté par le mots « estre ».
Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouhou,
J’aime… 🙂
Wa salâm
Bonjour, selam Hijra,
En lisant votre poème j’ai ressenti comme une fraicheur matinale très agréable.
Joli poème.
Continuez à ecrire..
Belle route.
J aime
Selem Aleykoum Warahmatoullah,
Magnifique poème!
Il est si enivrant, que des le commencement on ne veut s’arrêter jusqu’à ce que le point fin vient le ponctuer
i like it
Salam. ohh j’en pleure… Si émouvant.. Sniff