Ma lisse lame n’est pas aiguisée,
Et son discours n’a pas l’envie de trancher,
Alors, je suspends mon jugement
Vais-je douter de tous ?
Et tout croire ?
À qui,
Oui! A qui donc,
Dois-je du pardon ? :
À la colère de ceux qui vocifèrent ? ,
La bouche ouverte et béante et rouge d’arrogance,
Et pleines de commentaires
A ces rivières où j’ai pêché naguère?
A celles que je regarde encore passer,…
A mon passer qui fut loin d’être désert de l’amer
Fallait-il donc se préparer l’instinct,
à l’ouïe
De l’intelligence d’être en accord avec soi ?
Et si je pars, en thèses,
Comment taire, la hache en colère,
De ceux qui la déterrent ?
De ceux qui parlent beaucoup et qui disent court.
De ceux qui dispensent l’arrogance en leçons,
Fières et frêles, comme le serait,
Le résumé d’une abréviation
Maintenant et soudain,
L’Heure,
M’effleure,
Riche du délicat phrasé de la solitude,
…
Et, je me laisse pousser des idées
…
Comme il m’éclaire,
L’espoir,
Lorsqu’il renseigne mieux que la peur
Avec ses questions, extraites,
Comme un grain de l’épi,
Il me libère l’esprit de certaines déraisons
La raison…
Qu’est-ce donc la raison?
Un pain que l’on émiette délicatement,
Avant de s’en nourrir
Mais, là, ici, maintenant plus qu’hier,
Ma lisse lame se liquéfie en une encre verte
L’entends-tu s’additionner à toi,
Qui m’écoutes.
Je te claironnais d’espoir quelques gestes,
Alors, le bras tendu, la main ouverte,
Emplis-toi de dignité, puis de calme
Et de ta limpidité
Et proposes donc aux alentours,
Les charmes
Du souterrain de tes mondes
Puis,
Saisis-toi d’une plume, d’un QALAM,
Et raconte-leur les rêves où veillent des beautés…
Où les colères au repos,
De solides accises te proposent leurs amitiés,
Aux simplicités,
Auquel tu as tourné le dos
Et cependant que je m’offre quelques idéaux que tu écoutais
Comme tant d’autres virgules,
Ce moment était d’importante importance
Et même si ce rêve n’était que trêves,
Il s’accorderait bien,
S’il avait le choix,
A s’offrir, aux cœurs
Dont l’intelligence ne demande qu’à sourire
Puis,
Le cœur, éduqué par des larmes de joie,
Je me réveille
Et tandis que mes cils décroisent leurs jambes,
Engourdies de sommeil,
Je suis rassuré,
Car je me regarde mieux.
Merci …. des mots, un réconfort que je chéris
Hijra.
Bien à toi
Bismi Allah a-rahmane a-rahim,
Assalam’alaykoum,
C’est un acte très courageux de ta part Mokhtar d’avoir écrit cela. J’ai été ému.
J’espère que ton cri silencieux, offert à nos cœurs, sera entendu et bien compris.
Jazakoum Allahou al kheir (plus qu’un merci exponentiel ) à tous ceux qui ont eu l’intelligence du cœur, et du cœur à l’intelligence, de le publier.
Tu réussiras à t’en sortir Mokhtar. Courage !!!, le plus rude (le réveil- comme dit à la fin de ton poème) est fait incha Allah.
Mais maintenant une nouvelle bataille commence… et elle doit se faire avec ceux qui t’aime : tes parent, tes amis, tes frères et sœurs en Islam. Ne soit pas seul…le loup s’attaque à l’agneau éloigné.
Merci pour ton émouvant et beau poème. Courage !
Bien que de moindre qualité, ce «petit poème » t’es dédié Mokhtar.
Elle t’est offerte de cœur à cœur :
Dans ta vie il y a eu des vallées, et plus souvent des montagnes
Les grimper t’ont apporté beaucoup de peines
De ton sang les vallées en étaient pleines
Agonisant dans un désert plein d’épines
Oui, sur ce chemin de vie qui te semble… hasardeux
Tout te semblera… réclamer ton inexistence
Tout te semblera… nier ton existence
Tout te semblera… menacer ton espoir d’être heureux
T’es alors parvenu les paroles de la malice
Pour te faire envier ses oasis pleines de poison dans ses rivières
Oô, dis la sirène, si rafraichissantes à toi qui as tant souffert
Dans ces déserts pénibles, pleins de bouches à l’haleine d’arrogances
Entre donc dans ma maison,
Dit l’araignée à la gentille petite mouche, n’est-ce pas ?
Une fois la mouche prise au piège de la déraison
L’araignée la déprime ne pardonne pas !
Tu ne désiras, pourtant, qu’aimer et être aimé
Apaiser tes souffrances.
C’est un légitime espoir
Qui ne demande qu’à y croire
Que vienne vite cette délivrance !
C’est un cri silencieux trop sous-estimé
Qui l’entend ?
On ne l’entend pas avec ses oreilles !
On l’entend avec son cœur
Si l’on devait l’entendre avec ses oreilles
Ce cri remplira tout notre ciel
Un cri si effrayant… fait d’amour et de peur…
De pardon et de souffrance cruelle
Pourtant, le dire par la bouche semble trop…gênant
Mais voilà que dans un dernier sursaut d’espoir
Tu t’adresse directement à nos cœurs
Dans cette encre verte…tel un beau jardin
Se trouve l’arbre de ta vie…
Ta lisse lame a voulu arrêter son âge
L’arbre aurait déjà perdu ses beaux feuillages ?
Certes ses racines sont malades, personne ne le nie,
De ces rivières empoisonnées, qui t’appelaient sans fin
Alors comme dans un dernier courage et effort
La dignité et le calme ont poussé, comme deux fleurs
Dans ce beau jardin vert…aux côté de ton arbre de vie…
…afin de revenir vers le Créateur
Car ceci n’est pas un chemin hasardeux
L’Espoir se trouve au sommet
C’est le chemin droit menant vers le Miséricordieux
A travers ta foi en Lui…ceci je te le promets
Là ou les fils de l’araignée, comme tes cils, se décroiseront
Tu te réveilleras, là, maintenant, devant nous,
Pour faire du passé une expérience et une éducation
Riche en rappel et humilité pour tous
Et prosterné, avec nous, vers Lui…Le Pardonneur
Ce sera pour nous, incha Allah, notre présent, notre avenir, et un grand honneur
Amine.
Ton frère qui t’aime li Allah Mustapha El Hilali
Ma’aka assalama akhi
lorsque j’écoute certains êtres de Bien, Je sais que l’antimatière à la haine C’est nous Tous, en amour,
autour de Celui qui nous le suggère par Ses gestes silencieux mais qui EXISTENT !!!!!
brièvement, Mais Je M’aime Parce-que Je VOUS AIME ! Mokhtar ESSAIDI
P.S.: Frère TAReQ Ramadan, je vous aime !!!!!, (alors, y a-t-t’il besoin de témoins pour cela ?) ! ! ! ! !