« Prélude » par Sébastien Hicham LASSAYS

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Si le souffle sur lequel repose mon âme devient pur comme une perle dans une coquille d’étoiles,
Alors je saurai caresser le vent quand l’amertume sur les dunes de ma vie pèse dans un silence durable.

Même les plus agiles routes
Ne peuvent duper l’intelligence quand le Cœur uni à tout sans heurt éclaircie toutes les Sciences.

Si les mots pouvaient guérir les âmes qui pleurent de ne pas savoir où est l’Amour,
Que mes doigts dansent jusqu’à l’aube pour que l’Humanité repose en paix avec de la tendresse tout autour.

Les sens ne trompent que celui dont le Cœur n’est plus.
Oh mon Dieu, fais vivre la vie quand la mort me tue.

Toi qui domptes l’atome aussi bien que les géants,
Toi qui fais pleuvoir les larmes quand l’opprobre assèche les veines de mon présent.

Bénis soient tous les Prophètes, Oh mon Dieu, Ceux qui sont morts dans un Amour que seuls les cieux savent,
Que je meure dans la seconde si mon destin
est de toucher avec eux le paradis des braves

Aimer, Celui qui m’a vu naître, celui qui m’a créé,
Quand dans cet océan de lumière j’ai perdu la raison,
Comment faire pour n’être qu’un avec
L’ Amour qui enroule mes larmes dans un océan de Pardon.

Éclosion de sentiments tardifs c’est vrai, Amnésique de toute douleur qui sait,
Que dans les rêves du Tout en Un, il y en a pour tout le monde,
Des sourires et de la joie même quand la nuit sur nos matins s’effondre.

Si tout était à refaire comment trouver la force
Tant les épreuves sont venues briser le fer de toutes mes portes

Toi seul mon Dieu sait caresser mon Âme comme la brise douce du vent
Quand les faux espoirs aux milles palabres s’enracinent dans l’ Empire soit-disant Islamique du Levant .

Les oublis ne sont que honte quand la Colère sublimée par Ton Amour gronde

Qui saura pleurer les larmes qui chaque matin d’été éclaircissent le jour
Comme le sourire de mille et un bébés font fondre mille et une Maman de tendresse et d’amour.

De la poésie sans règle et sans code,
Juste des mots qui dansent sur un piano sans note,
Le piano de mon Cœur, le piano de mes rêves

Que Dieu vous donnent à tous le plaisir de lire ce poème
Comme la vie sourit à la sève de nos lèvres
Quand les étoiles nous disent dans leur langage secret
Que depuis toujours elles veillent sur nous et elles nous aiment.

1 COMMENTAIRE

  1. « Prélude » est-ce là présage de changements sages…ou n’est-ce qu’énoncés repentants éhontés…le passé n’est pas à refaire, de l’avenir le présent en fait son affaire…Merci pour le plaisir d’avoir lu votre poème au cœur dominant 🙂 , la suite de ce « Prélude » le favorisant…

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